On s'en fout mais c'est marqué là, ce n'est d'ailleurs pas l'objet du billet qui n'en a pas. A part la confirmation de l'existence de cybercafés à Strasbourg ce qui m'évite d'aller trop tôt au bistro alors que j'ai rendez-vous à 19 heures avec des collègues qui, de toute manière, ne me reconnaîtront pas car il y a aussi des coiffeurs dans ce patelin ce qui pourra m'éviter une aventure désagréable avec des gros blogueurs Normands.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
La modération des commentaires est activée. Soyez patients !