La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
31 août 2007
Grand jeu concours people
Sarkocodile
Voilà le plus grand crocodile du monde qui va nous manger tout cru et en une seule bouchée (sauf le gros Loïc pour des raisons strictement physiques et c'est aussi bien : avec le gros Loïc, il pourrait largement faire deux repas, même s'il est un peu trop gras).
Ca faisait lontemps que je n'avais pas fait de reportage animalier sur le blog. Ce joli crocodile ne s'appelle pas Nicolas Sarkozy mais Sarko tout court, c'est alligator pareil. La dernière fois c'était une histoire de pangolin et d'artichaud à l'envers.
Ainsi, Sarko pratique l'ouverture de la bouche et emportera tout avec lui comme une lame de fond. Une lame de crocodile ?
30 août 2007
Vive le vieux Jacques et Isabelle
Il faut le faire !
29 août 2007
Fesses ce qu'il te plait
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Mon grand classique ! A noter que j’ai sûrement des tests personnels qui ont abouti à cette recherche.
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Mon billet « belles fesses » fait des ravages. Si certains ont encore des doutes sur l’intérêt d’Internet…
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Ca date ? Nostalgique ?
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28 août 2007
Table d'hôte au Canton
Cocu !
Cette dépêche AFP me rappelle que le Gros Loïc est rentré de congés cette nuit : je l’ai croisé au café ce matin.
Il veut absolument que je lui raconte la journée chez Tonnegrande, samedi 18 : c’était bien.
Il n’empêche que dans la mesure où ils se vente souvent, je cite : « d’avoir retourné la moitié des filles de Bicêtre et de Villejuif », je me demande, Mesdames, si vous ne pourriez pas lui faire immédiatement un procès.
27 août 2007
Une nouvelle petite cousine
http://capitalpublic.blogspot.com/
Belgique - Complément
Ma série de billets sur
http://leblogdemateusz.blogspot.com/2007/08/technorati-tag-vacances-en-belgique-bis.html
http://www.bloggingthenews.info/blogging_the_news/2007/08/technorati-tag-vacances-en-belgique.html
Efficaces les Belges ! Je diffuse ça à midi hier : quatre heures après un blog en parlait et un autre suivait !
La teneur du premier d’entre eux et surtout les échanges que j’ai eus dans les commentaires m’amènent quelques précisions.
Ces 17 euros ne m’ont pas manqué dans mon budget de vacances… Je dis juste que ça fait tâche, que ça nuit à l’image de la capitale et j’encourage mes amis Belges à faire le ménage ! Une bonne campagne de presse ! Des contrôles par une commission « ad hoc » ! Un boycott bien organisé ! Une modification de la loi ! Une diffusion de tracts pour les tourristes ! Que sais-je ?
En France, la plupart des arnaques ont bien diminué (ce qui ne veut pas dire qu’il ne reste pas des serveurs indélicats qui n’hésitent pas, par exemple, à vous vendre une bouteille de Vittel quand vous voulez une carafe d’eau). Faites pareil !
Par ailleurs, refusez de payer des repas 18 ou 20€ un repas qui en vaut 10… Et supprimez ces 1,5€ ajoutés pour le « couvert et le pain » (comme d’autres pays). Certaines traditions doivent disparaître ! Si, en France, vous rentrez dans un resto et demandez un repas à 15€ (et ne prenez rien d’autre), vous paierez 15€.
Ce n’est pas un sentiment d’arnaque, c’est un sentiment de dégoût, de retour vers le tiers monde, des années de loi de protection des consommateurs foutues en l'air.
26 août 2007
Bilan de vacances
Je suis comme ça !
J’improvise complètement ou presque mes trois semaines de vacances.
Début août, je savais que j’allais passer par Loudéac. Je savais que j’allais profiter lamentablement de l’accueil qui me serait fait au Canton. Je voulais aller voir Gaël à Tours (des amis d’enfance… enfin ! de la sienne, qui ne se voient pas pendant 5 ans, ça ne fait pas sérieux). J’avais bien envie d’aller voir Filaplomb (ça fait 18 mois qu’on se commente mutuellement) à Toulouse. J’avais une bouffe prévue chez Tonnegrande à partir du 16 août et devait donc repasser par Bicêtre. Je pensais bien que je n’allais pas passer la dernière semaine à la maison. Et Ramdane voulait passer quelques jours avec moi en Belgique, ça tombait bien.
J’ai réussi à tout faire. Ou presque. Ce n’est pas Ramdane qui est venu avec moi mais Jim. J’en même fait plus puisque je suis allé voir Lutine à Colmar.
Comptez vous-mêmes…
Le Kremlin-Bicêtre – Loudéac – 2 nuits
Loudéac – Tours – Dîner chez Gaël – Coucher à l’hôtel Ibis (pas mal, personnel très sympathique, mais hôtel très excentré).
Tours – Châteauroux (via Saumur, Chinon et Loches) – Dîner et coucher à l’hôtel Ibis, l’ancien Mercure (aucun intérêt, serveur complètement con qui se la jouait et relativement cher pour un Ibis, mais avec la qualité d’un Mercure).
Châteauroux – Toulouse (via Rocamadour et Sarlat) – 2 nuits – Coucher au Garden Hôtel (très sympathique et pas cher, conseillé par Filaplomb) – Excursion à Andorre le deuxième jour – Deuxième soirée avec Filaplomb.
Toulouse – Narbonne - Dîner et coucher au Novotel (très bien, bien sûr, mais 188€) – Excursion à Perpignan et à Gruissan.
Narbonne – Le Canton (Saint Jean du Gard) – 2 nuits – Repas et coucher chez l’habitant (très bien).
Le Canton – Le Kremlin-Bicêtre (via Florac)
Le Kremlin-Bicêtre – Colmar – Dîner chez Lutine – Coucher à l’hôtel Primo (à éviter : accueil mauvais, prix moyen mais supérieur à ce que laissait entendre la publicité !).
Colmar – Bruxelles (via le Haut-Koenigsbourg et la cathédrale de Strasbourg, Voyage à travers
Bruxelles – Le Kremlin-Bicêtre
Certains vont s’imaginer que ça m’a coûté la peau des fesses… Pas tant que ça, de l’ordre de 700 euros. Ce n’est pas le sujet du billet, mais quand je ne suis pas en vacances, j’ai aussi des charges ! Par exemple, j’aurais fait deux allers-retours en Bretagne… Quand je suis à l’hôtel ou chez des potes, je ne vais pas au bistro ! Et un sandwich-café sur l’autoroute est beaucoup moins cher qu’un repas à la cantine.
7 blogueurs rencontrés, dans l’ordre :
- Gaël,
- Filaplomb,
- Luc (du canton),
- Fiso, Eric et Tonnegrande,
- Lutine.
J’ai loupé Franssoit d’un poil. Martin a disparu. Isabelle est rentrée récemment.
Personnages du blog :
- 1 serveur de bistro héros du blog emmené en vacances,
- 2 patrons (les siens) héros et lecteurs du blog rencontrés fortuitement (je savais où bosse le fils, en passant dans le coin, je me suis arrêté voir s’il était là pour lui dire bonjour, il l’était et m’a annoncé que « ses vieux » étaient en vacances chez lui).
Pourquoi Châteauroux ? Le début de journée avec été très mauvais. Il faisait beau et roulant au hasard aux alentours de Tours, je suis tombé sur des vues magnifique de je ne sais plus quelle rivière (c’est pas le Cher qui arrive là-bas ?). Je voulais prendre des photos. Mon appareil est tombé en rade. Perplexe, j’ai roulé au hasard. Je me suis dit : « Il n’y a pas à chier, il faut en acheter un neuf » (je suis très grossier quand je me parle à moi-même). J’ai vu une pancarte indiquant Saumur à
Pourquoi Châteauroux, disais-je ? Après m’être promené une heure dans Saumur, vers 11 onze heures (je suis très matinal, l’appareil était acheté à 10 !), alors que ce n’était pas prévu. J’ai regardé ma carte. « Chinon » vois-je. Ma boisson préférée. J’y fonce, j’y bouffe mes sandwiches achetés à Saumur dans le supermarché en question. « Qu’est-ce que je fous-là ? » me dis-je ? Regardons la carte. « Tiens Loche n’est pas loin. Ca me dit quelque chose ! Ah ! Oui, la colo en 1981 » (où j’ai connu le grand frère de Gaël, Pierrick, qui était mono alors qu’on a quasiment le même âge). Hop ! Direction Loche. Je n’ai rien reconnu.
Pourquoi Châteauroux, disais-je encore ? Je voulais être à Cahors le lendemain soir (je n’y ai d’ailleurs pas été, ayant préféré une promenade à Sarlat). Je regarde la carte et discerne Châteauroux sur la carte. Comme le début de journée avait été mauvais et que je dois bien avouer que je m’étais un peu fait chier dans la journée (c’est le seul moment des vacances), je me suis dit : « Bordel de merde, le Gros Loïc est justement en vacances à Châteauroux ». Ma décision est prise. En plus, des blogueurs du coin viennent périodiquement mettre des commentaires aimables chez moi. Me voilà à Châteauroux ! « Quel con ! » me dis-je. « C’est à Châtellerault qu’il est, le Gros » !
Pourquoi Andorre, maintenant ? J’avais rendez-vous, le soir, avec Filaplomb. Il me fallait occuper la journée. Je consulte ma carte. « Tiens, les Pyrénées ne sont pas loin ! ». J’adore la montagne, mais je suis parfois nul en géographie, je pensais que c’était à 80 bornes de Toulouse… « Fixons-nous un objectif ! Tiens Mont-Louis » On y avait passé des vacances en famille il y a quelques années (30 à peu près !). Je me suis trompé de route. Je me suis retrouvé à la frontière avec Andorre sans le savoir. « Pourquoi pas ? ». Voilà pourquoi… Au retour je suis passé par Font-Romeu. Bilan :
Pourquoi Narbonne et un hôtel de luxe ? J’étais attendu au Canton le surlendemain du dîner avec Filaplomb. Je voulais profiter de cette journée pour aller à la plage sur la partie de la côte à l’est des Pyrénées, partie de
C’est incroyable la clientèle des Novotel ! Je m’attendais à trouver des « hommes d’affaire » (il n’y en avait pas) et des couples de personnes assez âgées pour avoir assez de sous pour se payer des vacances pépères. Il y en avait. Mais il y avait aussi plusieurs familles avec des mômes. Je ne suis pas sûr que des vacances à l’hôtel soient très sympa pour les gamins qui doivent s’emmerder comme des rats morts. En plus, ça laisse rêveur ! J’ai payé 188 € (chambre, repas, consommation). Pour quatre personnes, il doit bien falloir compter 350 €. 20 jours de vacances : 7000 euros.
Remarque ! Nicolas Sarkozy fait mieux.
Pourquoi être rentré directement du Canton à Bicêtre ? Chaque année, je passe par Florac, les Causses, les Gorges du Tarn, son pont, … Là j’ai juste fait une escale à Florac. Il était d’ailleurs temps que j’y arrive. Il n’y a pas beaucoup de stations essences ouvertes dans ces coins là un quinze août. Je vais ainsi boire un coup chez « Proust, Coiffeur pour homme » (ça ne s’invente pas) comme chaque année. Mes potes ne sont pas de service, je décide de repasser plus tard et d’aller me promener. Les Causses étaient recouvertes de brouillard, j’opte pour les Gorges du Tarn. Il pleuvait comme vache qui pisse. Je me dis : « Tiens ! Mende ». Sur la route, je me suis dit ensuite « Tiens ! Clermont Ferrand ». Puis « Tiens ! Bourges ! ». Puis « Tiens ! Bicêtre ».
Je m’y suis posé quand même, malgré la pluie.
25 août 2007
Belgique - Bilan !
Mon dernier billet étant négatif (la mauvaise implantation de panneaux indicateurs), je dois en improviser un positif !
La Belgique, c'est génial ! Les Belges sont géniaux ! Même si leurs descendants âgés sont parfois difficilement supportables...
Il n'y a pas que le prix de la bière à apprécier, mais tout !
Faites comme moi, aller faire des escapades là-bas !
Belgique – Touristes, renseignez-vous avant de visiter Bruxelles
En préambule, je vais m’adresser à la municipalité de Paris. En tant que « Parisien ou presque » automobiliste, je suis très sensible aux questions de circulation. Je ne prends ma voiture dans Paris que quand j’en ai besoin pour ne pas participer aux difficultés. Le réseau de transports en commun est suffisamment développé pour ne pas avoir besoin de bagnole sauf quand on a des trucs encombrants à transporter ou qu’on va chercher des amis à la gare à 22 heures.
Je suis donc tout à fait d’accord avec les politiques menées pour restreindre la circulation. Néanmoins, en rédigeant ce billet sur les difficultés pour un touriste en voiture à Bruxelles, je suis obligé de m’imaginer un touriste à Paris. Monsieur Le Maire, n’oubliez pas les touristes en voiture à Paris : il n’est pas évident quand on débarque quelque part de comprendre les transports en commun et il est impossible de bien choisir le bon parking de banlieue quand on n’y connais rien !
Je suis donc arrivé mardi soir à Bruxelles avec Jim en venant de Colmar – environ 500 bornes – sous la pluie : j’étais naze. Je voulais trouver un parking en urgence près du centre, pour me mettre à la recherche d’un hôtel et pouvoir siroter une bière à 18 heures. Je l’ai sirotée à 19h30, ce qui est inadmissible.
Je n’ai pas perdu de temps dans la recherche d’un hôtel ! J’ai perdu du temps dans la recherche du centre… Pour quelqu’un qui connaît, c’est simple : vous prenez
Quand vous ne savez pas, vous ne pouvez pas trouver. Mesdames et Messieurs de
Ensuite, quand j’ai demandé au type de l’hôtel où était le Manneken Pis (voir mon avant dernier billet) pour y aller à pieds, il m’a dit : « vous prenez l’avenue, là, et vous tournez à droite à
Le lendemain matin, je voulais aller à Bruges. Je savais que la direction à suivre était celle de Gant, c’était marqué sur ma carte Michelin. Avec Jim, on prend donc la voiture et on roule… Impossible de trouver une sortie de Bruxelles. Sans même penser à sortir dans la bonne direction ! A quelques occasions, j’ai vu des panneaux indiquant « Ring »… Au bout d’une bonne demi-heure, j’ai compris qu’il pouvait s’agir d’un truc indiquant un boulevard circulaire ! J’ai suivi les panneaux… mais comme il n’y en avait à chaque carrefour, j’étais un peu perdu.
Le surlendemain, pareil ! On voulait quitter Bruxelles pour rentrer à Paris : impossible de trouver la direction « Charleroi ».
Faites quelque chose !
Belgique – Touristes, visitez Bruges
Bruges est une ville superbe, je ne vais pas en parler, vous trouverez toutes les photos nécessaires sur mon site web.
A ce propos, ça n’a rien à voir avec l’objet du billet, mais cette sympathie se répercute sur le comportement quand ils sont au volant d’une voiture en ville ou sur une autoroute. En France, sur une autoroute à trois files, la priorité des automobilistes français est de monopoliser la file de gauche pour s’assurer que personne n’aille plus vite qu’eux ! La priorité du Belge étant d’aller où il doit aller, il roule à sa vitesse et se rabat sur les files de droite quand il a fini de doubler. Le Belge, sur une file à gauche, laisse déboîter les gens d’une file plus à droite quand ils mettent leurs clignotants, même quand il s’agit de poids lourds…
Belgique – Touristes, choisissez bien vos restaurants à Bruxelles
Quand, comme moi, on voyage trois ou quatre jours, on dort à l’hôtel et on mange au restaurant, le budget vacances est vite éclaté. Deux repas par jour à deux, si le prix de chacun dépasse 30 euros en moyenne, c’est insupportable. En trois ou quatre jours, il est de bon ton de se taper un gueuleton (moules frites dans une belle brasserie de la Grande Place), pour les autres repas, on fait gaffe.
Ainsi avec mon joyeux partenaire, mardi soir, nous étions à la recherche d’un resto sympa, pas cher. Connaissant un peu le coin, je nous ai orienté dans une petite rue à quelques rues de
On est tombé sur un resto (les Arcades ?) : un grand panneau annonçait un repas complet pour 12€50. J’ai calculé qu’avec une bière, ça nous aurait fait 30 euros à deux ! Hé bien non ! L’addition s’est montée à 47 euros, soit plus de 50% de plus que le prévisible.
Pourquoi cette hausse ? Différentes raisons, mais c’est un restaurant de voleurs (notamment le menu présenté ne faisait pas 12€50 mais 18€50, j’avais dit amen car je venais de me taper 500 bornes en bagnole).
Nous avons choisi l’entrée à partir des photos présentées : quatre noix de Saint Jacques et quatre belles crevettes, le tout dans une belle marinade. L’entrée fournie réellement était composée de quatre crevettes moyennes marinant dans de l’huile d’olive. Le morceau de bœuf fourni à la place du steak demandé n’était pas mauvais mais ne dépassait pas
Pour les 47 euros, nous aurions pu nous taper une bonne bouffe dans les grandes brasseries ! Faites attention à l’arnaque ! Pour me vanger, j'ai dit tout ça un couple qui venait de s'intaller à table. Ils sont partis immédiatement !
Pour manger pas cher, je vous conseille, la petite rue, de l’autre coté de
N.B. : Pour les noms de rue, je ne suis pas très sûr, je les récupère sur http://www.mappy.be/ et je peux me tromper dans nos itinéraires. Je ne suis surtout pas sûr du nom du restaurant : à mon avis, c'est toute la rue qu'il faut éviter. Et je suis très satisfait des autres repas pris à Bruxelles.
Belgique – Touristes, choisissez l’Hôtel la Grande Cloche à Bruxelles
Evitez l’Hôtel de Paris. J’y avais été en 2004 lors d’un voyage avec Ramdane. C’est bruyant, inconfortable, chaud, … et sale.
Cette semaine, lors de notre périple avec Jim, nous avons été accueillis à l'Hôtel de la Grande Cloche avec la plus grande gentillesse alors que nous sommes tombés dessus par hasard, ce qui n’a strictement rien à voir.
Ce hôtel est proche de la gare pour ceux qui voyagent en train et dans un quartier avec des places de parking pour les autres.
Il est surtout à moins de 10 minutes à pieds du Manneken Pis (étape sans intérêt mais incontournable) et surtout de la Grande Place (c’est à peu près tout ce que je connais de Bruxelles mais c’est un quartier bien agréable).
Pour notre chambre, pour deux personnes, nous avons payé 71 euros par nuit, petits-déjeuners compris. Essayer de trouver ça à Paris entre Notre Dame et le quartier latin…
Le seul reproche que nous pourrions faire à cette chambre est qu’elle ne disposait pas de WC ce qui était bien gênant pour Jim qui n’est pas très grand et ne pouvait pas satisfaire quelques exigences dans le lavabo (dans la douche, c’est dégueulasse, ça éclabousse).
A part ça, il est d’une qualité largement supérieure aux 2 étoiles que je fréquente ailleurs une cinquantaine de nuits par an pour le boulot ou pour les vacances. C’est probablement cette absence de WC (et la relative exiguïté des chambres) qui empêche la délivrance d’une troisième étoile.
Les chambres sont refaites à neuf. Je n’entends pas par là qu’elles ont gagné un coup de Ripolin au cours du dernier trimestre… mais que quand on est dans une chambre, on se croit dans un hôtel neuf.
Les chambres sont parfaitement silencieuses : l’isolation est parfaite, on n’entend pas les voitures qui passent ou les trains qui ne circulent pas loin. On n’entend pas les chasses d’eau ou les douches des voisins. J’ai juste été perturbé par un con qui écoutait la télé à deux heures du matin (quand vous ne dormez pas cette heure là, chaque petit bruit insupporte), télé qu’il a éteinte dès que j’ai tapé trois coups dans le mur.
Le personnel est multilingue (en Belgique, il faut parler au minimum quatre langues : anglais, allemand, français et néerlandais) et surtout très serviable et sympathique. Il ne s’agit pas des jeunes loups des chaînes d’hôtel en France, mais de types aimant leur métier, près à plaisanter, à rendre service, à conseiller le client, … Le jour de notre arrivée, après avoir déposé nos valises, je suis allé rendre les clés. J’en ai profité pour demander au type de l’accueil : « pour aller au Manneken Pis, le plus court c’est par où ? ». Il m’a répondu en gros : « Vous voulez réellement voir ce truc – haha – passez par là, mais surtout prenez par là ensuite, vous trouverez quelques estaminets qui, tels que je vous vois, vous intéresseront plus que ce machin » (je ne lui en demandais pas temps, je savais !). D’une manière générale, les Belges sont très sympathiques.
Le personnel est en nombre suffisant. Contrairement à beaucoup d’hôtels français, le petit déjeuner n’est pas servi par quelqu’un qui a passé la nuit sur un « lit de camp » à la réception et attend avec impatience de rentrer chez lui pour prendre une douche et parfaire sa nuit, mais par des gens aimables, souriants, …
Je me répète : je fréquente beaucoup les hôtels entre 50 et 80 euros la nuit, je n’ai jamais vu ça.
Je pourrais faire un reproche néanmoins à notre chambre : c’était la seule disponible et elle n’avait qu’un seul lit. J’ai été obligé de coucher avec Jim. Comme ni l’un ni l’autre ne sommes homosexuels, nous n’avons pas pratiqué les amusants que l’on aurait pu imaginer : c’est du gaspillage.
http://www.hotelgrandecloche.com/
24 août 2007
Titine et les titinettes
Attendons avec impatience qu’il finisse son article et nous apporte la confirmation de la parole de Franssoit. Pour ma part, je ne faire qu’une conclusion transitoire : « elle est belle comme la peau d’éphèbe ».
Dans cette histoire, je n’ai servi que de chauffeur à notre estimé reporter, mais mon âme de lecteur de blogs m’a replongé dans le blog de Lutine : les lutinettes existent réellement. Tiens ! La #2 m’a accueilli avec un cadeau (un machin avec des poils qu’on met pour décorer les glaces). Je le conserve religieusement dans le vide poche de ma voiture.
Je m’étais invité à boire un coup chez une blogueuse (après avoir visité Gaël et Filaplomb), Lutine a eu la gentillesse de nous garder à dîner après avoir cuisiné des spécialités locales, dont une entrée à base de tomates et de cornichons, ce qui m’a mis en joie…
Dont aussi la célèbre tarte flambée qui ne l’est pas et qu’on se demande pourquoi elle s’appelle comme ça, alors que « quiche lorraine sans œufs » serait plus adapté, de même que « Pizza sans tomate ».
Je m’explique. Une couche de pâte à tarte flambée. Un peu de crème fraîche pour la recouvrir. Certains mettent du fromage blanc à la place, c'est une mauvaise idée. Quelques morceaux d’oignons et de lardons pour se mettre quelque chose dans les dents creuses. Un soupoudrement de fromage râpé (du Gruyère d’Alsace).
Dont aussi une tarte aux quetsches, même si j’aurais préféré aux prunes car ça m’aurait évité d’avoir à rechercher l’orthographe de quetsche dans un dictionnaire. Cette tarte mériterait d’entrer dans la légende.
Car le blog de Lutine n’est pas une légende ! Une soirée mémorable en famille (sans monsieur parti gagner la pitance de tout le monde) m’a montré que le blog de Lutine décrit la vraie vie. Mais ne dit pas tout !
Faites comme moi, invitez-vous chez Lutine !
P.S. : Les autres photos des vacances sont là :
23 août 2007
Mon chemin !
Comme il faisait un temps de chien, on a passé pas mal de temps en voiture, surtout en Alsace, où il était impossible de sortir de la voiture, mais aussi en Belgique. La radio Belge n'étant pas... en Français, on a ressorti les vieux CD qui trainaient dans la bagnole...
Jim n'est pas chiant en bagnole : du moment qu'on roule assez vite pour... aller assez vite sans faire le con et se tuer bêtement et en écoutant de la musique à fond, il est heureux !
Sex Pistols - Sid Vicious - My Way
envoyé par indri51
Le con ! C'est en chercheant "punk my way" sur Google que ça m'est revenu ! Jusqu'à la mort, on devrait faire une révision annuelle de ses classiques...
19 août 2007
Guyane
18 août 2007
Editions
17 août 2007
Table d'hote au Canton
Rappelez-vous, Barbara ! L’an passé, j’avais fait un reportage photographique sur le Canton. La météo ne m’avait alors pas inspiré pour décrire la table d’hôte. Cette année, je m’y colle mais je laisse Luc indiquer en commentaire le menu exact de ce soir là : j’ai trop peur d’écorcher le nom de son lapin… sans compter que mon Word ne connais pas l’orthographe de « gaspacho ». Moi-même d’ailleurs, je me suis couvert de honte, mardi pendant la préparation du repas, puisque j’étais persuadé que gaspacho était un plat Italien !
Pour narrer une table d’hôte au Canton, il faut être un observateur privilégié, comme j’ai eu le plaisir de l’avoir été. Tout le plaisir n’est d’ailleurs pas que pour moi, mais aussi pour mon pèse personne qui affiche dorénavant 104 kilos. Je me demande s’il n’est pas cassé.
Tout commence par la cueillette des légumes dans le potager. Mon pote âgé, Luc, ne l’est pas suffisamment pour ne pas pouvoir se plier… à ce rite. J’ai d’ailleurs pris une photo.
Il serait néanmoins mensonger de ma part de ne pas mentionner que le potager est juste en dessus de la piscine, ce qui permet à Luc de prétexter des cueillettes diverses pour aller observer les jeunes mères de famille surveillant leur progéniture en bronzant en maillot de bain.
Il va falloir que j’en touche deux mots à Claude, sa tendre épouse.
Ensuite, il faut éplucher ces légumes.
Ca donne soif, mais progressivement, le travail s’accomplit.
C’est alors que j’interviens puisqu’il faut maintenant mettre la table. Etant venu sans mon épouse, je n’avais que ça à mettre en cette fin d’après-midi. J’ai donc proposé mon modeste coup de main pendant que Claude et Luc se lançaient dans les préparatifs plus sérieux de cette soirée mémorable.
Nous avons ainsi pu passer à table avec nos joyeux convives. En un mot.
Mon rôle pendant la soirée n’était pas limité à la mise de la table : j’avais aussi en charge l’approvisionnement en pinard. Je n’ai pas chômé. Cependant, je n’ai pas assez travaillé puisque les dames n’étaient pas saoules contrairement à certains et que la soirée n’a pas dégénéré comme me l’avait annoncé Luc. On n’a pas fini tous à poils dans la piscine.
Quelques messieurs ont été faire un sauna (un quart d’heure de transpiration, une douche vite fait, un autre quart d’heure dans la piscine et on recommence !).
Luc et moi sommes restés avec Claude et quelques dames à papoter au bord de la piscine.
Jusqu’à ce que tout le monde sauf les sportifs aille se coucher, me laissant quelque peu rêveur (pas les sportifs, la piscine).
Je me suis alors rapatrié vers la terrasse pour finir quelques bandes dessinées. C’est alors que je me suis fait attaqué par des bêtes féroces.C’est un cerf-volant paraît-il. Pour vous permettre de vous rendre compte de la taille de l’engin, j’ai posé à côté un objet qui me passait fortuitement par la main.
J’ai bien dormi cette nuit là.
Voilà l’adresse du blog du Canton. Voilà celle du site ouaibe.
16 août 2007
Le nouveau concours
1. Quel est le surnom du monsieur de la photo dans la blogosphère ?
2. Que regarde-t-il dans la rue à cette heure tardive ?
A noter que le réglement est strict : les postulants répondant "le derrière d'Edouard" à la deuxième question seront automatiquement éliminés.
A noter aussi que s'ils répondent ça à la première question, je me les mange.
Afin de départager les participants, une question subsidiaire est posée. Chez ce Monsieur, que vaut-il mieux mesurer ? Les grammes ou les centimètres ?
Le nouveau blog de Tonnegrande !
Tours
07 août 2007
05 août 2007
Moi tout nu
04 août 2007
Mâle canton
- les normaux,
- ceux qui ont netvibes sans le blog du Canton,
- ceux qui ont netvibes avec le blog du Canton.
Ceux des deux premières catégories ne savent pas que Luc a sorti un nouveau billet.
Pourtant, c'est aussi rare que moi quand je n'en sors pas.
Ne demandez pas le programme
J’ai répondu 33 fois : « Dans le sud, vers Villejuif ». Ce ne fait rire personne. Ils sont cons.
J’ai répondu 2314 fois la vérité : « Je n’en sais rien ». Personne ne me croit. Ils sont cons. Pour le Français, « les vacances », c’est synonyme de « partir ». Pour moi c’est synonyme de ne pas travailler.
Depuis août dernier, j’ai pris une trentaine de fois l’avion et aller passer une quinzaine de week-ends en Bretagne ce qui doit bien faire
Je n’ai pas les moyens de passer mes vacances à Sagone ni dans des résidences très huppées à 30 000 euros la semaine comme Nicolas Sarkozy. Quand je dis « pas les moyens », je ne parle pas des moyens financiers, mais j’ai tout simplement oublié de réserver.
Voilà : je ne sais pas où je vais pour les vacances et je m’en fous à un point incroyable. L’année dernière, j’avais diffusé le programme précis de mes vacances sur le blog. Ca veut dire uniquement que le 9 août au matin, j’ai réservé des hôtels pour cette virée. Nous sommes le 4 août, pour l’instant je ne sais pas ce que je fais.
Je trouve ça absolument délirant ces gens qui planifient leurs vacances comme ils planifient les projets qu’ils doivent mener au boulot. Je comprends qu’ils le fassent (s’il faut réserver un truc) mais je trouve ça fou. S’il faut tout prévoir, ça n’est pas des vacances.
Je vois mes potes Jocelyne, Yann et Gilles lundi matin. On va décider. « On part ensemble ? ». A partir de ce moment, on va décider quelque chose. Eventuellement de ne pas partir ensemble. Déjà, planifier à l’avance la date où on décide est un effort surhumain de ma part…
Une chose est à peu près sure. Je vais passer quelques temps (deux heures à quinze jours) au Canton chez mes copains Claude et Luc. Je le fais chaque année. Cette année, j’y retourne pour engueuler Luc sur la manière dont il gère son blog. Un billet tous les deux mois, ça n’est pas assez.
Il est probable que je passe à Tours. Je n’ai pas vu Gaël depuis le 24 mars 2002, ce qui n’est pas sérieux. Il faut dire qu’à l’époque j’étais jeune et con. Et je n’ai aucune mémoire des dates, contrairement aux photos prises ce jour là quand on a été faire un tour en urgence dans Paris. Gaël trouvait con de passer un week-end au Kremlin-Bicêtre entre On a même été se faire éponger au bois.
Je vous conseille de visiter Paris avec moi. On ne perd pas de temps à des futilités.
Pour illustrer ces propos, je vais mettre la meilleure photo qu’il a prise avec mon appareil (photo) ce jour là.
Il est possible que je passe par Toulouse pour me moquer de certains blogueurs influents qui refusent de passer à
Il est également possible que je passe par Cavalaire chez mes copains Régine et Michel, mais la dernière fois, j’ai pris
Il est aussi possible que je passe par Périgny ou Trégastel. Ce n’est pas la peine que je me fatigue à faire des nièces et des neveux si c’est pour ne jamais les voir.
Je ne sais pas. Mais Fil et Gaël seraient avisés de me laisser leurs numéros de téléphone que je puisse leur dire : « j’arrive demain, on boit un coup, tu as une chambre disponible ? » Mais qu’ils n’espèrent (ou désespèrent pas) : je ne prévois jamais mes vacances.
Aussi bien, je vais aller avec Ramdane en Belgique. On en a parlé hier soir, si ma mémoire est bonne, ce qui n’est pas vraiment sur : j’arrosais mes vacances.
C’est à peu près le seul truc que je prévois avant de partir en vacances : l’arrosage.
03 août 2007
02 août 2007
Marcel a coincé sa braguette
Je vais faire court. Enfin ! Je vais essayer. C’est bien plus drôle quand c’est Marcel qui raconte. D’ailleurs Fiso a fait pipi dans sa culotte en entendant Marcel ce qui faisait ronchonner Josiane qui venait de faire le ménage.
Tout commence par Marcel qui se coince la peau du truc (traduisez « la bite » mais Marcel est très prude - il parlait même de « la zigounette ») dans la braguette.
On ne sait pas trop pourquoi. Il nous dit que c’était en allant changer l’eau des patates (traduisez « pisser ») mais j’ai un doute sérieux. Pensez-vous vraiment que, quand un taxi parisien indique avoir un problème de braguette dans le bois de Boulogne, c’est en allant pisser ?
Laissons-le croire que nous n’avons pas compris et que sa femme est dupe. Je reprends l’histoire.
Marcel se coince le truc dans la braguette. Il essaie de décoincer, n’y arrive pas. Il rentre chez lui et demande à sa femme de l’aider. Elle n’y arrive pas. Elle découpe donc.
Je parlais du pantalon.
Marcel met sa grande gabardine (pour cacher le trou dans le pantalon, suivez un peu !) et ils se rendent tout deux à l’hôpital.
Marcel explique son affaire avec son affaire à l’interne, qui lui dit : « ça arrive ». L’interne essaie de décoincer le truc avec différents outils, je n’y connais rien. Il faut que j’en parle à Farid, c’est le seul chirurgien que je connaisse. Cela dit, sa spécialisation en tant que chirurgien est la Chirurgie Maxillo-Faciale. Je ne sais pas si ce sont les mêmes outils qui sont utilisés pour enlever une bite d’une braguette que pour opérer un os maxillaire.
Si ! Un os maxillaire, ça s’os paire.
Toujours est-il que l’interne essaie différents outils pour décoincer Marcel. Ca ne marche pas. Je ne parle pas de l’outil de Marcel mais du décoinçage.
L’interne appelle son collègue. Marcel, heureux plaisantin, sort alors une fine plaisanterie du type « alors, je vais rester comme ça ! » comme il a l’habitude (en un mot). Le deuxième interne se fâche alors : « Aaaahhhh ! Ca vous faire rire ! Vous croyez qu’on n’a que ça à faire ! ». Marcel « Vous fâchez pas, si on peut plus rigoler… ».
Le premier interne sort de la pièce, sans doute pour rigoler.
Le deuxième interne prend alors les outils de son collègue pour bricoler l’outil de Marcel. Il essaie un truc, qui ressemblait à un décapsuleur. L’outil casse. Je parle de celui qui ressemble à un décapsuleur, pas celui qui ressemble à une limace.
Voilà le deuxième interne bien embêté ! Il avait cassé l’outil de son collègue en voulant décoincer l’outil de Marcel.
Le premier interne revient.
Le premier interne sort un nouvel outil, une espèce de truc qui sert à découper les alliances et les bagues lors des accidents.
Le premier interne dit « Bon ! Va falloir couper ! » Marcel n’était pas trop chaud et fait part de sa réprobation, son outil pouvant servir. L’interne le rassure : « je parle de la braguette, mais je vous préviens, il va falloir découper un bout de peau ». Marcel : « C’est pas de pot ».
Action. Ca marche. Voilà Marcel décoincé. Je ne sais pas si ça coûte la peau des fesses pour se faire enlever un bout de peau de bite, la question n’est pas là, il faut que je finisse l’histoire.
Le premier interne s’empresse d’aller rassurer l’épouse de Marcel qui s’inquiétait en salle d’attente, non pas pour Marcel, mais pour son engin qui pouvait encore servir. L’interne lui tend le bout de tissus avec le bout de braguette et lui dit « Ca y est ! C’est un garçon ! ».
Je rappelle que ceci est véridique (sauf le « c’est pas de pot » ci-dessus) et m’a été confirmé par Madame Marcel.
Pendant ce temps là, le deuxième interne bande Marcel en lui disant qu’il ne faudrait pas bander pendant quelques temps. Il lui fait une ordonnance pour je ne sais quel produit, mais comme il n’avait aimé la plaisanterie de Marcel, il lui a fait une ordonnance pour un produit trop puissant (du Dakin me dit Marcel, mais j’ai un doute, je vais peut-être envoyer un mail à Farid pour qu’il nous donne des conseils).
Du coup, au bout de 40 jours, la plaie n’était pas encore cicatrisée ! Marcel a été obligé de retourner à l’hôpital. L’internet de permanence (le troisième interne de l’histoire) a traité Marcel de fou quand il lui a dit quel produit il utilisait !
Voilà l’histoire ! On était pliés de rire quand Marcel la racontait ! Il nous en a raconté une autre, je ne peux pas la décrire ici.
Si ?
Bon en résumé alors. Et seul paragraphe.
Marcel, arrivé à l’époque vers 55 ans, s’inquiétait de l’avenir de ses performances sexuelles dans les années à venir. A tort me dit Madame. Il est allé voir un sexologue. Le sexologue lui a fait une injection de produit et a dit à Marcel : « revenez dans une heure ». Voilà Marcel qui va se promener dans la rue. Au bout de quelques temps, il se retrouve avec une érection magistrale, ce qui est très gênant : il n’avait pas emmené la gabardine évoquée plus haut. Il se précipite dans un bistro pour uriner (ou plus si affinité). Rien à faire. Il retourne donc chez son sexologue. Tout ça se calme. Après, il part faire des travaux chez sa sœur. Il astiquait une barre en cuivre quand une nouvelle érection magistrale lui arrive. Je ne savais pas qu’astiquer une barre en cuivre faisait cet effet là. Faut dire que je n’ai jamais astiqué une barre en cuivre. Marcel attend patiemment de débander, rien à faire. Au bout d’une heure ou deux (c’est long), il se décide à appeler le sexologue qui lui dit : « venez vite, je ferme dans dix minutes ».
On rigole bien avec Marcel.
Je vais mettre des photos de papillons pour illustrer le billet. Je n’ai pas la photo de la bite à Marcel.