Je vous préviens, ce billet est grossier. Un peu seulement, on ne va pas faire entre deux eaux, c’est fastidieux à nettoyer. Tu te demandes où je veux en venir ? C’est facile. Je vais parler de bites. Enfin… De la mienne pour être précis.
Non ! Je n’ai rien fait avec dans les douches de la piscine. D’ailleurs, je ne vais pas à la piscine, c’est plein d’eau. Par contre, je vais au bistro. C’est là que ça s’est passé. A l’Aéro, avant-hier.
Tu te demandes ce que j’ai fait de ma bite au bistro. Tu imagines un truc mignon comme un concours de queue avec mes copains. Non. Tu oublies qu’au vu de la configuration de certains ce genre de concours est impossible. Ou alors il faudrait créer des catégories.
Ce n’est pas ça.
Tu imagines quelque chose de plus scabreux, comme un jeu amusant avec une jeune fille en état d’ébriété qui aurait pu nous faire des choses sympathiques nous plongeant dans une euphorie passagère.
Ce n’est pas ça. Tu ne vois que le mal partout.
Non ! Il s’agit d’un plaisir solitaire que j’ai fait partager à mes copains. Tu commences à imaginer quelque chose d’abject ? Ca n’est pas ça. Laisse tomber. Tu penses bien que je ne le raconterais pas dans le blog et, d’ailleurs, qu’une telle idée ne me passerait ni par la tête ni ailleurs.
Je sais que j’ai des lecteurs féminins. On les appelle des lectrices. Je vais faire un aparté pour leur présenter mes excuses qui devront néanmoins être acceptées d’office. Mesdames, la compréhension de la suite de cette note nécessitera une attention particulière de votre part, un effort d’imagination presque surhumain car vous n’urinez pas debout. Non pas que ça vous soit physiquement impossible mais ça n’est pas spécialement dans les mœurs.
Par contre, sachez mesdames, que nous autres, Messieurs, avons assez rarement l’occasion de nous regarder uriner vu de face. A l’Aéro, ils ont installé un miroir juste en face.
C’est ainsi qu’en rêvassant au sujet de la dernière discussion au comptoir pendant quelques minutes de pause rendues nécessaires par l’absorption de boissons houblonnées, on s’aperçoit subitement qu’un individu est en train d’uriner face à vous… avant d’éclater de rire en se rendant compte qu’il s’agit de son propre reflet.
Le miroir est placé de manière à ce qu’on ne voit pas sa tête mais juste la partie du corp entre le nombril et les genoux y compris un machin tout flasque qui sort de la braguette et qu’on se tient entre les mains.
Je précise que la position de ce miroir n’est aucunement liée à l’esprit facétieux ou grossier des tauliers mais uniquement à la configuration des lieux. Les toilettes hommes sont placées sous l’escalier de l’immeuble, la moitié supérieure est en pente : Idir et Karim ont été « obligés » de placer le miroir assez bas… C’est à l’usage qu’ils ont compris que ça amuserait les clients.
C’est réussi.
C’est pour ça que j’accueillais les copains, hier soir, en leur disant : « vite, va pisser ».
Non ! Je n’ai rien fait avec dans les douches de la piscine. D’ailleurs, je ne vais pas à la piscine, c’est plein d’eau. Par contre, je vais au bistro. C’est là que ça s’est passé. A l’Aéro, avant-hier.
Tu te demandes ce que j’ai fait de ma bite au bistro. Tu imagines un truc mignon comme un concours de queue avec mes copains. Non. Tu oublies qu’au vu de la configuration de certains ce genre de concours est impossible. Ou alors il faudrait créer des catégories.
Ce n’est pas ça.
Tu imagines quelque chose de plus scabreux, comme un jeu amusant avec une jeune fille en état d’ébriété qui aurait pu nous faire des choses sympathiques nous plongeant dans une euphorie passagère.
Ce n’est pas ça. Tu ne vois que le mal partout.
Non ! Il s’agit d’un plaisir solitaire que j’ai fait partager à mes copains. Tu commences à imaginer quelque chose d’abject ? Ca n’est pas ça. Laisse tomber. Tu penses bien que je ne le raconterais pas dans le blog et, d’ailleurs, qu’une telle idée ne me passerait ni par la tête ni ailleurs.
Je sais que j’ai des lecteurs féminins. On les appelle des lectrices. Je vais faire un aparté pour leur présenter mes excuses qui devront néanmoins être acceptées d’office. Mesdames, la compréhension de la suite de cette note nécessitera une attention particulière de votre part, un effort d’imagination presque surhumain car vous n’urinez pas debout. Non pas que ça vous soit physiquement impossible mais ça n’est pas spécialement dans les mœurs.
Par contre, sachez mesdames, que nous autres, Messieurs, avons assez rarement l’occasion de nous regarder uriner vu de face. A l’Aéro, ils ont installé un miroir juste en face.
C’est ainsi qu’en rêvassant au sujet de la dernière discussion au comptoir pendant quelques minutes de pause rendues nécessaires par l’absorption de boissons houblonnées, on s’aperçoit subitement qu’un individu est en train d’uriner face à vous… avant d’éclater de rire en se rendant compte qu’il s’agit de son propre reflet.
Le miroir est placé de manière à ce qu’on ne voit pas sa tête mais juste la partie du corp entre le nombril et les genoux y compris un machin tout flasque qui sort de la braguette et qu’on se tient entre les mains.
Je précise que la position de ce miroir n’est aucunement liée à l’esprit facétieux ou grossier des tauliers mais uniquement à la configuration des lieux. Les toilettes hommes sont placées sous l’escalier de l’immeuble, la moitié supérieure est en pente : Idir et Karim ont été « obligés » de placer le miroir assez bas… C’est à l’usage qu’ils ont compris que ça amuserait les clients.
C’est réussi.
C’est pour ça que j’accueillais les copains, hier soir, en leur disant : « vite, va pisser ».
Tiens ! J'ai oublié de mettre une photo. Vaut peut être mieux...
RépondreSupprimerSais-tu que sur internet, il y a plein de vidéos pornos (j'adore leur coté surréaliste Bunuelien) avec des filles qui vont au toilettes et des bites sortent de partout, par des trous confectionnés dans les cloisons ???
RépondreSupprimerSinon, c'était un chouette billet, sévèrement burné !
RépondreSupprimerTroisième connerie : comment tu fais pour bien viser si tu es plus absorbé par le spectacle de ton sexe urinant que par la cible sensée recueillir ton houblon distillé ?
RépondreSupprimerPeu importe les détails...
RépondreSupprimerLes toilettes des hommes et des femmes sont différenciées à l'Aéro parce que je n'ai aucun souvenir de glace ? Faut dire que j'ai été obligée de me battre avec Goux et T(bip)dano pour pouvoir y accéder !
RépondreSupprimerAh ah ah quel fou rire ;-)
RépondreSupprimerVous allez pouvoir vous contempler les mecs !
et la personne dans le reflet a un sourire goguenard ?
RépondreSupprimerPetit miroir deviendra gland, pourvu que Dieu lui prête vit...
RépondreSupprimerJ'ai connu un endroit comme ça... Et bien moi je regardais mes fesses. Et ça ne m'étonnerait pas que toutes les filles fassent de même... Non ?
RépondreSupprimerGael,
RépondreSupprimert'as déjà vu une bite sourire ?
Zoridae : vous pensez réellement qu'il n'y a que les filles pour regarder vos fesses ? Grande modeste, va !
RépondreSupprimerEt tu sais pourquoi faut toujours te la secouer quand t'as fini de pisser ?
RépondreSupprimer-> T'as déjà vu une bite renifler ?
(OK, je sors)
Et pour Tonne, ils ont prévu un miroir assez grand?
RépondreSupprimerTrub,
RépondreSupprimerLe changement est récent.
M.,
Tu peux participer.
Gael,
On ne le voit pas...
Didier,
Votre commentaire me laisse coït.
Zoridae,
Je ne vais pas t'expliquer l'anatomie, mais les fesses sont rarement visibles de face.
Dorham,
Oui, la mienne. Pas toi ?
Ant,
Rentre là.
Olivier,
Il ne rentre pas dans les toilettes. La question ne se pose pas.
Nicolas,
RépondreSupprimerJe ne vais pas te faire un dessin mais on peut se retourner !
Super ton lien.
RépondreSupprimerPour le reste, on ne sait jamais où les mecs trop bourrés vont pisser. Dans la galerie des glaces, c'est gonflé. Vous faites de la concurrence à Jeff Koons.
Un miroir, c'est chouette ça permet de se recoiffer aurait dit notre Président !
RépondreSupprimer[Ok, je sors !]
:-)
Moi, les miroirs près des urinoirs, ça me fait triquer direct, ce qui n'est pas trés commode pour pisser... Et d'ailleurs, si j'ai l'occase (ah! non, on dit qu'on donnait pas les détails ici). Bah ! disons qu'avec un miroir, on se sent moins seul. Même dans le plaisir !
RépondreSupprimerPoireau,
RépondreSupprimerJ'ai arrêté de me coiffer la bite.
Oh!91,
Ma propre bite ne me fait pas triquer. Les autres non plus d'ailleurs.