Vous vous rappeler de
ce billet ? J’y raconte comment j’ai « manipulé » Marcel pour qu’il amène le Vieux Jacques à l’hôpital ! Ben, j’ai recommencé… ou presque ! Je n’ai pas eu besoin de manipuler, juste de dire à Marcel : «
Le vieux a passé le réveillon chez moi, il n’était pas en forme, passe le voir, s’il n’est toujours pas bien, tu l’amènes à l’hosto, comme il respire mal, j’ai bien peur que le palpitant soit en cause ».
Il m’a dit « d’accord ». Comme il est un peu con, il l’a amené à la Pitié-Salpétrière ou au Val-de-Grace, je ne sais plus, sous prétexte que c’est plus classe qu’au CHU du Kremlin-Bicêtre. Marcel est comme ça… Le trou de la sécu n’est pas près de se combler contrairement à certains trous de ma connaissance.
Tu parles ! Ensuite, l’hôpital a perdu Jacques dans les couloirs. Véridique. Ensuite Marcel a perdu Jacques : plus personne ne savait où il était. Finalement, il avait été transféré dans une clinique de Bagnolet, à l’autre bout de Paris, donc !
Même quand il est mourant, il nous en fait des belles ! Et cette fois, ça n’est qu’une vulgaire bronchite.
Tant qu'ils le mettent pas à Necker.
RépondreSupprimerOu au père Lachaise à porteur.
RépondreSupprimerExcellentissime le titre de ce billet ! :-)
RépondreSupprimerPoir,
RépondreSupprimerMerci !
pareil que poireau : j'adore le titre. J'ai aussi lu le billet, car je suis consciencieux.
RépondreSupprimerJe fais bien de me garder des billets de côté.
Il m'en reste en réserve !
RépondreSupprimerJ'espère bien qu'on va piller la cave !
RépondreSupprimerCa me donne soif !
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