Il y a des jours où on aimerait bien être blogueur littéraire pour raconter avec des mots des moments de rêve où il ne se passe strictement rien. Hier en était un. Un beau.
Je rentre à la maison de bonne heure, les copains pas en vacances étant parti voir Dieudonné en spectacle pour vérifier s’il est antisémite primaire ou juste provocateur. Stupeur ! Stupéfaction ! Mon frigo est vide. Non seulement il ne contient ni la moindre bière ni le moindre litre de rouge qui aurait pu me distraire de ma faim, mais il ne contient que ce genre de plat de pates qui sustente les célibataires en hivers.
« Tiens ! Et si j’allais dîner à la Comète » me dis-je ? Généralement, je pars de la Comète trop tard pour aller dîner à la maison, hier c’était le contraire.
Pas un seul client. Le vide sidéral. Je m’installe en terrasse et me fait servir par Jim, serveur photogénique (cf. illustration), une assiette de charcuterie et une verre de Côtes-du-rhône.
Il faisait chaud mais pas trop. Il faisait jour mais pas trop. Me voilà rêvassant, tout seul.
Moment de solitude tellement idyllique que j’ai appelé mon copain Djibril pour qu’il le partage.
Je rentre à la maison de bonne heure, les copains pas en vacances étant parti voir Dieudonné en spectacle pour vérifier s’il est antisémite primaire ou juste provocateur. Stupeur ! Stupéfaction ! Mon frigo est vide. Non seulement il ne contient ni la moindre bière ni le moindre litre de rouge qui aurait pu me distraire de ma faim, mais il ne contient que ce genre de plat de pates qui sustente les célibataires en hivers.
« Tiens ! Et si j’allais dîner à la Comète » me dis-je ? Généralement, je pars de la Comète trop tard pour aller dîner à la maison, hier c’était le contraire.
Pas un seul client. Le vide sidéral. Je m’installe en terrasse et me fait servir par Jim, serveur photogénique (cf. illustration), une assiette de charcuterie et une verre de Côtes-du-rhône.
Il faisait chaud mais pas trop. Il faisait jour mais pas trop. Me voilà rêvassant, tout seul.
Moment de solitude tellement idyllique que j’ai appelé mon copain Djibril pour qu’il le partage.
Ah mais non ! ces moments-là, justement, ils ne se partagent pas, et c'est ce qui fait tout leur prix.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerVous avez raison : des moments de solitude, ça ne se partage pas !
D'ailleurs, je viens de ce pas pourrir la votre !
RépondreSupprimerbobiyé !
RépondreSupprimerMerci !
RépondreSupprimerah là là si Zoridae était là elle te lancerait un beau concours de tortues marines pour départager tout ce beau monde !
RépondreSupprimerOui ! Un concours !
RépondreSupprimerDieudonné antisémite? D'où vient donc cette idée plutôt répandue en France?
RépondreSupprimerLe bonhomme provoque oui, mais il exprime aussi des faits. Il n'est pas seul à faire ça.
Toujours est-il que je vous sauhaite d'autres merveilleux moments, des moments parfaits.
Accent Grave
Accent très grave,
RépondreSupprimerOn s'en fout. Si ma mémoire est bonne, j'ai un blog politique quelque part.
Accent grave,
RépondreSupprimertu es grave :)))
Gael,
RépondreSupprimeroui, d'accord, un concours mais on change d'animal alors...
L'oppossum ?
Pas le porc épic, hein ! Quand on le sodomise, ça fait des trous dans le ventre.
RépondreSupprimerva pour les opossums ça a l'air aussi branleur que nous comme z'animal !
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