-- Brillament publié de mon iPhone
La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
28 février 2009
Vie du blog
Le Gros Loïc est de retour dans les bistros de Bicêtre. C'est une excellente nouvelle pour les lecteurs du blog qui vont avoir plein de nouvelles histoires à lire. Tiens ! Cet andouille m'a appelé à 10h45 pour m'engueuler parce que je n'étais pas à l'apéro. Ce con s'est levé à 4h du matin pour prendre la route, je conçois qu'il puisse commencer l'apéro avant midi mais PAS MOI.
27 février 2009
Jojo avait rendez-vous avec Marcel
Le joyeux garagiste m’ayant appelé, j’ai pu récupérer ma bagnole vers 17h15. S’il m’avait téléphoné ce matin, j’aurais pu la récupérer à 14 heures et foncer en Bretagne mais j’aurais loupé un épisode de notre vie communale mise en scène, en l’absence de Jacques, par Marcel le Fiacre.
Arrivant à Bicêtre à 17h30, je décide qu’il est trop tôt pour aller au bistro. Je passe donc à la Comète pour prendre un demi et annoncer qu’il est trop tôt pour que je vienne au bistro. Depuis, je suis rentré à la maison, sinon vous n’auriez pas droit à ce magnifique billet : pondre des billets avec l’iPhone, ça va cinq minutes.
Je rentre à
J’envoie un SMS à Jim : « Héhé, j’ai récupéré la voiture, tu bois un coup ? ». En principe, j’aurais du envoyer un SMS à Jacques, mais il n’est pas là, ou à Tonnegrande, mais il est parti au cinéma avec son épouse, probablement pour se faire pardonner une cuite récente. J’espère que son épouse aime le cinéma.
Voilà le vieux Joël qui se pointe. Le vieux Joël ne va JAMAIS au bistro avant 19h30. Ma surprise était telle que j’aurais avalé mon demi de travers si je n’avais pas un profond respect pour la marchandise. Je lui dit « ben, t’es d’jà là ? » Il me répond : « Oui, j’ai rendez-vous avec Jim et Marcel ». « Tiens ! Il parait que Marcel vient de partir. » « Il ne va pas tarder à revenir, il m’a téléphoné il y a une demi heure et je lui ai dit que j’arrivais dans une demi heure ».
Je réponds « ah ! Bois un verre, j’ai récupéré la voiture ». Il faut toujours un prétexte pour boire un coup, mais Nicolas le Loufiat n’est pas là, je ne commande pas et je reçois un SMS de Jim : « Tout seul ? ». Je crois alors qu’il espère que je réponde : « Oui, viens boire un coup ». Alors je lui réponds « Non, je suis avec Jojo qui t’attend ».
C’est alors que le déclic se fait. Je dis à Joël : « heu… Tu es sur que ce n’est pas à l’Amandine que vous avez rendez-vous ? ». Faut dire que Marcel n’aime trop
Joël me dit « heu… » et il fonce à l’Amandine.
Jim
Jim m’explique. Marcel était fâché parce que le Vieux Joël n’était pas là à l’heure précise. Je suppose que Marcel avait appelé Jojo à 16h55, qu’ils avaient convenu d’un rendez-vous « dans une demi heure », interprété par l’un pour « 17h25 », l’autre pour « 17h30 ». Marcel est parfois un peu con. Il est parti et a décidé l’aller chercher sa femme au boulot et de reporter le rendez-vous vers 18h15 sans prévenir Joël.
Je finis mon demi et me décide à rentrer à la maison, ayant une jolie idée de billet à réaliser suite à la lecture de Vendredi dans les transports en commun pour récupérer la voiture. Ca sera pour plus tard si une soif ne me prend pas d’ici : on est vendredi, justement, c’est jour de sortie.
Entre temps, des militants Lutte Ouvrière se sont installés devant Leclerc pour distribuer des tracts aux gens qui finissent leur semaine. C’est bien Lutte Ouvrière, ça ! On les voit une fois par an, ils organisent leurs distributions de tracts un vendredi soir pendant les vacances scolaires… Il n’y a pas un chat à Bicêtre. Comme je suis un blogueur politique zinfluent, je connais à peu près tous les politicards du quartier. Je décide de rentrer à la maison par l’autre côté pour éviter d’avoir une bavette à tailler.
Erreur tragique ! En passant par l’autre côté, je passe devant l’Amandine. J’ai donc traversé pour aller expliquer ça au Vieux Joël. Il me dit « Je sais, Jim m’a raconté, tu bois un coup ? ». Que pouvais-je répondre ? Jojo était en pétard. Il faut dire que c’est lui qui rend service à Marcel. En fait, il a le lit de la sœur à Marcel dans son camion et devait le déposer chez quelqu’un avec Jim pour l’aider et Marcel pour donner les ordres.
On conviendra qu’effectivement, Marcel aurait pu attendre un peu… Obliger Jojo à aller au bistro en dehors de ses heures habituelles pourrait avoir des conséquences…
En fait, c’est plus compliqué que ça. L’affaire date de la veille. Elle avait été conclue un peu avant. Marcel devait vider un buffet Henri II entreposée chez ça sœur à Levallois et le mettre dans un dépôt vente dans le 19ème (pas siècle, arrondissement). Comme Jojo a une camionnette, il rend souvent ce genre de service. Ils devaient y aller hier.
Jojo était plié de rire à l’avance : un buffet Henri II est très moche et absolument invendable. Tonnegrande et moi étions également pliés de rire : aller à un truc organisé par Marcel est toujours risqué ! Nous avions raison.
En fait, il n’y avait pas un buffet Henri II, mais un buffet Henri II, une table, des chaises et tout un tas de bazar qu’on peut trouver dans un immeuble à déménager. Avec Jim, ils ont chargé le camion avec tout le bazar mais le lit ne rentrait pas. Ils sont allés au dépôt vente où Marcel avait rendez-vous. En fait, le type avec qui il avait rendez-vous n’était pas là mais avait fait une farce à son collègue : les buffets Henri II sont très connus dans le domaine pour être invendables. Le collègue en question a refusé de prendre le buffet Henri II car le magasin était plein. Jim et Jojo se font fâchés et sont allés boire un gorgeon dans un bistro du coin, laissant Marcel avec son vendeur.
Les cons.
Marcel avait négocié. Jim et Jojo ont du ranger le magasin pour trouver de la place pour le bordel à Marcel.
Ensuite, ils sont retournés chercher le lit à Levallois puis sont rentrés à Bicêtre. Un des comparses a dit « bordel, il est 15h30, il est temps de bouffer ». Ils l’ont fait. Ensuite, ils ont été livré le lit, mais le type n’était pas là, donc Jojo s’est retrouvé avec un lit dans son camion.
Hier soir, ça le faisait marrer. Il m’a tout raconté dans le détail. J’ai raccourci pour le billet et supprimer deux ou trois épisodes. Ce matin, à 7h15, j’arrive à
Hier, Jojo rigolait beaucoup. Ce soir, il est de très mauvaise humeur. Je me demande si je vais aller boire un coup.
Des nouvelles
Ceci est un billet sérieux. Bordel.
Petit 1 : des connards avaient cassé la vitre arrière de ma voiture pour piquer ce qu'il y avait dedans. Il n'y avait rien. Il n'ont rien piqué. Les cons. La voiture étant cassée, je l'ai amenée au garage et n'ayant pas de voiture, j'ai du abandonner la joyeuse idée de rentrer en Bretagne. Ca sera pour le week-end prochain.
A ce sujet, je voudrais engueuler les gugusses qui nous incitent à prendre les transports en commun pour ne pas détruire la planète. C'est impossible pour moi. Ca le serait s'il ne fallait pas que je parte du boulot une heure vingt avant le départ du TGV pour être à peu près sur de l'avoir et si les correspondances pour le Centre Bretagne étaient correctes. Hop.
Petit 2 : ça sera tout pour cette fois. La voiture est réparée, il faut que j'aille la chercher. Avec la vie délirante qu'on mène en région Parisienne, c'est impossible d'aller chercher une voiture dans un garage sans quitter le boulot à 16 heures.
Les heureux provinciaux devraient nous envier.
La bonne nouvelle, c'est que je vais pouvoir profiter du trajet pour lire Vendredi.
Vanessa Hudgens et Zac Efron se marient
Plus précisément, Zac a demandé la main de Mémère sa future belle doche, apprend-on dans la presse. "Le mariage devrait avoir lieu l'année prochaine". En principe, je serai le témoin. C'est bien le moins qu'il puisse faire avec toute la popularité que je lui apporte.
26 février 2009
Expédition dans le douzième
Ca se passait hier midi, dans le coin de Nation. J’avais pris le RER pour y aller et en bon plouc provincial j’ai horreur de ce machin. La porte d’entrée de l’immeuble était ouverte et je suis entré dans la cour étroite où s’affairaient quelques livreurs de rouleaux de... heu... Différentes portes d’entrée s’offraient à moi comme la grosse Lulu s’offrait à tout le régiment pendant mon service militaire, en 1956, au Plessis-Hébert.
Les boites à lettres ne fournissaient pas le nom de la société que je cherchais, celle d’un copain qui m’avait invité à la visiter. J’avais rendez-vous à 12h40 et il était 12h40. Ca tombait assez bien et j’allais dégainer mon téléphone car, vous l’ignorez peut-être, il permet aussi de téléphoner.
Un type sort de l’immeuble. Je ne le connaissais pas. Il me demande « Vous cherchez quelqu’un ? ». En fait, je crois bien qu’il m’avait reconnu. Mon copain avait du lui dire « si tu croises un gros en partant, ça sera sans doute notre visiteur du jour, l’andouille qui tient PMA ».
Je lui réponds : « Oui. » Et je lui donne le nom de la personne. Il me répond : « Ah ! Vous aimez la bouffe Thaï, j’allais en acheter. » Et il rentre dans l’immeuble. Je comprends que je dois le suivre. Il n’avait pas l’air méchant et comme je n’ai peur de rien, je le suis. Il monte une espèce de vieil escalier en bois. « Bordel ! Y’a pas d’ascenseur, j’espère que ça n’est pas au dernier ». C'était au premier.
Il pousse une porte qui ne demandait que ça. J’entre. Une très grande table à droite avec des mecs tout autour tapotant frénétiquement sur des claviers. Une longue table dans le fond avec deux gugusses du même côté tapotant aussi. Une longue table entre les deux avec un type qui tapotait. Tout le monde tapotait. Je n’ai pas compté. Avec celui qui m’avait introduit (dans les locaux), ça devait faire moins de dix. Pas une seule gonzesse.J'ai néanmoins serré toutes les paluches qui me passaient à proximité bien que je ne voyais pas de lavabo.
Impressionnante, cette pièce d’une petite centaine de mètres carrés avec ce qu’on pouvait deviner derrière des vitres comme étant une petite salle de réunion. Un bordel monstre autour. La vue d’un frigo m’a fait espérer quelques minutes la présence de boisson houblonnée. Non. Ces gens là, informaticiens de génie, boivent de la Badoit en mangeant des repas Thaï dans la salle de réunion.
Le type qui tapotait tout seul sur la longue table était mon pote, le patron de cette start up qui va lancer prochainement un produit qui relèguera Google au stade de l’épicerie rurale, vous savez, celle qui vend des pommes à 12 euros le kilo parce qu’elle n’a aucun client.
J’étais là en temps que blogueur frénétique. Ils voulaient me présenter leur truc. Leur application, je veux dire. Je ne vous dirai pas ce que c’est, il faut que j’attende le lancement officiel. J’ai été scotché par la qualité technique et l’ergonomie du bazar. C’est dingue ce qu’une petite dizaine de chevelus dans un « garage » peuvent produire (surtout que je bosse dans le domaine… et quand je vois ce que les multinationales qui sont nos fournisseurs arrivent à rater régulièrement...).
Bravo les gars ! Bonne route. Mes blogs seront ouverts à la promotion (et je lancerai les left_blogs et les intellos improductifs sur le sujet).
P.S. : les gars, n'oubliez pas de me filer un identifiant pour que je puisse faire le con avec le machin dès ce week-end.
P.S. : les gars, n'oubliez pas de me filer un identifiant pour que je puisse faire le con avec le machin dès ce week-end.
25 février 2009
24 février 2009
Marc Veyrat mieux avec des lunettes
C'est une information dont nous nous foutrions complètement si Marc Veyrat n'avait pas été un des héros de ce blog à l'occasion d'un billet dont le titre a marqué les annales de la blogosphère : "J'espère qu'y vivra Veyrat" ! C'était l'époque où je n'avais pas honte de faire des jeux de mots stupides dans les titres des billets pour attirer le pauvre visiteur cherchant à s'abreuver l'esprit de stupidités diverses (désolé Tim, c'est ton blog qui est arrivé le premier quand j'ai fait ma sélection aléatoire). Le blog n'avait que quelques mois. Maintenant, je ne fais plus jamais ça.
Cadeau d'anniversaire
Bon anniversaire !
Il était content hier. Il nous les a même un peu brisées mais comme on l’aime bien, on pardonne. Il jubilait. Son blog a dépassé les 50000 visiteurs depuis son ouverture. Il oublie que PMA fait ça en trois mois mais que je ferais mieux de fermer ma gueule : Alain Lambert fait ça en quinze jours. Et puis, ce n’est pas le seul à battre des records.
D’après la photo, sa soirée d’anniversaire a été bonne. Mais il pourrait se rappeler qu'il n'a plus 15 ans mais 20 de plus.
23 février 2009
Guide touristique Alsacien
C’est comme un appel au secours que j’ai perçu ce SMS reçu récemment : « Vive le kb » ! C’est Tonnégrande qui me l’envoie. Faut dire qu’il est en vacances à Strasbourg avec sa délicate épouse. Je pense comprendre son problème. Quand il est au Kremlin-Bicêtre, Madame Tonnégrande vaque à ses occupations. Je ne sais pas quelles sont ces occupations, Tonnégrande n’a jamais voulu me la présenter. Allez savoir pourquoi ? Toujours est-il qu’elle vaque. Je suppose que comme toutes les femmes, elle passe ses heures de loisir à faire du shopping en se demandant si elle n’a pas grossi, contrairement à son mari. Enfin, elle vaque.
Tonnégrande peut occuper ces heures de vaquage en allant au bistro. Il n’a pas de remords : il sait que son épouse est occupée et que, quand il arrive un peu trop tard, elle lui pardonnera aisément grâce au bouquet de fleur qu’il ne manque pas de lui acheter. S’il n’est pas trop bourré.
A Strasbourg, il est bien emmerdé. Il ne peut pas laisser sa femme dans la chambre d’hôtel et lui dire : « Bon, tu bouges pas, ma caille, je vais au bistro ». Outre le fait qu’elle comprendrait que ce n’est pas par amitié pour ses copains qu’il va toujours au bistro mais par alcoolisme, elle serait en colère. Ca serait de la goujaterie de la part de Tonnégrande de le faire. Tonnégrande n’est pas un goujat. Au contraire, c’est un homme de très grande qualité. Donc, il ne peut pas aller au bistro.
Il faudrait que les villes touristiques mettent en place des services spécifiques pour occuper les dames pendant que les messieurs vont au bistro. Ces services pourraient servir du thé, donner des cours de tricot et tous ces genres de choses strictement réservées aux épouses.
Ces services seraient placés près d’un fleuriste pour faciliter la vie des époux. Ils seraient cités dans les guides touristiques et localisables par GPS pour les fois où le mari serait trop bourrés.
22 février 2009
Tonnegrande à Strasbourg
Vous ne le savez pas et vous vous en foutez royalement mais Tonnegrande part aujourd'hui à Strasbourg. La population locale est en émoi. "1h30 durant, différentes sirènes ont alterné leurs « chants » aux quatre coins de la ville, déclenchant quasiment un vent de panique au sein de la population, le standard des pompiers ayant vu durant ce laps de temps son standard exploser, avec 10 fois plus d'appels qu'à l'accoutumée.Le réseau national d'alerte, qui date des années 50, alerte les populations en cas de danger imminent. Le déclenchement des sirènes est assuré par la préfecture, et le réseau d'acheminement des signaux émis exploité par France Télécom. C'est un prestataire de service effectuant des travaux pour le compte de l'opérateur téléphonique qui aurait inopinément déclenché le système. FT a présenté ses excuses « aux populations pour le désagrément qu'elles ont pu subir »."
21 février 2009
La machine à caca
En hommage à FalconHill, voilà la machine à caca !
Les enfants des blogueurs zinfluents ne sont plus ce qu'ils étaient !
Les enfants des blogueurs zinfluents ne sont plus ce qu'ils étaient !
Néné, t'as trop bu, j'te sers pas
Heureusement que Tonnegrande est intervenu pour arrêter Néné.
Vous ne connaissez pas Néné ! Pourtant, j'en ai déjà parlé sur le blog. C'est un type qui a deux états : soit il est très bourré soit il est extrêmement bourré.
Hier, il a fallu que je mène l'enquête. Je peux donc vous reconstituer l'histoire dans l'ordre.
Néné est arrivé à l'Amandine vers 17h avec un cocard. Comme il était encore plus saoul que d'habitude, Michel a refusé de le servir. Néné a traversé la rue pour aller boire un coup à La Comète.
Nicolas Le Loufiat a repéré le phénomène et a également refusé de le servir. La Branlette venait de finir son service et buvait un coup tranquillement au comptoir. Néné est venu se plaindre à lui. Jim, qui n'était pas de service, l'a envoyé chier. Néné s'est faché. Paf. Tonnegrande a du intervenir. Je ne sais pas ce qu'il faisait au bistro à 17 heures. C'est louche mais ça n'est pas l'objet du billet.
Nous interrompons ce récit pour une page de publicité. Un grand merci à Rimbus qui est l'invité de la semaine de Vendredi et qui cite le billet où je raconte l'anecdote qui m'est arrivée au boulot récemment : la lumière des chiottes qui s'est éteinte avant que je finisse ce que j'avais à faire.
Ca n'a rien à voir avec Néné, Tonnegrande et Jim mais je tiens à préciser que l'anecdote s'est à nouveau produite. J'ai donc pris deux résolutions : je choisis le chiotte où le bouton de la chasse d'eau est facile à trouver et j'arrête de jouer avec mon iPhone en faisant caca.
20 février 2009
19 février 2009
Virer les gros
Jim, dit la Branlette, serveur de La Comète, a parfois du mal à sortir les gros clients buveurs de Cahors (il n'y a plus de Côte) lors de la fermeture ou quand ils sont pleins. Cette photo que j'ai prise hier soir l'atteste.
Lecture en chaîne
Me voila tagué par b.mode qui avait été tagué par Marie-Laure en lui proposant de répondre à un questionnaire sur la lecture, Elle l'a reçu elle-même de Falcon Hill. Ainsi tagué, je me dois de dévoiler quelques habitudes de lecture !
Je sais. Pour l’introduction, je ne me suis pas fait chier. Pour le reste non plus. J’ai recopié intégralement le billet de Ruminance sous Word ce qui me permet de lire son billet en rédigeant le mien et de lui piquer des idées.
Plutôt corne ou marque-page ?
Plutôt corne. J’ai mis trente secondes à comprendre la question. Les cornes ne me dérangeant pas vu mon célibat notoire.
As-tu déjà reçu un livre en cadeau ?
Oui.
Lis-tu dans ton bain ?
Plus maintenant, je suis plutôt douche. A une époque, oui. Ça m'est même arrivé de laisser tomber un livre dans l'eau.
Parfaite, cette réponse de b.mode. Elle est également valable pour moi.
As-tu déjà pensé à écrire un livre ?
Non. Enfin oui, comme tout le monde mais je n’ai pas eu longtemps d’illusions sur ma capacité. La seule fois où j’ai essayé de le faire sérieusement, c’était à la demande de Filaplomb quand il lancé ses nouvelles. J'ai échoué.
Que penses-tu des séries de plusieurs tomes ?
Je m’en fous.
As-tu un livre culte ?
Un peu réducteur comme question. Disons : le Standinge de San-Antonio.
Aimes-tu relire ?
Je ne relis quasiment jamais sauf le Standinge.
Rencontrer ou ne pas rencontrer les auteurs de livres qu'on a aimé ?
Aucun intérêt pour moi.
Aimes-tu parler de tes lectures ?
Non. C’est personnel. C’est une des rares activités qui est strictement solitaire, je ne vois pas pourquoi en parler. Il y a une autre activité solitaire mais en parler sur le blog pourrait paraître grossier et fâcher Jim La Branlette.
Comment choisis-tu tes livres ?
Heu…
Une lecture inavouable ?
J’ai lu un Brigade Mondaine. On me l’avait offert.
Des endroits préférés pour lire?
Au lit.
Un livre idéal pour toi serait ?
Pas la moindre idée.
Lire par-dessus l'épaule ?
Quelle horreur !
Télé, jeux vidéos ou livre ?
Internet désormais. Jeux vidéo jamais. Télé presque jamais.
Lire et manger ?
Un bout de journal sur un coin de table quand je suis tout seul.
Lecture en musique, en silence, peu importe ?
Silence de rigueur.
Lire un livre électronique ?
Vraiment pas. Surtout pas.
Le livre vous tombe des mains : aller jusqu'au bout ou pas ?
Bof.
Sur ces bonnes paroles, je refile le bébé à Gaël, Rimbus, CC, Mrs Clooney, Trublyonne, Nicolas, Toréador, le coucou. Qu'ils en prennent grand soin !
Pourquoi je cite Toréador, moi ? Remarque, je me tague bien. Bon. Tant qu'à pomper le billet, je vais pomper la photo de l'autre blog.
18 février 2009
Tonnegrande n'est pas mort
Non seulement il bande encore (selon Michou et différentes blogueuses) mais en plus, il a fait un billet. Superbement illustré.
17 février 2009
Partageons nos Claviers
J’ai oublié de signaler sur ce blog la naissance du petit dernier que nous tenons à quatre pieds avec mon pote Le Coucou. Je ne sais pas où nous voulons aller. Le Coucou a créé ça pour parodier PMA et j’ai bêtement embrayé ! Ca durera deux mois ou dix ans…
16 février 2009
La toque de chef cuistot avec une bite devant
Finalement, Tonnegrande n’avait pas eu le temps d’acheter le cadeau pour le Vieux Jacques et Marcel le Fiacre. C’est donc simplement vêtus d’un magnifique bouquet de fleurs que nous avons sonné à la porte de Marcel et de Miranda. J’ai donné le bouquet à Miranda qui m’a répondu : « je vais le mettre au frais ». Elle devait s’attendre à ce qu’on lui offre une bouteille de Champagne.
La journée commençait bien. J’ai diffusé hier les photos sur le blog. N’allez pas les voir, elles n’ont aucun intérêt.
Marcel était très fier de nous faire essayer à tous sa toque de chef cuistot avec une bite devant. Tiens ! Après avoir publié ce billet, il faudra que je cherche chez Google « toque de chef cuistot avec une bite devant ».
Ensuite, Marcel a remarqué que j’avais mon appareil photo (c’est lui qui m’avait demandé le prendre) et a donc été chercher le sien. C’est un Polaroïd. Je ne savais pas que ça existait encore. Pour les plus jeunes ne mes lecteurs, je vais rappeler ce qu’est un Polaroïd.
Vous autres, jeunes, vous ne connaissez que les appareils photo numérique. Il y en a même qui font appareil photo. C’est très pratique. Vous prenez des photos, après vous les copiez sur votre Skyblog ou sur le disque dur de votre ordinateur puis vous les imprimez pour les montrer à votre grand-mère qui n’a pas internet.
Dans le temps, pas si lointain que ça (ce n’est qu’au début des années 2000 que les numériques ont pointé), ces appareils n’existaient pas. On avait des appareils photos dit « argentiques ». On mettait la pellicule dans le machin et quand elle était finie, on apportait la pellicule chez le photographe qui la « développait ». Quand le développement était bien réussi, on disait au photographe : « Monsieur, vous avez bien tiré ». Il fallait payer avec des sous car il fallait des gens qui travaillent pour développer. Les appareils photos numériques génèrent du chômage mais ce n’est pas un blog politique. Il y a une trentaine d’années, Monsieur Polaroïd a inventé une machine qui permettait de prendre des photos et de les tirer immédiatement.
Marcel a encore un Polaroïd. Il est très inquiet car il a de plus en plus de mal à trouver des pellicules, même dans le fond de sa casquette. Je lui ai dit d’en acheter une centaine d’avance au cas où.
Ce qu’il y a de bien avec les Polaroïd c’est qu’on peut commenter les photos immédiatement. Par exemple, Marcel a pris une photo de Jacques avec la toque de chef cuistot avec une bite devant et nous l’a montré immédiatement. On a pu la commenter. « Ah ! Il est bien avec sa toque le vieux » disions-nous ébahis devant la photo alors que le Vieux en question se mêlait à nous toujours chaussé de sa toque de chef cuistot avec une bite devant.
Après, Marcel a sorti son caméscope. Vous savez, le machin dans lequel il faut mettre une mini bande VHS. Que les plus jeunes de mes lecteurs aillent se faire voir s’ils ne savent pas ce que c’est qu’une bande VHS, ceci n’est pas un blog pédagogique mais un blog de conneries.
Comme j’étais le plus jeune de la bande, j’étais forcément le plus compétent en nouvelles technologies. Marcel m’a confié le caméscope pour que je puisse filmer les convives. J’ai donc filmé les convives y compris le Vieux Jacques avec sa toque de chef cuistot avec une bite devant.
Marcel a voulu qu’on regarde la vidéo de leur voyage en Inde. Il ne savait plus comment marche le machin et sur quelle cassette elle était. J’ai trouvé. Je vous conseille les vidéos prises par Marcel pendant ses vacances. Surtout quand il oublie d’éteindre le caméscope et qu’on voit ses pieds et qu’on entend les commentaires de son épouse.
Vers 16h30, je les ai laissés. La paëlla était bonne. Miranda étant native d’Italie, elle aime bien nous faire de la cuisine de chez elle.
15 février 2009
Banquet des vieux
Lundi, c’était l’anniversaire du Vieux Jacques et de Marcel le Fiacre. Le Vieux Jacques avait dignement fêté ça mais c’est aujourd’hui que nous célébrons cet événement presque intersidéral puisqu’il concerne deux éminents héros de la blogosphère Kremlinoise.
Nous sommes invités à déjeuner chez Marcel. Miranda sera aux fourneaux. Nous avons déjà parié qu’elle nous fera un osso bucco.
Comme il se doit, ça fait une semaine (9 jours si je compte bien) que le vieux Jacques est stressé. « Quel cadeau allons-nous bien pouvoir faire à Miranda ? ». Tous les jours, il a posé la question. Tous les jours, nous lui avons répondu : « T’inquiète pas, le Vieux, dimanche, il y a le marché, nous allons acheter des fleurs. »
Depuis lundi, il nous bassine avec le cadeau à faire Marcel. Tonnegrande a soumis une idée à Jacques : « Un nécessaire de voyage ». Je ne sais pas ce que ça veut dire, Jacques non plus d’ailleurs, mais il a trouvé l’idée très bonne. Nous avons immédiatement conclu, avec Tonnegrande, que nous allons aussi offrir ce machin à Jacques.
Hop ! Message personnel : le fils du Vieux Jacques est prié d’attendre ce soir avant de signaler à son grand père que j’ai encore fait un billet sur le sujet. Un cadeau doit rester une surprise. J’imagine la scène : « Allo Papa ? » « Oui, Jacques » « Tu es content de ton cadeau ? » « Quel cadeau ? » « le nécessaire de voyage que t’ont offert tes copains, dont le gros noir ivrogne, pour ton anniversaire » « Ah, je ne sais pas, c’est ce midi qu’on doit fêter ça. »
Jacques nous a juré qu’il ne voulait pas de cadeau pour lui. Avec Tonnegrande, on s’est dit « Chiche ! » puis « Allez, non, on ne va pas lui faire ça. »
Le vieux Jacques part en croisière avec ses sœurs et son vieux, en fin de semaine. Un petit tour dans
Pour en revenir au cadeau, aux dernières nouvelles, Tonnegrande aurait fait plusieurs maroquineries. Je crois qu’il n’a pas trouvé ce qu’il cherchait. Je ne sais pas ce qu’il a acheté. Peut-être rien, ce qui nous fera des économies. Ou alors, on ira faire un tour sur le marché. 25 kilos de pommes de terre pourraient représenter un cadeau fort utile en cette période de crise économique aiguë.
Enfin ! Tout se fête ! Mais cette journée risque bien d’être fatigante ! Tonnegrande a trouvé un prétexte pour ne pas venir : il fête
Je n'oublierai pas l'appareil.
13 février 2009
Terrifiante aventure
Figurez-vous qu’il m’est arrivé une aventure que je ne souhaite à personne. C’est dantesque. C’est chiant.
D’ailleurs, c’est justement ce que j’ai voulu aller faire vers 16h30, libérer mes entrailles d’une surcharge de nourriture. Je vais donc délicatement vers les toilettes, qu’on appelle aussi les chiottes. En entrant, je croise un collègue que je connais juste vaguement. Politesse d’usage, puis j’entre dans la première pièce, celle avec les lavabos, puis rentre dans le chiotte de gauche au fond.
Je fais ce que j’ai à faire.
Subitement. La lumière s’éteint. J’avais presque fini et, de toute manière, pour finir totalement, l’éclairage n’est pas de mise. Je finis.
Je cherche alors l’interrupteur. Pas d’interrupteur. Je tâtonne sur tous les murs : rien. Aucun bouton. Rien. La lumière s’allume à partir de la première porte d’entrée, celle qui donne sur les lavabos.
Je me continue dans le noir sans pouvoir vérifier totalement le résultat et en posant délicatement le papier usagé dans la cuvette pour ne pas risquer de le faire tomber par terre. Et je veux tirer la chasse d’eau. Le problème, c’est que c’est un nouveau bureau où je ne chie pas quotidiennement. Voila que je ne trouve pas le bouton de la chasse d’eau.
Ce n’est pas la peine d’imaginer le tableau, moi le pantalon et le calbute sur les chaussettes, penché en avant à chercher un bouton : la scène se déroulait dans le noir.
Je me décide : je remonte le caleçon, le pantalon, je sors, trouve l’interrupteur près de la porte, allume et retourne tirer la chasse et vérifier qu’aucun dommage collatéral ne pouvait laisser de doute sur ma parfaite hygiène.
Je retourne à mon bureau.
Petit moment de gène quand la collègue que j’ai croisée m’a signalé que j’avais oublié de fermer ma braguette et de remettre ma ceinture.
Des manifestantes seins nus à Londres pour dénoncer "la cruauté" du foie gras
Cette information de la plus haute importance n'a pas échappé à la sagacité de notre reporter. Ca ne m'empêchera manger du foie gras et de regarder les nichons.
12 février 2009
11 février 2009
Vanessa Hudgens et Zac Efron au Brésil
Zac Efron et sa fiancée Vanessa Hudgens sont au Brésil en vacances. C'est de ma responsabilité de vous en informer. Mais vous croyez vraiment que je n'ai que ça à faire, bordel ?
Le vieux Jacques, quant à lui, n'est pas au brésil. Ce soir, il va regarder France Argentine à la télé puisqu'il croit que Maradonna joue encore.
10 février 2009
L'anniversaire de Marcel
Je ne sais pas si Marcel le Fiacre a apprécié le cadeau d'anniversaire que nous lui avons fait : une nuit avec Geneviève. Ne le dites pas à sa femme. Elle est persuadée que allons lui offrir un livre et elle est bien ennuyée : la bibliothèque est déjà pleine des petites Tours Eiffel qu'elle ramène comme souvenir de leurs différents voyages autour du monde.
Le Vieux Jacques a passé une bonne soirée hier soir. Je n'en dirais pas plus.
09 février 2009
Bon anniversaire
Au Vieux Jacques et à Marcel le Fiacre qui sont nés le même jour mais pas la même année. S'ils étaient nés la même année ils auraient le même âge ce qui semble incroyable mais vous n'allez pas négocier. Je leur offre cette splendide photo prise à l'instant avec mon iPhone tout neuf et connecté à Internet depuis samedi.
C'est rigolo ce machin. C'est tout juste si le temps de trajet n'est pas trop court pour que je puisse l'explorer à fond. J'ai même réussi à finir la lecture de mes mails.
Un défaut : la batterie semble légère.
04 février 2009
03 février 2009
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