Oui ! Le quartier bouge. Le vieux Jacques est parti en vacances chez sa frangine : on en profite pour fêter ça.
Je ne sais pas si seule la musique sera Brésilienne.
De 19 à 22 heures le 11 septembre 2009. Ca va faire boum.
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Tu es sûr qu'il est bien chez sa frangine ? Il ne s'est pas perdu quelque part ?
RépondreSupprimer:-))
C'est malin ! Un soir où je ne suis pas la !
RépondreSupprimerPoireau,
RépondreSupprimerNon, je ne suis pas sûr... Mais j'ai bien réservé un billet de train pour aujourd'hui !
Catherine,
Ce n'est quand même pas loin !
Tu déconnes de prévenir aussi tard, j'ai pas mis mon string à plumes aujourd'hui !
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RépondreSupprimerDéjà, la Comète, c'est pénible quand c'est silencieux ; mais avec trois simili-nègres équipés d'instruments à bruit...
RépondreSupprimerFiso,
RépondreSupprimerLe patron ne l'ayant lui-même annoncé à l'avance, je ne pouvais pas en faire une pub démesurée... d'où ce modeste billet tardif, uniquement parce que c'est le but du blog de raconter les âneries des bistros de Bicêtre.
Didier,
Il n'y aura pas que des similis.
Hé bé ! si en plus il y en a des vrais, ce sera sans moi : trop peur de la contamination raciale...
RépondreSupprimerNicolas,
RépondreSupprimerfais quand même attention aux brésiliennes, surtout si tu bois beaucoup de bières, même brésiliennes... Un coup d'oeil rapide avant de se lancer peut éviter de grosses déconvenues...
dorham,
RépondreSupprimerNicolas a le droit de choisir la sexualité qui lui convient,
nom d'une pipe
Nicolas : j'ai oublié mon livre à la Comète : vous me le mettez de côté ?
RépondreSupprimerUn prétexte pour venir le rechercher ?
RépondreSupprimerLa soirée a dû être rude, aucun compte-rendu de part et d'autre !
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerJ'ai appelé la Comète : le bouquin y est toujours et je le récupère ce soir.
Zoridae,
Si, chez Didier.
Ah bon ? Alors mon netvibes me ment !
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