Certains individus mal famés pourraient s’imaginer que notre soirée d’hier avec une palanquée de blogueurs littéraires zinfluents ou non blogueurs du tout mais fort sympathiques néanmoins s’est transformée en infâme beuverie. Il n’en est rien ! Et pour cause : les cinq vieux n’étaient pas là.
Commençons notre narration par le milieu : l’apéro. Certains buvaient de la bière d’autres du rosé. Rien d’original ! Mais surtout : parfait. Avec la température ambiante, quoi boire d’autre ?
L’apéro était accompagné de machins à manger difficilement identifiables mais tout à fait mangeables. Il suffisait de ne pas regarder (Smiley ! Smiley).
Deux sujets ont été abordés lors de la réunion.
Tonnegrande, d’abord : nous devions convaincre Audine que malgré son outillage extraordinaire, il reste très fréquentable.
Didier Goux, ensuite : nous devions convaincre Audine que malgré ses babillages extraordinaires, il reste très fréquentable. Parfois.
J’ai malheureusement du quitter tout le monde vers 22h15 : il est temps que les vacances arrivent… Surtout, la clim étant cassée au bureau, je trainais dans une atmosphère supérieure à 28 degrés depuis le matin. Ce n’est pas le tout d’entretenir un quintal, il faut assumer. Le pire est que j’étais tellement fatigué que cette température ne me donnait même pas soif.
Je dois vieillir. Les autres étaient jeunes. Enfin, pour Audine, je ne sais pas mais je n’allais quand même pas demander. Si elle a cinquante ans elle est bien entretenue. Si elle en a vingt, elle devrait changer de toubib.
Tiens ! C’est la première fois qu’Audine devient un des personnages de ce blog. Ca lui apprendra : la dernière fois, elle avait dit qu’elle aimait bien mes conneries et que c’était bien sympathique de se baser sur des personnages réels pour rigoler. Maintenant qu’elle se retrouve dans le blog, elle va peut-être changer d’avis…
J’aurais du venir avec Didier, Olivier et Tonnégrande qui sont largement plus vieux que moi. Néanmoins, lors du concours de queue que nous devions organiser, nous aurions été lésés par Tonnégrande et Didier aurait pu mal se comporter en présence de jeunes filles, surtout dans la perspective de passer une nuit tout seul dans son modeste studio de la Balkanie Maritime.
La soirée avait pourtant mal commencée. Je me suis perdu par la faute de Dorham qui confond les cailloux moches avec des mégalithes (oui, Jacques, les mégalithes sont des grosses lithes, arrête de m’interrompre avec les questions). Je me suis aussi perdu au retour à deux occasions (la première en sortant de chez Dorham pour retrouver le métro) et la deuxième à Olympiade, j’ai enquillé Tolbiac dans le mauvais sens. Il faut dire que je ne suis pas habitué à rentrer à jeun et à pieds. J’aurai du picoler et prendre la voiture : le GPS m’aurait aidé à rentrer.
La soirée avait été interrompue par un SMS de Jim « C’est qui sur la photo pour une nuit d’amour ? ». Je pensais à une farce de Tonnégrande qui aurait filé à Jim une photo quelconque pour le persuader que nos agapes étaient à caractère sexuel et non pas littéraire. C’est ce matin que j’ai compris qu’il était passé sur le blog et s’interrogeait sur ce billet. Trop tard ! Pour me venger de Tonnégrande, j’ai montré aux dames qui étaient là le contenu du SMS qu’il m’avait envoyé un peu avant. Ca lui apprendra.
J’imagine Tonnégrande, arrivé à ce stade de la lecture du billet, transpirer à grosses gouttes en se disant « je suis grillé ». Non ! Tonne, ça n’est qu’une farce. Je le garde en réserve pour exercer un chantage ultérieur.
Par contre, je me demande si Jim n’est pas en train de virer homosexuel : la photo en question ne représente que des garçons. S’il vire homosexuel, un sexe n’ayant pas d’œil, il va falloir que je m’arrange pour passer avant Tonnegrande qui pourrait gâcher la marchandise (Jim, je rigole).
En fait, j’ai menti. Si je suis parti si tôt c’est en observant Balmeyer qui palissait à vue d’œil. Si nous étions parti ensemble, à défaut de voiture de belle-mère, nous aurions du partager le taxi. Or, je n’ai plus qu’une seule cravate propre. En outre, Dorham insistait de plus en plus pour que je lui apprenne à chanter la marseillaise en Breton. Or c’est une chanson qui ne se chante qu’à poil, debout sur une table. Si Zoridae avait voulu l’apprendre, par contre…
Que je raconte maintenant la fin de la soirée. Je dois avouer une erreur grave. Une faute de débutant. Comme si j’en étais à me première sortie ! Je suis parti de chez Dorham sans aller uriner. Il faut une petite demi heure pour rentrer de chez Dorham à chez moi. Arrivé à Bicêtre, il était temps de s’arrêter pour une escale technique. Sans compter qu’il faisait toujours très chaud dans le métro et qu’une légère soif m’était revenue. Il va falloir que je consulte un psy : il n’y a plus qu’à Bicêtre que j’ai soif. Un microclimat ?
Obligé de m’arrêter à la Comète, pas encore fermée. Me voila accueilli par Hervé et Christian qui dinaient. Hervé buvait de l’eau et Christian du rouge. Tonnegrande comprendra ma surprise. Me voila obligé de boire un coup. « Un demi, s’il-te-plait ».
Quatre heures après, Hervé m’envoyait un SMS : il était papa pour la quatrième fois. Les élus socialos se multiplient…
(photo)
Commençons notre narration par le milieu : l’apéro. Certains buvaient de la bière d’autres du rosé. Rien d’original ! Mais surtout : parfait. Avec la température ambiante, quoi boire d’autre ?
L’apéro était accompagné de machins à manger difficilement identifiables mais tout à fait mangeables. Il suffisait de ne pas regarder (Smiley ! Smiley).
Deux sujets ont été abordés lors de la réunion.
Tonnegrande, d’abord : nous devions convaincre Audine que malgré son outillage extraordinaire, il reste très fréquentable.
Didier Goux, ensuite : nous devions convaincre Audine que malgré ses babillages extraordinaires, il reste très fréquentable. Parfois.
J’ai malheureusement du quitter tout le monde vers 22h15 : il est temps que les vacances arrivent… Surtout, la clim étant cassée au bureau, je trainais dans une atmosphère supérieure à 28 degrés depuis le matin. Ce n’est pas le tout d’entretenir un quintal, il faut assumer. Le pire est que j’étais tellement fatigué que cette température ne me donnait même pas soif.
Je dois vieillir. Les autres étaient jeunes. Enfin, pour Audine, je ne sais pas mais je n’allais quand même pas demander. Si elle a cinquante ans elle est bien entretenue. Si elle en a vingt, elle devrait changer de toubib.
Tiens ! C’est la première fois qu’Audine devient un des personnages de ce blog. Ca lui apprendra : la dernière fois, elle avait dit qu’elle aimait bien mes conneries et que c’était bien sympathique de se baser sur des personnages réels pour rigoler. Maintenant qu’elle se retrouve dans le blog, elle va peut-être changer d’avis…
J’aurais du venir avec Didier, Olivier et Tonnégrande qui sont largement plus vieux que moi. Néanmoins, lors du concours de queue que nous devions organiser, nous aurions été lésés par Tonnégrande et Didier aurait pu mal se comporter en présence de jeunes filles, surtout dans la perspective de passer une nuit tout seul dans son modeste studio de la Balkanie Maritime.
La soirée avait pourtant mal commencée. Je me suis perdu par la faute de Dorham qui confond les cailloux moches avec des mégalithes (oui, Jacques, les mégalithes sont des grosses lithes, arrête de m’interrompre avec les questions). Je me suis aussi perdu au retour à deux occasions (la première en sortant de chez Dorham pour retrouver le métro) et la deuxième à Olympiade, j’ai enquillé Tolbiac dans le mauvais sens. Il faut dire que je ne suis pas habitué à rentrer à jeun et à pieds. J’aurai du picoler et prendre la voiture : le GPS m’aurait aidé à rentrer.
La soirée avait été interrompue par un SMS de Jim « C’est qui sur la photo pour une nuit d’amour ? ». Je pensais à une farce de Tonnégrande qui aurait filé à Jim une photo quelconque pour le persuader que nos agapes étaient à caractère sexuel et non pas littéraire. C’est ce matin que j’ai compris qu’il était passé sur le blog et s’interrogeait sur ce billet. Trop tard ! Pour me venger de Tonnégrande, j’ai montré aux dames qui étaient là le contenu du SMS qu’il m’avait envoyé un peu avant. Ca lui apprendra.
J’imagine Tonnégrande, arrivé à ce stade de la lecture du billet, transpirer à grosses gouttes en se disant « je suis grillé ». Non ! Tonne, ça n’est qu’une farce. Je le garde en réserve pour exercer un chantage ultérieur.
Par contre, je me demande si Jim n’est pas en train de virer homosexuel : la photo en question ne représente que des garçons. S’il vire homosexuel, un sexe n’ayant pas d’œil, il va falloir que je m’arrange pour passer avant Tonnegrande qui pourrait gâcher la marchandise (Jim, je rigole).
En fait, j’ai menti. Si je suis parti si tôt c’est en observant Balmeyer qui palissait à vue d’œil. Si nous étions parti ensemble, à défaut de voiture de belle-mère, nous aurions du partager le taxi. Or, je n’ai plus qu’une seule cravate propre. En outre, Dorham insistait de plus en plus pour que je lui apprenne à chanter la marseillaise en Breton. Or c’est une chanson qui ne se chante qu’à poil, debout sur une table. Si Zoridae avait voulu l’apprendre, par contre…
Que je raconte maintenant la fin de la soirée. Je dois avouer une erreur grave. Une faute de débutant. Comme si j’en étais à me première sortie ! Je suis parti de chez Dorham sans aller uriner. Il faut une petite demi heure pour rentrer de chez Dorham à chez moi. Arrivé à Bicêtre, il était temps de s’arrêter pour une escale technique. Sans compter qu’il faisait toujours très chaud dans le métro et qu’une légère soif m’était revenue. Il va falloir que je consulte un psy : il n’y a plus qu’à Bicêtre que j’ai soif. Un microclimat ?
Obligé de m’arrêter à la Comète, pas encore fermée. Me voila accueilli par Hervé et Christian qui dinaient. Hervé buvait de l’eau et Christian du rouge. Tonnegrande comprendra ma surprise. Me voila obligé de boire un coup. « Un demi, s’il-te-plait ».
Quatre heures après, Hervé m’envoyait un SMS : il était papa pour la quatrième fois. Les élus socialos se multiplient…
(photo)
Avec tout ça, on ignore si Balmeyer a vomi ou non...
RépondreSupprimerNon, Balmeyer n'a pas vomi du tout ! Il est resté mesuré. Pour info, tout était identifiable. C'était juste des antipasti : tomates séchées, artichauds marinés, specks...et tomate ovales là...
RépondreSupprimer'fin bref, Balmeyer est reparti sans même claudiquer !
En revanche Nicolas était tout fatigué :)
RépondreSupprimerJe précise que quiconque vomit sur mon paillasson joue avec l'espérance de vie de son appareil digestif !
Didier a raison, il faut vraiment te tirer les vers du nez
RépondreSupprimerPâlir à vue d'oeil ! Quelle calomnie ! :-) Je crois avoir passé la même journée que toi, Nicolas, assommé par la chaleur et le dur labeur pour redresser la France. Ça n'incite pas à danser sur la table.
RépondreSupprimerComme il faut quand même - c'est une coutume - que les soirées de blogueurs me foutent en l'air, j'ai eu une rage de dents innommable, et j'ai passé une nuit blanche assis sur le canapé à me tordre...
Une rage de dents, c'est mieux que rien, évidemment. Mais j'aurais préféré une bonne conjonctivite, personnellement.
RépondreSupprimerAh ! non : c'est sinusite que je voulais dire !
RépondreSupprimerRéjouissez-vous, en ce qui me concerne, j'ai de la fièvre, de la morve jaune et verte plein les bronches.
RépondreSupprimerVoilà ! Ils sont tous malades.
RépondreSupprimerZoridae n'est même pas levée !
Emmené Kéké chez le dentiste ce matin... :(
RépondreSupprimerBalmeyer veut dire que ce matin j'ai dû emmener Kéké chez le dentiste. Ça prend environ 3 heures : long trajet en métro, parc sur le chemin, Mac Do au retour pour éviter la crise de faim dans le métro... et voilà ! Maintenant on va aller faire la sieste !
RépondreSupprimerNicolas tu a manqué de merveilleuses pâtes cuisinées par Dorham ! Ainsi que le champagne à 2 heures du matin...
Ah oui et puis Nicolas tu as oublié de dire que ta cravate propre n'était pas à chier selon l'assemblée entière...
RépondreSupprimerBalmeyer,
RépondreSupprimerTu as une rage de dents et ta femme emmène votre fils chez le dentiste. Pas très cohérent.
La preuve que vous avez bu.
Zoridae,
RépondreSupprimerOui, je regrette, mais je me serais endormi sur la table ou alors mon coeur aurait laché avant 2 heures... Et du boulot aujourd'hui. (pas trop mais assez..;).
Oh, franchement, ça se voyait que tu étais anéanti !
RépondreSupprimerLes vacances se font attendre ! Dur !
7 mois sans un jour de congés à part les 4 jours fériés, c'est trop.
RépondreSupprimertiens ça ^parle de vacances par ici ?
RépondreSupprimermoi aussi il m'en faudrait tiens !
Je passe à Paris la dernière semaine d'août, y aurait-il moyen de grignoter des pâtes ensemble ?
RépondreSupprimerMais quel intérêt de rencontrer Nicolas, s'il n'a pas une cravate à chier ?
RépondreSupprimer(Tonnégrande, au secours ! ils sont devenus fous !)
Gaël,
RépondreSupprimerC'est vrai, tu n'as que huit mois de vacances par an. C'est pas assez.
Sylvie,
Oui. Mais tu me confirmes au moins une semaine à l'avance.
Didier,
Tonnegrande est probablement plein. Je l'ai quitté il y a 2 bonnes heures.
Sylvie, en ce qui me concerne, je serais alors - enfin - en vacances :(((
RépondreSupprimer(à chaque fois que tu viens je suis pas là)
La pauvre !
RépondreSupprimer(je fais la blague à la place de Nicolas)
Dorham, je vais finir par croire que tu le fais exprès !
RépondreSupprimerNicolas, on a prévu de boire d'abord des bières en Bretagne je crois ?
OK !
RépondreSupprimermouhahahah !!
RépondreSupprimerJ'adore être un personnage de blog !!
(aaaaaaah c'était des tomates séchées !!! j'hésitais ... :) )
Je n'ai absolument pas été malade mais j'ai eu très peur dans le taxi de retour : le chauffeur s'endormait tous les 50 mètres !!
Impressionnant !
Mais pas de sinusite, de rage de dents, d'histoire de morve, d'insomnie et tout ça.
Finalement je m'en sors bien :)
Tu n'as même pas vomi ? Ca vaut pas le coup de sortir.
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