La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
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14 mars 2009
Les grosses du web
Nefisa et Marie-Georges partagent les mêmes problèmes. Il faudrait en faire un numéro spécial de Vendredi.
Vous êtes vraiment d'ignobles machos et cette prose dégage des relents nauséabonds qui rappellent tragiquement une époque que l'on croyait à tout jamais révolue.
cCe langage transpire la suprématie du mâle blanc, dix mille ans de machisme et une volonté de discrimination stigmatisante envers une minorité réduite au silence. (Quand on a la bouche pleine de brioche au Nutella, c'est plus dur de parler, aussi.)
A la fin de l'hiver, revient le printemps et son cortège de petites robes dans lesquelles il faut entrer ! Je le sais, j'ai le même problème avec un tas de fringue mais pas les robes quand même, faut pas déconner !!!
[Tiens, je fais gaffe à ma ligne pour être bien dans ma peau, ça veut dire que je subis le machisme aussi ? :-)) ].
Ahahahah ! Hé, je ne me plains pas de mon poids, notez bien. Je parle d'un pantalon qui me serre, d'un ventre qui pousse et d'une chanson qui me vient à l'esprit. Rien de dramatique...
Tu veux faire un Vendredi spécial "femmes complexées par leur poids" ??? Il va y avoir beaucoup de contributrices...
RépondreSupprimerTu fais dans le lourd... ;-)
RépondreSupprimer@ Nicolas : on pourrait aussi créer un blog "Les grosses engagées", mais ce serait politiquement incorrect... ;)
RépondreSupprimerOu "dégagez, les grosses" ?
RépondreSupprimerOu un blog : "Partageons les grosses."
RépondreSupprimerVous êtes vraiment d'ignobles machos et cette prose dégage des relents nauséabonds qui rappellent tragiquement une époque que l'on croyait à tout jamais révolue.
RépondreSupprimer(J'ai bon, là ?)
Nicolas, vous avez interverti les liens. Celui de Marie-Georges attérit chez Nef et vive et versa !
RépondreSupprimerOui Didier, vous êtes parfait ! Continuez comme ça.
RépondreSupprimer(enfin pas trop quand même, vous nous manqueriez...)
Catherine, est-ce bien grave ?
RépondreSupprimercCe langage transpire la suprématie du mâle blanc, dix mille ans de machisme et une volonté de discrimination stigmatisante envers une minorité réduite au silence. (Quand on a la bouche pleine de brioche au Nutella, c'est plus dur de parler, aussi.)
RépondreSupprimerPas du tout, ça veut dire, à des copines, "vous faites pas chier, bordel, de toute manière, on ne vous achète pas au poids, on vous aime comme ça."
RépondreSupprimer@ Didier : vous fréquentez trop Manuel et Fabrice, vous devenez politiquement correct à force.
RépondreSupprimer@ Nicolas : bravo ! Se libérer de l'oppression masculine, c'est aussi se libérer des schémas dominants à la con sur le poids.
Il faut aussi que les hommes y travaillent, d'ailleurs...
les femmes et les chiens au boulot
RépondreSupprimerles hommes au bistrot
qu'on disait avant dans les campagnes
Oh comme c'est vache ça !!
RépondreSupprimerA la fin de l'hiver, revient le printemps et son cortège de petites robes dans lesquelles il faut entrer !
RépondreSupprimerJe le sais, j'ai le même problème avec un tas de fringue mais pas les robes quand même, faut pas déconner !!!
[Tiens, je fais gaffe à ma ligne pour être bien dans ma peau, ça veut dire que je subis le machisme aussi ? :-)) ].
Ahahahah !
RépondreSupprimerHé, je ne me plains pas de mon poids, notez bien. Je parle d'un pantalon qui me serre, d'un ventre qui pousse et d'une chanson qui me vient à l'esprit. Rien de dramatique...