Le Gros Loïc a ramené des filles à
Je vous raconte, ça mais je n’y étais pas. On m’a raconté.
Du coup, elles ont commencé à chanter des chansons Dunkerquoises, ce qui a attiré l’oreille du Vieux Jacques qui a commencé à chanter avec elles vers 14h30, provoquant l’ire de Martine qui essaie de maintenir un minimum de qualité dans sa boutique où viennent déjeuner tranquillement des braves gens.
Le Vieux Jacques a été ainsi séduit par les deux jeunes filles. Le plus surprenant est que les deux jeunes filles ont été également séduites par le Vieux Jacques. Par contre, toujours d’après la rumeur, la grosse à Jacques faisait la gueule.
A défaut de l’être par Jacques, elles se sont tirées vers 16h30 en lui donnant rendez-vous à 19 heures.
J’arrive à 18h50 et on me raconte l’histoire. Les deux jeunes filles Calaisiennes sont en visite à la capitale pour le week-end et ont trouvé un hôtel pas cher au Kremlin-Bicêtre. Elles avaient quitté l’hôtel pour une promenade et probablement intimidées par la capitale elles ont décidé de visiter le Kremlin-Bicêtre.
Je suis bien content d’habiter dans un patelin hautement touristique, visité par des Calaisiennes ! Elles ont raison. L’avenue Eugène Thomas qui mène du métro à l’hôpital, c’est quand même autre chose que l’équivalent Parisien qui mène de
Je dis donc à Jean qui me racontait l’histoire : « Elles ne seraient pas un peu con ? ». Jean, qui respecte sa clientèle, ne répond pas. Il se contente d’opiner, ce qui n’a rien de grossier.
Le vieux Jacques attendaient ainsi les tourterelles. Il était à
A propos de Tonnegrande, puisque j’en suis à donner des nouvelles. Il n’était pas là. Sa femme part demain pour des lointaines contrées. Il a donc amoureusement choisi de passer la soirée avec elle. Par contre, à partir d’aujourd’hui, il est tout seul à la maison : imaginez ce qu’il va faire.
Jacques commence à faire le beau pour séduire les deux dames. Quand je vois Jacques comme ça, ça m’énerve. Non pas que je sois jaloux… mais quand il est comme ça, c’est qu’il a bu : il fait le con et me casse les oreilles, et c’est moi qui vais devoir le supporter tout le week-end. Je me demande d’ailleurs si je vais sortir aujourd’hui !
Marcel faisait également la gueule parce qu’il n’était pas dans les hostilités pour la bonne raison qu’il devait être rejoint par sa tendre épouse. Je trouve un prétexte pour aller lui parler (une histoire de vélo, je vous expliquerai) et quitte le gai trio pour discuter. Jean passe à proximité, je lui dis : « J’avais raison, elles sont cons les pétasses ». Il me fait signe de fermer ma gueule. Je le fais, toujours élégant, distingué, raffiné, assoiffé, …
Voilà la femme de Marcel qui arrive qui discute avec le trio. Du coup Marcel et moi aussi. La conversation n’ayant aucun intérêt (les QI ne se cumulent pas), je commence à discuter avec un autre type, le Gros Michel, dont je ne vous ai jamais parlé, il était un peu plus gros que Loïc, c’est vous dire, mais là, il s’est un peu calmé.
Subitement, je sens que mes cinq s’énervent. En fait, une des deux pétasses (la brune, pourtant) avait entendu Jean les traiter de pétasses. J’interviens : « Mais non ! Chère amie douce et délicate, Monsieur Jean est commerçant : il ne peut pas dire ça de ses clients, vous avez mal entendu ». C’est vrai, c’est moi qui avait dit « Pétasse ».
Grâce à ma diplomatie légendaire, tout le monde se réconcilie. Sauf Jacques qui a fait la gueule quand Marcel et son épouse sont partis alors qu’ils devaient le ramener chez lui. Il ne pouvait pas abandonner ses deux conquêtes, d’autant qu’il en était probablement à sa dernière érection.
Sur ce fait, le Gros Loïc arrive et nous buvons un coup avec le Gros Michel. Quand on boit un coup tous les trois ensemble, personne ne vient nous déranger, sauf Jean qui est relativement inquiet pour son plancher : concentrer 350 ou 400 kilos en si peu de surface est toujours risqué. Ca me rappelle l’ascenseur au boulot. Il y a une affiche : 8 personnes maximum, 640 kilos. C’est sûr que pour la question ne se pose pas pour nous trois : ce n’est pas une question de poids, il y a aussi le volume.
Le Gros Loïc reçoit un coup de téléphone de Jacky le boucher qui l’attend à l’Amandine. « Bon, les filles, je vous paye un coup à l’Amandine ». Elles ont suivi, laissant le Vieux tout seul, soutenu par Djibril qui pensait à peu près la même chose que Jean et moi du QI des dames en question.
Y’a pas photo. C'est mieux quand c'est moi qui ramène des filles à la Comète !
C'est pour me rendre jalouses que tu parles du vieux Jacques avec d'autres femmes ?
RépondreSupprimerFiso,
RépondreSupprimerNon, c'est pour rendre Tonnegrande jaloux.
Pourquoi le vieux Jacques offre aussi des roses à Tonnégrande ?
RépondreSupprimerFiso,
RépondreSupprimerNon. Tonnegrande aime bien quand on ramène des filles à la Comète. Tu n'as pas remarqué ?
Dans le cas présent, je ne crois pas que la bétise soit vraiment du côté des calaisiennes ! :-))
RépondreSupprimerc'est plutôt flatteur pour notre Q...I
RépondreSupprimerFil,
RépondreSupprimerDétrompe toi !
Isabelle,
Ce qui compte c'est le I.
Il me semble que Jacques Brel (que Jacques aime bien il me semble) avait employé l'expression "repartir avec sa bite sous le bras"
RépondreSupprimerEric,
RépondreSupprimerOui. Mais je ne mets jamais de propos déplacés sur le blog.
je ne connais personne mais je trouve ça passionnant ! Cela dit, il n'y aucun mal à dire de filles qu'elles sont des pétasses, il suffit de ne pas le dire trop fort, ou alors en rigolant, ça passe mieux et la nana une heure plus tard en est toujours à se demander si c'était du lard ou cochon !
RépondreSupprimerVince,
RépondreSupprimerMerci pour ta visite ! Tu as trouvé où cliquer...
"Pétasses", je ne l'ai pas dit fort (la brune avait une ouïe exceptionnelle !) et sans aucune méchanceté ! Juste un constat !