Je sais ! Mais ça n’empêche pas d’en rigoler.
Cela dit, je voudrais profiter de l’occasion qui m’est donnée de m’exprimer devant vous sur ce blog d’une zinfluence à toute épreuve pour rappeler que cet épisode sympathique de la vie de notre aimable réactionnaire n’a rien à voir avec le Kremlin-Bicêtre ni d’ailleurs avec le moindre bistro du Val-de-Marne.
A ce propos, il est juste de signaler que le vieux Jacques ne s’est pas perdu, hier soir, et a retrouvé le chemin de l’Amandine où il a pu aider le vieux Joël et moi à terminer les mots croisés du France Soir.
Six mois de retrait de permis. Même pas une semaine par dixième de gramme. La justice est bien clémente même si la procureuse d’injustice était fringuée comme une institutrice quadragénaire voulant se fondre parmi les rejetons de parents indignes qui n’ont même pas la délicatesse d’envoyer leurs enfants dans une école privée tenue par des sœurs et des curés pédophiles.
Six cent zeuros d’amende pour le seul forfait d’avoir préféré viser la ligne blanche en rentrant chez lui à 3 grammes du matin alors qu’il n’aurait pas été prudent de rentrer à pied dans l’état où il était, par contre, parait abusif. Il va falloir qu’il contracte un crédit révolving à 18% d’intérêt par quinzaine pour arriver à participer à combler le déficit de l’état alors qu’il aurait été infiniment plus simple de taxer les revenus du patrimoine.
Il n’est par contre pas inutile de rappeler que si mai 68 n’avait pas commis les ravages que l’on sait, le petit Didier aurait, en plus, eu une peine de trois mois de prison à purger, pendant lesquels il aurait été peu prudent de la part de ses codétenus de laisser tomber la savonnette dans la douche même si Didier est très courtois. Un « Excusez-moi de vous avoir pénétré par mégarde, cher Monsieur » ne calme pas certaines plaies.
Néanmoins, je voudrais aussi profiter de cette tribune pour lancer un appel à la prudence. L’incident s’étant produit début avril, si ma mémoire est bonne, les six mois seront bientôt écoulés. Je vous conseille de ne pas prendre votre voiture le soir dans une vaste région située entre Villejuif et Rouen. Vous risqueriez d’y faire de mauvaises rencontres.
La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
Pages
▼
Pas 600 € : 800 ! Cela étant, quand on paie tout de suite (ce que j'ai fait), on a droit à une ristourne de vingt pour cent : quand la Justice se fait camelot de souk...
RépondreSupprimer(PS : avant mai 68, et même encore bien après, tout le monde se foutait qu'on roule bourré, je vous rappelle...)
Tiens, je suis d'accord avec ta position sur l'alcool, pour une fois, Nicolas :)
RépondreSupprimerJe me demande s'il ne faudrait pas lui appliquer un peu de rééducation en plus...
RépondreSupprimer:-))
Poireau : ouiiii !!! je rêve d'être fouetté par Mademoiselle S en place publique, tout en confessant mes fautes à haute et intelligible voix...
RépondreSupprimerDidier Goux : ne la tentez pas !
RépondreSupprimer:-))
Didier,
RépondreSupprimerEn 68, j'avais 2 ans...
Audine,
Pas moi.
Poireau,
Dans un camp ?
Il ne conduira plus bourré puisque maintenant il a :
RépondreSupprimer1- un studio.
2- moi, comme chauffeur. C'est qu'il s'y est bien habitué, le bougre !
Choisir un chauffeur cordon bleu ! Il est très fort.
RépondreSupprimerNicolas,
RépondreSupprimerCatherine le fouette ?
Non, c'est Simon le clochard qui fouette.
RépondreSupprimer