Arrivé au boulot aux aurores ce matin pour faire mon compte rendu de la soirée d’hier, j’ai réussi à saisir mon mot de passe hyper compliqué au premier essai. C’est la preuve que je ne suis pas saoul et que la soirée a été moins arrosée que ne présageait mon « burp » retentissant au réveil.
Je vais d’ailleurs faire le compte rendu de ce réveil sur le blog technologique car il ne serait pas raisonnable de le faire sur le blog politique où je n’ai rien à dire. D’ailleurs je n’ai pas le temps : le réveil a été tonitruant et je n’ai pas encore lu les billets produits par mes collègues blogueurs cette nuit.
De la soirée d’hier soir, je ne vais faire aucun compte rendu. Je garde en réserve l’enregistrement de Didier Goux chantant avec le Vieux Jacques pendant que Catherine et moi devisions de sujets de société de la plus haute importance.
La soirée n’est émaillée d’aucun événement significatif même s’il me semble que Catherine a eu une liaison passagère avec un cycliste qu’elle voulait prendre en photo par derrière.
A un moment, nous avons eu très peur, Didier et moi. Nous écoutions Catherine discuter avec Tonnegrande et l’inviter chez eux pour des trucs de cul linéaires. Des jeunes, dans le fond de la salle, parlaient très forts et rigolaient bêtement comme des gens qui boivent trop dans les bistros, ce que je ne comprendrais jamais. C’est à l’occasion d’une minute de silence fort appréciable en l’hommage à Léon Zitrone et Zizi j’emmerde les gendarmes et la marée-chaussée que nous avons pu capter plus précisément leur conversation : il s’agit en fait de trucs culinaires. Il faut dire que Tonnegrande a largement perdu la ligne.
Ce n’est pas grave. Catherine semble aimer les gros.
Ne dites pas à mes copains de gauche dans l’album flickr de qui j’ai récupéré la photo illustrant ce billet. Il suffit d’une recherche google pour la trouver.
La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
04 septembre 2008
Compte rendu objectif
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Très chouette photo en effet. Bravo à qui de droit...
RépondreSupprimerA ce train là, vous allez devenir coloc...
Tu crois ?
RépondreSupprimerBelle photo oui. Et qui illustre bien le brouuillard dans lequel tu devais être.
RépondreSupprimerps
merci pour le lien
La soirée était formidable et en effet j'étais agréablement entourée de gros !
RépondreSupprimerOn attend avec impatience la diffusion de l'enregistrement du duo des vieux jacques et Didier
RépondreSupprimerBobo la têêêête !!!
RépondreSupprimercoloc ? ça pourrait être sympa ! Catherine préparerait de bons petits plats
RépondreSupprimerGaël,
RépondreSupprimerOui, mais il faudrait vivre avec Didier.
Tu as vu à quelle heure il se lève ?
Jolie photo!
RépondreSupprimerAh ça a déjà été dit?
Bon je sors...
Mais non ! Reste !
RépondreSupprimerTu as trouvé quelqu'un pour garder le vieux Jacques, finalement...
RépondreSupprimer:-))
ah oui jolie photo.. haha.. quoi? non ! rien!!
RépondreSupprimerFigurez vous qu'on a nouveau perdu le Vieux Jacques ce soir. J'en ferai peut-être un billet demain, mais je résume : on était à la Comète, je reçois un coup de fil du Gros Loïc pour me dire qu'il était de retour au KB mais était fatigué et me proposait de le rejoindre à l'Amandine.
RépondreSupprimerJe dis ça aux potes qui me répondent OK. Je bois mon verre cul sec et je dis aux autres de prendre leur temps.
Ils sont tous arrivés, un par un, sauf le vieux !
Chaque fois qu'il traverse la rue, il s'engouffre dans une déchirure spatio-temporelle. C'est pourtant simple à comprendre.
RépondreSupprimerCatherine,
RépondreSupprimerLe côté incompréhensible de la chose c'est qu'il aurait eu plusieurs verres à boire.
Justement : dans la faille spatio temporelle, il les boit ces verres !!!
RépondreSupprimerC'est pourtant simple.
Entre la Comète et l'Amandine, il a pu s'arrêter à l'Aéro
RépondreSupprimerElmone,
RépondreSupprimerTu crois ?
Olivier,
C'est une possibilité mais peu probable (on prend toujours le trottoir en face, c'est plus court et la traversée de l'avenue est moins chiante).
En fait, je suppose qu'en sortant de la Comète, il se dit qu'en changeant de bistro, il faudra repartir à zéro sur les tournées et que ça pourrait durer longtemps... Pour lui, qui rentre en bus, c'est chiant car leur rythme ralentit vers 21 heures.
"je suppose qu'en sortant de la Comète, il se dit qu'en changeant de bistro, il faudra repartir à zéro sur les tournées "
RépondreSupprimerCe serait dans un strict souci de sobriété ?
Pas du tout ! Mais de pognon (ben ouais...) et d'horaires de bus.
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