Je suis d’une politesse incroyable : je vous avais promis de vous raconter la réconciliation du Vieux Jacques et de Marcel le Fiacre… Mais il me fallait attendre d’avoir une version crédible. C’est chose faite. Il ne me reste plus qu’à broder autour pour rendre ça plus drôle.
Ainsi, comme je vous le disais, en rentrant de mon week-end dans la Sarthe, j’ai clairement foncé à la Comète pour me taper un obligeant plat du jour car j’avais faim. Et soif. Le plat du jour ne me plaisait pas, je me suis donc rabattu sur le steak tartare.
En rentrant à la Comète, j’ai constaté que comme beaucoup de dimanches, le vieux mangeait avec le fiacre et son épouse. J’avais oublié qu’ils étaient fâchés. Ils avaient tous mangé des Côtes de bœuf, Jacques n’avait pas pris de dessert alors que la fiacresse et son époux avaient pris une crème brulée, comme moi. Ils avaient une bouteille de Bourgueil. Comme je suis arrivé après, j’ai commandé un quart de Côtes-du-rhône mais le loufiat était un petit jeune qui remplaçait Jim pendant son arrêt maladie et son voyage dans la Sarthe et s’est planté. Il m’a servi un rosé. Quand il est arrivé, j’ai pensé que c’est Dieu le père qui m’envoyait un signal pour la prochaine victoire des socialistes : j’ai accepté le rosé. A la guerre comme à la guerre.
Si ces détails culinaires vous gavent vous pouvez encore sauter deux ou trois paragraphes. Ils ont néanmoins leur importance dans l’histoire et surtout, j’ai un billet à rédiger, il faut bien que j’y mette du contenu.
Tout le monde a pris un café mais entre temps, mon camarade Djibril est arrivé et a commandé une bière, puis un quart de Côtes-du-rhône, un pavé de saumon et, enfin, également un café.
Pendant le repas, Marcel m’a annoncé qui me payait mon repas, la 1664 commandée par Djibril, la bouteille de pinard consommée avec Jacques, ce dernier ayant payé les apéros au comptoir.
D’ailleurs, puisque nous en sommes à ce stade, c’est à cause de ces apéros qu’ils sont réconciliés. C’est le Vieux Jacques qui me l’a raconté. Il était tout seul au comptoir à siroter son Kir dominical. Miranda (Madame Fiacre) est entrée, suivie de son mari. Jacques fait la bise à Miranda comme il se doit. Il faut dire qu’elle est beaucoup plus agréable à biser que Jacky, la grosse de Jacques. Au fait ! Vous me ferez penser à vous donner des nouvelles. Ca ne servira d’ailleurs à rien : je n’ai aucune nouvelle. Elle ne sort pas de chez elle. Le livreur de Rosé matinal n’est pas encore fatigué.
Jacques est un client de bistro. Il est tout seul. Des connaissent entrent. Il lâche par réflexe : « Que puis-je vous offrir ? » (ou « qu’est-ce que vous buvez, bordel ? » ou « vous prenez un verre » ou toute autre formule sortie du manuel de savoir vivre bistrotesque). Miranda commande donc un apéritif, Marcel est obligé de suivre alors qu’il ne voulait plus parler à Jacques. C’est à ce moment que Jacques s’est rappelé qu’il était fâché avec Marcel.
Ainsi, ils se sont réconciliés suite à une gaffe du Vieux ! Marcel ne voulait néanmoins pas remettre ça en offrant une tournée d'apéros. Ils ont sifflé leur apéro puis Marcel a dit à son épouse qu’il souhaitait passer à table. Miranda, sympathique comme tout, a suggéré à Jacques de s’asseoir avec eux sans tenir compte des probables coups de coude de son époux. Voilà comment ils se sont retrouvés attablés ensemble et comment Marcel a dit qu’il allait payer le vin.
Entre temps, la serveuse s’est pointée pour nous donner un pichet de 50 cl de Bordeaux rempli aux trois quarts, laissé par un client. Vous avez de la chance, ce n’est pas le sujet du billet et ce n’est pas le blog politique mais en cette période de déprime sociale, j’ai du mal à comprendre qu’un être humain puisse commander une carafe de vin et ne pas en boire plus d’un verre.
Nous voilà ainsi au stade final du repas : payer l’addition.
Voilà le serveur qui se pointe avec un ticket pour Djibril, un pour nos trois compères et trois pour moi (un pour le Tartare et le quart de Côte qu’était du Rosé, un pour le dessert et un pour le café).
Je vous préviens : la suite est TRES compliquée. Il faut vous accrocher.
Djibril devait payer toute sa note moins la 1664. Jacques devait payer sa côte de bœuf et son café. Marcel devait payer la bouteille de rouge, trois repas (2 côtes de bœuf, un Tartare et trois desserts). Quant à moi, je pensais ne devoir que mon café et mon quart de côtes qu’était du rosé. En fait, Marcel a payé (c’est bien normal : il m’invitait à manger… j’avais oublié de réfléchir…).
Djibril a payé le premier mais s’est trompé : il a déduit de sa note le prix de son quart de côtes et pas de la 1664. Marcel a accepté de payer le quart de côtes à la place de la 1664. Pour simplifier, j’ai suggéré à Jacques de filer à Marcel ce qu’il devait payer pour que Marcel puisse faire un règlement global. Jacques avait oublié qu’il devait un café et a donné 20 euros à Marcel pour payer sa côte de bœuf à 19 euros. Marcel rend donc un euro à Jacques.
Mais, en épluchant la note, nous nous sommes aperçus que le serveur avait compté les trois côtes de bœuf à 12 euros et non à 19. J’ai dit de laisser tomber. Il ne s’agissait pas d’entuber la Comète mais je dois avouer que j’avais oublié que 7 euros multiplié par trois, ça commence à faire beaucoup. Surtout, je ne voulais pas que le jeune loufiat se fasse engueuler et, comme le patron était absent, que son remplaçant galère sur la machine pour rattraper l’erreur. De nos jours, nos caisses enregistreuses sont compliquées…
Jacques n’avait pas suivi notre conversation. Il n’a strictement rien compris quand Marcel lui a rendu 7 euros supplémentaires et s’est presque fâché avant que je lui explique la situation.
Il restait donc à Marcel à payer toutes les consommations de Miranda, Jacques, lui et moi et un quart de côte à Djibril. Mais… le serveur se pointe et constate le pichet de Bordeaux et pense que sa collègue qui nous l’a filé a oublié de le taper. Me voilà à chercher la collègue pour qu’ils s’expliquent…
Pendant ce temps, Marcel fait le total de ce qu’il doit et arrive à 101€50 après de longs effort. D’un coup d’œil, je tombe, quant à moi, sur 102€20. J’explique son erreur à Marcel et il tombe d’accord avec moi… d’autant plus facilement que le loufiat qui avait réussi à tout suivre est tombé sur le même montant.
Marcel sort son carnet de chèques… et fait un chèque du montant qu’il avait noté… soit 101€50. Je ne dis rien et sort discrètement 70 centimes de ma poche. Je n’allais pas redemander à Marcel de faire un chèque… Il n’arrivait pas à détacher le chèque du carnet, s’était fait aider par son épouse qui a également échoué. Les deux commençaient à s’énerver… Il fallait un surhomme : je suis intervenu.
Tout est bien qui finit bien. Je vais illustrer ce billet avec une photo de Jacques accueillant Miranda sous l’œil attendri de Marcel.
Sauf que hier soir, j’ai gaffé. On était à la Comète pour ma dernière soirée avant la reprise du boulot. A 20 heures, Marcel se pointe. Or le comptoir de la comète ferme à 20 heures. Par pur réflexe et démagogie latente, j’engueule Marcel : « Bordel, tu sais bien que ça va fermer, par ta faute on va être obligés d’aller à l’Amandine ». Du coup, Marcel était obligé de nous suivre et a accepté la première tournée, celle du Vieux. Bis repetita comme dirait la belle fille de la concierge du chauffeur d’Yves Montand. Il allait partir quand je lui ai « Ah ! Non ! Tu ne vas pas nous la refaire ! Tu m’as invité à manger hier, tu DOIS accepter mon verre ». Et il est resté.
Maintenant, c’est sa femme qui est fâchée.
Ainsi, comme je vous le disais, en rentrant de mon week-end dans la Sarthe, j’ai clairement foncé à la Comète pour me taper un obligeant plat du jour car j’avais faim. Et soif. Le plat du jour ne me plaisait pas, je me suis donc rabattu sur le steak tartare.
En rentrant à la Comète, j’ai constaté que comme beaucoup de dimanches, le vieux mangeait avec le fiacre et son épouse. J’avais oublié qu’ils étaient fâchés. Ils avaient tous mangé des Côtes de bœuf, Jacques n’avait pas pris de dessert alors que la fiacresse et son époux avaient pris une crème brulée, comme moi. Ils avaient une bouteille de Bourgueil. Comme je suis arrivé après, j’ai commandé un quart de Côtes-du-rhône mais le loufiat était un petit jeune qui remplaçait Jim pendant son arrêt maladie et son voyage dans la Sarthe et s’est planté. Il m’a servi un rosé. Quand il est arrivé, j’ai pensé que c’est Dieu le père qui m’envoyait un signal pour la prochaine victoire des socialistes : j’ai accepté le rosé. A la guerre comme à la guerre.
Si ces détails culinaires vous gavent vous pouvez encore sauter deux ou trois paragraphes. Ils ont néanmoins leur importance dans l’histoire et surtout, j’ai un billet à rédiger, il faut bien que j’y mette du contenu.
Tout le monde a pris un café mais entre temps, mon camarade Djibril est arrivé et a commandé une bière, puis un quart de Côtes-du-rhône, un pavé de saumon et, enfin, également un café.
Pendant le repas, Marcel m’a annoncé qui me payait mon repas, la 1664 commandée par Djibril, la bouteille de pinard consommée avec Jacques, ce dernier ayant payé les apéros au comptoir.
D’ailleurs, puisque nous en sommes à ce stade, c’est à cause de ces apéros qu’ils sont réconciliés. C’est le Vieux Jacques qui me l’a raconté. Il était tout seul au comptoir à siroter son Kir dominical. Miranda (Madame Fiacre) est entrée, suivie de son mari. Jacques fait la bise à Miranda comme il se doit. Il faut dire qu’elle est beaucoup plus agréable à biser que Jacky, la grosse de Jacques. Au fait ! Vous me ferez penser à vous donner des nouvelles. Ca ne servira d’ailleurs à rien : je n’ai aucune nouvelle. Elle ne sort pas de chez elle. Le livreur de Rosé matinal n’est pas encore fatigué.
Jacques est un client de bistro. Il est tout seul. Des connaissent entrent. Il lâche par réflexe : « Que puis-je vous offrir ? » (ou « qu’est-ce que vous buvez, bordel ? » ou « vous prenez un verre » ou toute autre formule sortie du manuel de savoir vivre bistrotesque). Miranda commande donc un apéritif, Marcel est obligé de suivre alors qu’il ne voulait plus parler à Jacques. C’est à ce moment que Jacques s’est rappelé qu’il était fâché avec Marcel.
Ainsi, ils se sont réconciliés suite à une gaffe du Vieux ! Marcel ne voulait néanmoins pas remettre ça en offrant une tournée d'apéros. Ils ont sifflé leur apéro puis Marcel a dit à son épouse qu’il souhaitait passer à table. Miranda, sympathique comme tout, a suggéré à Jacques de s’asseoir avec eux sans tenir compte des probables coups de coude de son époux. Voilà comment ils se sont retrouvés attablés ensemble et comment Marcel a dit qu’il allait payer le vin.
Entre temps, la serveuse s’est pointée pour nous donner un pichet de 50 cl de Bordeaux rempli aux trois quarts, laissé par un client. Vous avez de la chance, ce n’est pas le sujet du billet et ce n’est pas le blog politique mais en cette période de déprime sociale, j’ai du mal à comprendre qu’un être humain puisse commander une carafe de vin et ne pas en boire plus d’un verre.
Nous voilà ainsi au stade final du repas : payer l’addition.
Voilà le serveur qui se pointe avec un ticket pour Djibril, un pour nos trois compères et trois pour moi (un pour le Tartare et le quart de Côte qu’était du Rosé, un pour le dessert et un pour le café).
Je vous préviens : la suite est TRES compliquée. Il faut vous accrocher.
Djibril devait payer toute sa note moins la 1664. Jacques devait payer sa côte de bœuf et son café. Marcel devait payer la bouteille de rouge, trois repas (2 côtes de bœuf, un Tartare et trois desserts). Quant à moi, je pensais ne devoir que mon café et mon quart de côtes qu’était du rosé. En fait, Marcel a payé (c’est bien normal : il m’invitait à manger… j’avais oublié de réfléchir…).
Djibril a payé le premier mais s’est trompé : il a déduit de sa note le prix de son quart de côtes et pas de la 1664. Marcel a accepté de payer le quart de côtes à la place de la 1664. Pour simplifier, j’ai suggéré à Jacques de filer à Marcel ce qu’il devait payer pour que Marcel puisse faire un règlement global. Jacques avait oublié qu’il devait un café et a donné 20 euros à Marcel pour payer sa côte de bœuf à 19 euros. Marcel rend donc un euro à Jacques.
Mais, en épluchant la note, nous nous sommes aperçus que le serveur avait compté les trois côtes de bœuf à 12 euros et non à 19. J’ai dit de laisser tomber. Il ne s’agissait pas d’entuber la Comète mais je dois avouer que j’avais oublié que 7 euros multiplié par trois, ça commence à faire beaucoup. Surtout, je ne voulais pas que le jeune loufiat se fasse engueuler et, comme le patron était absent, que son remplaçant galère sur la machine pour rattraper l’erreur. De nos jours, nos caisses enregistreuses sont compliquées…
Jacques n’avait pas suivi notre conversation. Il n’a strictement rien compris quand Marcel lui a rendu 7 euros supplémentaires et s’est presque fâché avant que je lui explique la situation.
Il restait donc à Marcel à payer toutes les consommations de Miranda, Jacques, lui et moi et un quart de côte à Djibril. Mais… le serveur se pointe et constate le pichet de Bordeaux et pense que sa collègue qui nous l’a filé a oublié de le taper. Me voilà à chercher la collègue pour qu’ils s’expliquent…
Pendant ce temps, Marcel fait le total de ce qu’il doit et arrive à 101€50 après de longs effort. D’un coup d’œil, je tombe, quant à moi, sur 102€20. J’explique son erreur à Marcel et il tombe d’accord avec moi… d’autant plus facilement que le loufiat qui avait réussi à tout suivre est tombé sur le même montant.
Marcel sort son carnet de chèques… et fait un chèque du montant qu’il avait noté… soit 101€50. Je ne dis rien et sort discrètement 70 centimes de ma poche. Je n’allais pas redemander à Marcel de faire un chèque… Il n’arrivait pas à détacher le chèque du carnet, s’était fait aider par son épouse qui a également échoué. Les deux commençaient à s’énerver… Il fallait un surhomme : je suis intervenu.
Tout est bien qui finit bien. Je vais illustrer ce billet avec une photo de Jacques accueillant Miranda sous l’œil attendri de Marcel.
Sauf que hier soir, j’ai gaffé. On était à la Comète pour ma dernière soirée avant la reprise du boulot. A 20 heures, Marcel se pointe. Or le comptoir de la comète ferme à 20 heures. Par pur réflexe et démagogie latente, j’engueule Marcel : « Bordel, tu sais bien que ça va fermer, par ta faute on va être obligés d’aller à l’Amandine ». Du coup, Marcel était obligé de nous suivre et a accepté la première tournée, celle du Vieux. Bis repetita comme dirait la belle fille de la concierge du chauffeur d’Yves Montand. Il allait partir quand je lui ai « Ah ! Non ! Tu ne vas pas nous la refaire ! Tu m’as invité à manger hier, tu DOIS accepter mon verre ». Et il est resté.
Maintenant, c’est sa femme qui est fâchée.
Quand est ce que tu l'écris le livre du savoir vivre au bistro ?
RépondreSupprimer:-)))
[En couverture, on met au moins un demi !]
Ca n'a rien à voir mais sur la photo, j'aime bien le gars derrière Miranda et qui regarde le mur !
RépondreSupprimer:-))
Il est peut-être en train de pisser.
RépondreSupprimerMoi je lui trouve une ressemblance avec Gollnisch.
RépondreSupprimerQu'est-ce que c'est complexe les histoires de bistro, il faudrait modéliser ça avec un schéma ! Ma tête a failli exploser dans l'équation finale.
RépondreSupprimerOn se croirait dans un sketch de Muriel Robin...
RépondreSupprimerElmone,
RépondreSupprimerCa ne serait pas Jean-Louis Bianco ?
Balmeyer,
Le bistro est une histoire de spécialiste.
Didier,
J'y pensais en l'écrivant... (mais c'est un peu différent : il n'y a pas "la mauvaise foi" des participants). Mais je pense qu'on a tous déjà vécu l'histoire de Muriel Robin.
Nicolas , Le vieux jacques ? Pas de mauvaise foi ??? T'es sûr ??
RépondreSupprimerDes fois il m'énerve mon Luminaire ! J'allais dire la même chose !
RépondreSupprimerElmone,
RépondreSupprimerOui. Sinon, j'aurais écrit "de mauvais foie".
Catherine,
Pour une fois, éteignez la lumière. Je viens d'écrire que moi même j'avais pensé à Muriel Robin dans la scène. Il est donc probable que la plupart de mes lecteurs aussi, mais ça n'était pas le but du jeu.
Catherine, éclairez moi, s'il vous plait :
RépondreSupprimerL'Illuminé c'est didier goux ?
J'adore ces histoires de comptoir. Je trouve que la complexité de celle-là lui ajoute un charme ... Je suis comme Mr Filaplomb, je pense qu'un livre sur le sujet serait génial.
RépondreSupprimerTiens tout d'un coup, je repense à Topor... Tu connais ?
Yes !
RépondreSupprimerZoridae ne fréquente pas assidument les bistros dit-on car elle s'occupe de son enfant en digne ménagère de moins de 50 ans mais cependant,
RépondreSupprimerje m'interroge:
ne boirait-elle pas en cachette ?
En effet, trouver digne d'intérêt un billet qui n'est au fond inspiré que par un délire et une confusion à l'évidence produits par un cerveau alcoolisé:
faut le faire !
Tonnegrande, pas l'Illuminé mais mon Luminaire Céleste !
RépondreSupprimerCatherine,
RépondreSupprimerVous avez raison :
allumez la lumière car,
c'est évident,
vous ne voyez pas clair,
me dit Nicolas
Catherine,
RépondreSupprimerAllumez la lumière, il me semble que les minorités alcooliques et invisibles revendiquent quelque chose.
Excellent cru, ce récit !
RépondreSupprimerMais purée, comment ils ont tous ces sous, les habitants du KB ?
Ca revient cher, comme loisir, le bistrot !
En tout cas, en lisant lentement et en prenant des notes, et en schématisant la situation et bien qu'il manque un plan de la terrasse du bistrot et de la table, c'est très simple à comprendre je trouve.
Audine,
RépondreSupprimerMerci !
Je vois beaucoup plus clair que vous ne pensez ! Je suis nyctalope, et toc !
RépondreSupprimerCatherine,
RépondreSupprimerNe JAMAIS employer le mot nyctalope dans un blog pour éviter les jeux de mots cons.
Oui Nicolas,
RépondreSupprimercar nyctalope est assurément d'un mauvais goux
On ne lui a surement jamais faite, celle-là.
RépondreSupprimerDis donc, l'a pris un sacré coup de vieux, Mr. Bean !!! Et qu'est-ce que c'est que cette écharpe blanche de communiant ?
RépondreSupprimerT'es en retard de lecture ?
RépondreSupprimerOuais, un peu (et en retard de demis, aussi !)
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