Rappelez-vous, Barbara ! L’an passé, j’avais fait un reportage photographique sur le Canton. La météo ne m’avait alors pas inspiré pour décrire la table d’hôte. Cette année, je m’y colle mais je laisse Luc indiquer en commentaire le menu exact de ce soir là : j’ai trop peur d’écorcher le nom de son lapin… sans compter que mon Word ne connais pas l’orthographe de « gaspacho ». Moi-même d’ailleurs, je me suis couvert de honte, mardi pendant la préparation du repas, puisque j’étais persuadé que gaspacho était un plat Italien !
Pour narrer une table d’hôte au Canton, il faut être un observateur privilégié, comme j’ai eu le plaisir de l’avoir été. Tout le plaisir n’est d’ailleurs pas que pour moi, mais aussi pour mon pèse personne qui affiche dorénavant 104 kilos. Je me demande s’il n’est pas cassé.
Tout commence par la cueillette des légumes dans le potager. Mon pote âgé, Luc, ne l’est pas suffisamment pour ne pas pouvoir se plier… à ce rite. J’ai d’ailleurs pris une photo.
Il serait néanmoins mensonger de ma part de ne pas mentionner que le potager est juste en dessus de la piscine, ce qui permet à Luc de prétexter des cueillettes diverses pour aller observer les jeunes mères de famille surveillant leur progéniture en bronzant en maillot de bain.
Il va falloir que j’en touche deux mots à Claude, sa tendre épouse.
Ensuite, il faut éplucher ces légumes.
Ca donne soif, mais progressivement, le travail s’accomplit.
C’est alors que j’interviens puisqu’il faut maintenant mettre la table. Etant venu sans mon épouse, je n’avais que ça à mettre en cette fin d’après-midi. J’ai donc proposé mon modeste coup de main pendant que Claude et Luc se lançaient dans les préparatifs plus sérieux de cette soirée mémorable.
Nous avons ainsi pu passer à table avec nos joyeux convives. En un mot.
Mon rôle pendant la soirée n’était pas limité à la mise de la table : j’avais aussi en charge l’approvisionnement en pinard. Je n’ai pas chômé. Cependant, je n’ai pas assez travaillé puisque les dames n’étaient pas saoules contrairement à certains et que la soirée n’a pas dégénéré comme me l’avait annoncé Luc. On n’a pas fini tous à poils dans la piscine.
Quelques messieurs ont été faire un sauna (un quart d’heure de transpiration, une douche vite fait, un autre quart d’heure dans la piscine et on recommence !).
Luc et moi sommes restés avec Claude et quelques dames à papoter au bord de la piscine.
Jusqu’à ce que tout le monde sauf les sportifs aille se coucher, me laissant quelque peu rêveur (pas les sportifs, la piscine).
Je me suis alors rapatrié vers la terrasse pour finir quelques bandes dessinées. C’est alors que je me suis fait attaqué par des bêtes féroces.C’est un cerf-volant paraît-il. Pour vous permettre de vous rendre compte de la taille de l’engin, j’ai posé à côté un objet qui me passait fortuitement par la main.
J’ai bien dormi cette nuit là.
Voilà l’adresse du blog du Canton. Voilà celle du site ouaibe.
Très belles photos (même le cerf-volant !) et très beau moment.
RépondreSupprimerPersonnellement, j'aurais prisd'assaut la piscine à la nuit tombée, c'est grandiose avec la nuit tout autour…
:-)
Oui, mais l'eau est mouillée.
RépondreSupprimerSuper reportage, vu un peu tardivement (mais nous étions encore 22 en TH hier soir). On sent la fin (11 en TH ce soir).
RépondreSupprimerTiens ! Luc commente, maintenant !
RépondreSupprimerTu as oublié de me dire si je xdevais commenté ton commentaire sur mon précédent commentaire ! alors ?
RépondreSupprimerTu peux surtout donner le nom de ta recette de lapin, comme je le demande dans le billet !
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