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-- Post From My iPhone
La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
Le serveur leur a demandé s’ils désiraient de l’eau plate ou de l’eau gazeuse. A moi, il ne m’avait pas demandé. Il avait juste demandé si c’était bien la peine qu’il m’amène une carafe d’eau. N’ayant pas été éduqué à déranger le petit personnel, j’ai souris. Il a compris.
Ainsi, mes limitrophes congénères ont avoué qu’ils avaient un faible pour l’eau pétillante. Le serveur, charmant au demeurant mais un peu trop couillu malgré sa voix de gros pédé, a indiqué qu’il avait de
Je vous prie de m’excuser par avance, j’ignore l’orthographe de cette décoction. J’étais d’ailleurs tellement surpris qu’il puisse coexister différents types d’eaux gazeuses de la même marque que je n’ai pas pensé à lire l’étiquette. Dieu me pardonnera.
Le serveur a indiqué que la verte était traditionnelle et que la rouge était nouvelle. La dame, dont l’âge m’était toujours indéterminé, a indiqué au loufiat, dont, décidément, la voix ne me revenait pas : « Donnez-nous une Badois rouge car NOUS n’aimons pas
Nonobstant cet épisode hautement jouissif, j’avais passé une excellente fin d’après midi à visiter les illustres arènes de Nîmes dont les vestiges sont relativement bien conservés, y compris le loufiat en question qui forme une délicieuse Reine de Nîmes. Néanmoins, des sapajous, probablement héroïnomanes, ont transformé ce chef d’œuvre d’architecture traditionnelle en un machin sans nom, au prétexte d’y délivrer quelques spectacles probablement modernes aux yeux de certains mais que nous n’hésiterons pas à appeler « à chier ». Je n’hésite pas, néanmoins, à vous en délivrer quelques photographies, même si je ne dispose pas des riches prédispositions de l’Irremplaçable. Quand je pense que des valeureux Romains ont pris la peine de nous coloniser pour nous apporter LA civilisation.
N.B. : l’épisode du resto est véridique (le NOUS inclus) mais devinez qui je pastiche !
Ca apprendra l’hôtel à faire payer Internet : autant que je leur pique de la bande passante en regardant l’arrivée du Tour (Cavendish vient de remporter le sprint, je peux écrire des conneries). Nicolas Sarkozy a trouvé un prétexte pour ne pas être sur les champs (z'avez-vu, je commence) !
Je ressors ! Un demi à boire et des Arènes de Nîmes à photographier. J’espère qu’il y aura des gonzesses en minijupe sinon les photos auront un air de déjà vu…
Hop. Je suis assez impulsif, comme garçon.
Cela dit, je n’ai réservé qu’une seule nuit d’hôtel. Faut être prudent. Si je décide de rester, je prendrai le même hôtel. Il n’y a pas trop de risques : je vois difficilement les touristes prendre l’hôtel Ibis de Saint Etienne d’assaut un week-end.
A première vue, cet hôtel est très bien. Il y a le wifi et, il a beau être à
Un conseil : n’allez pas à Saint Etienne en voiture avec un vieux GPS. Tout est changé. En plus il y a des travaux un peu partout. J’ai mis 80 minutes à trouver l’hôtel. C’est rageant.
Pas le temps de faire un billet politique pour expliquer l’incidence des bêtises que je raconte en passant à Lyon au moment précis du décès de Francisque Collomb. J’ai soif.
15 caleçons ou slips (je ne suis pas sectaire)
1 chargeur d’iPhone
1 câble d’iPhone
15 Tee shirts
3 shorts
2 jean
1 duvet
1 iPhone
1 PC
10 piles rechargeables (je sais, on ne recharge pas des piles mais des batteries, mais commencez pas à me les casser) (qui est le con qui a oublié de les charger avant de partir).
1 appareil photo (sans pile)
1 brosse à dent (c’est superflu, je ne compte pas emballer)
3 rasoirs
1 bol de mousse à raser (je suis de la vieille école)
1 blaireau.
1 PC
1 alimentation de PC
1 machin de dentifrice
1 savon
1 shampoing
1 boite de machin pour les oreilles
1 truc de déodorant
Putain aidez moi !
4 bouquins (ceux que j’ai acheté l’an dernier mais toujours pas lu à cause de ces putains de blogs)
1 carte de France
3 timbres pour les cartes postales que j’ai oublié de poster l’an dernier
1 carte d’Europe (on ne sait jamais : il y a trois ans, j’avais décidé d’aller à Amsterdam, sur un coup de tête).
3 stylos
2 serviettes de bain
1 maillot de bain (tous les ans je le trimballe dans l’espoir de l’amortir enfin).
1 boite de doliprane (je vais rencontrer des loustics qui vont me pousser à boire)
1 boite de lysopaine (putain de clim dans la bagnole)
J’ai pas retrouvé le maillot de bain.
EDF avait promis de passer hier (tout le quartier est concerné et je vous déconseille d’acheter des produits frais chez Leclerc aujourd’hui…) mais on les attend toujours !
Du coup, hier soir, ils ont fermé de bonne heure. J’entends par là qu’ils ont fermé la porte à clé de bonne heure. Je suis resté avec Nicolas Le Loufiat jusqu’à plus d’heure. Il y avait une rousse Australienne qui visiblement cherchait à épouser un de nous deux pour résoudre une histoire de papiers. Nicolas Le Loufiat étant marié et sérieux, j'aurais été obligé de me dévouer. D’autant qu’elle buvait des liqueurs de pomme (de
C’était amusant. Avec les sautes de tension, la lumière n’arrêtait pas de s’allumer ou de s’éteindre dans les différents coins du bar.
L’inénarrable Molière nous avait préparé des plats Indiens pour ramener à la maison. Ca me gonflait un peu car j’aime bien partir en vacances avec le frigo vide… La question ne s’est pas posée ! Les frigos du haut ont rendu l’âme vers 20 heures avant de repartir vers 22 heures. Dans l’intervalle, Camille le cuistot qui en était à son dernier jour a descendu tout ce qui était indispensable de sauver dans les frigos du bas et a mis le reste à la poubelle. Apparemment, il n’était pas indispensable de sauver la bouffe Indienne.
Ceci explique mon départ précipité en vacances. Je ne tiens pas à expliquer ça à Molière.
Dans cette précipitation, j’envisage de débarquer samedi au Canton. J’espère que ça va être possible, avec ma manie de m’inscrire à la dernière minute… Ca devrait nous pousser jusqu’à mardi où je pourrais débarquer chez FalconHill ce qui me donnera la possibilité de revoir Mrs Clooney. Dans ma lancée, je pourrais squatter une soirée chez Rimbus, ça lui apprendra. On devrait être environ jeudi quand Annie pourrait me voir débarquer avant que je ne débarquasse, vers vendredi, chez le Coucou. Le retour se fera progressivement par Lyon pour fêter ça avec les illustres élus locaux. A l’heure où je rédige ce billet, j’ai subitement une lacune en géographie mais il n’y a aucune raison valable pour que je ne squatte pas également chez Peuples.
L’intérêt d’être blogueur zinfluent : ça fait des vacances à pas cher. Et encore, je ne sais pas si je ne vais pas trouver quelqu’un pour payer l’essence.
Cela dit, les gens, si vous êtes occupés les jours que je propose, on peut toujours s’arranger. Les commentaires sont là pour ça. Si j’ai oublié quelqu’un, vous pouvez m’engueuler et EXIGER de me recevoir une soirée. Je ne prends pas cher. Quelques verres de breuvage frais, uniquement.
Par contre, Nancy, je suis désolé, mais je ne vais pas aller jusqu’à chez toi ! (et enlève le déclenchement automatique de la musique dans ton blog, certains lisent les blogs du bureau et essaient d’être discrets !).
En fait, l'anniversaire de Romain est jeudi, mais, tel qu'on le connait, il va fêter ça pendant trois jours.
Fidèle à son habitude, le grand Loïc m’a rejoint vers 21h30. Comme il n’était pas passé, la veille, je lui ai fait écouter la chronique de France Info qui abordait le seul sujet intéressant de l’année : Partageons mon avis (Kremlin-Village s’en est procuré le texte). C’est Jacques Rosselin, patron de Vendredi, qui la présentait, jeudi.
Amusant, d’ailleurs, le patron de
Jacques (Rosselin, pas le Vieux) m’avait fait relire la chronique le week-end dernier et je lui avais demandé d’édulcorer deux ou trois bricoles. Notamment, il m’appelait par mon pseudo Twitter qui est très proche de mon nom de famille (c’est un pseudo que j’ai pris par hasard quand j’ai ouvert mon premier abonnement à Internet, l’initiale du prénom suivie du nom était déjà pris par une autre andouille, AOL m’avait proposé le nom suivi de l’initiale du prénom…). Je préfère qu’il m’appelle Nicolas, c’est plus anonyme… Il faudra que je me trouve un nouveau pseudo et modifie mon compte twitter ! Ca évitera que les copains m’appellent par mon identifiant chez AOL !
Quand j’ai lu la version finale et, surtout, quand j’ai entendu la chronique que Gaël m’a envoyée en mp3, j’étais bien content. Si je savais la mettre sur le blog, je ne m’en priverais pas.
Le patron était content parce que la chronique affirmait sa neutralité politique et était sympathique avec son bistro et son personnel. Il ne sait pas que j’ai rendu publiques les photos de Karima à sa demande pour qu’on puisse juger de l’efficacité de son régime. Vu de derrière.
Je dois avouer que j’étais content, aussi, que la chronique soit diffusée le 16 au soir. Quelques collègues à moi savent que j’habite le Kremlin-Bicêtre. Si l’un d’entre eux écoute la rubrique, il pourrait, évidemment, penser à moi. Mais comme je ne vais plus au bureau pendant quatre semaines, il aura probablement oublié ! Et s’il n’a pas oublié, il aura oublié les détails de la chronique et je pourrais jouer la surprise. Cela dit, on ne va pas relancer une chaîne au sujet de l’anonymat dans les blogs.
J’étais donc content.
Sauf que je n’avais pas pensé à un détail. Qu’un Kremlinois écoute l’émission, ne sache pas vraiment ce qu’est un blog, s’imagine avoir une célébrité dans sa commune et désire la rencontrer au bistro.
Celui d’hier soir est arrivé à 22 heures et a bu un jus de tomates.
Figurez-vous que l’autre soir, lundi, je crois, le Vieux Joël était au travail (il est artificier) et j’étais retenu par une importante conférence internationale de blogueurs à la Comète à m’enfiler des demis et des pâtes aux crevettes. Le Vieux Jacques ne voulait pas se faire casser les couilles par des triplettes d’Aubryistes, de Ségolistes, de DSKistes et autres kystes. Je l’ai autorisé à aller faire les mots fléchés d’Alain Bonhomme dans le France Dimanche de l’Amandine.
Joie ! Le 14 juillet étant férié, le canard du 13 contenait deux mots fléchés, mais Michel, le patron de l’Amandine a interdit le Vieux Jacques de faire les deux. D’ailleurs, le vieux n’a pas fini le premier ce que j’ai pu constater quand j’ai voulu faire le deuxième, mardi soir, ce qui m’a permis de me foutre de la gueule du vieux, hier soir. Vous me suivez ? Parce que c’est bien la soirée d’hier soir que je vais raconter.
Déjà, je suis sûr que vous avez oublié que le Vieux et moi nous fâchons régulièrement à cause des mots fléchés du France Soir. Quand il est saoul, il veut absolument aider mais n’arrive pas à lire parce que c’est trop petit, vous prend le journal des mains pour lire ou vous demande de lire à sa place, puis déclare que c’est facile mais il a appris le dictionnaire par cœur alors que je ne connais que les 200 mots nécessaires pour tenir un blog politique. En plus, comme il est saoul, il se trompe souvent car il veut frimer pour démontrer qu’il est meilleur que nous dons le journal est tout raturé.
Le Vieux Joël rigole bêtement car il est très magnanime. Pour ma part, ça me fout en rogne. J’en gueule le Vieux et il se fâche à vie jusqu’au lendemain ou au surlendemain. Généralement, c’est Michou, l’heureux taulier de ce jeune blog qui nous réconcilie.
Bref. Hier soir, je me suis me foutu de la gueule du Vieux Jacques car il n’avait pas réussi les mots fléchés de lundi. La définition était « FOU… ETTE » et « INGLE » étaient les cinq dernières lettres de ce mot ce six lettres. Je précise que le « L » est à peu près sûr.
Il ne s’est pas fâché.
Par contre, les oreilles commençaient à lui chauffer, j’ai donc foncé à l’Amandine pour échapper à ses jeux de mots. Il m’a rejoint.
Un client parlant musique avec le patron, Jacques s’est mené à la conversation. Ils en étaient aux mérites comparés de notre Johnny national et des différentes stars du gospel. Allez savoir pourquoi !
Je les ai laissé causer. Il faut dire que le vieux est AUSSI pénible quand il parle de musique. Il est persuadé tout connaître et que tout ce qu’il ne connaît pas est forcément mauvais. Ca va faire dix ans que je le connais et je ne l’ai jamais vu acheter un disque ou aller au moindre spectacle. Tenez ! Je parie que le vieux ne sait même pas qui est Orelsan.
J’ai donc pu faire les mots fléchés tout seul mais Alain Bonhomme est en congés. C’était donc un machin très facile que j’ai fait assez rapidement sauf le traditionnel coin en haut à droite.
Pendant ce temps, je ne sais pas pourquoi, la conversation des mes trois alcolos litres avait dévié sur Aznavour (que je ne peux pas voir en peinture mais on ne discute pas les goûts et les couleurs). Le Vieux a commencé à chanter une partie du répertoire du grand Charles.
J’ai eu une idée de génie pour qu’il ferme sa gueule : je lui ai dit la vérité, à savoir que je n’arrivais pas à finir les mots fléchés pourtant facile. Il s’est emparé du dossier et m’a volé le canard. Il était fier comme un bar tabac alors que l’Amandine n’est qu’une sympathique brasserie.
J’étais content de moi : après avoir engueulé le vieux pour qu’il me foute la paix, je lui avais refilé les mots croisés pour qu’il s’imagine que je le pense plus intelligent que moi. C’est le propre des gens bons en mots croisés : ils s’imaginent intelligents. Y compris ceux qui lisent France Soir.
Et en plus, il n’a pas réussi à les finir. J’ai pu me foutre de sa gueule.
Pour le reste de la soirée rien de remarquable. A part que c’est la première fois qu’on me téléphone quand je suis à l’Amandine pour aller boire un coup à la Comète. Quand je suis arrivé en courant (il m’avait promis une bière, je ne voulais pas qu’il change d’avis), le fils de l’ivrogne était assis en terrasse à écouter une voisine de table qui racontait sa vie depuis 40 ans à Bicêtre.
Nous avons rejoint le comptoir où nous a rejoint le Grand Loïc et parlé nouvelles technologies. J’ai réussi à leur faire croire que je comprenais tout ce qu’ils disaient.
Le vieux Jacques est arrivé avec sa Grosse, sortant du restaurant Japonais. Ils ont croisé Marcel. Quand Marcel a compris (en la rattrapant) que la Grosse était pleine, il a prétexté l’achat d’une pizza pour s’échapper…
Le Gros Loïc était pressé de raconter ses aventures et Didier avait les pensées ailleurs. Je ne sais d’ailleurs pas s’il se souvient de cette raconte, d’où l’intérêt de ce blog. Il faut toujours faire des billets pour raconter les soirées avec les potes pour qu’ils puissent se souvenir des événements.
Je vais faire court. Nous étions assis en terrasse, le gros Tonnegrande, Didier et moi, à côté d’Odette, Henri et La Branlette. La conversation tournait autour d’Hypos. J’ai montré sa photo à Tonnegrande qui était curieux de découvrir le visage de celle que venait de lui décrire Didier en des termes flatteurs, ne portant pas sur son apparence physique mais sur sa capacité à ingurgité des doses impressionnantes de liquides jaunes issus de la fermentation de céréales diverses.
Nous avons été rejoints par Mohamed que Didier a décidé d’appeler « connard » non pas, comme on pourrait le penser, en hommage à un blogueur quelconque, mais parce que son épouse, à Didier, trouve Mohamed plus beau que Didier. Même sans ses lunettes.
Nous avons été rejoints par le Grand Loïc jusqu’à ce que Mohamed soit appelé par sa grosse son épouse qui lui a dit, si j’ai bien compris : « Hé ! Connard, tu vas arrêter de trainer au bistro avec les gros. Rentre à la maison ». Ce qui nous montre que :
Petit 1 : Mohamed est marié. Catherine, ce n’est plus la peine d’espérer.
Petit 2 : Sa femme l’appelle « Connard » or ce terme a été déposé par Didier. Donc la femme de Mohamed connaît Didier. C’est louche.
Du coup, Tonnegrande s’est rappelé qu’il avait une épouse (hé oui, @Hypos) et est parti aussi. Nous n’étions plus que trois, Didier, le Grand Loïc et moi. Le Grand Loïc a fini l’apéritif et est repassé à la bière quand le gros Loïc est arrivé et a raconté son aventure de la journée.
Pour que vous la compreniez bien, il faut que je vous raconte ça depuis le début. Faisons court. Le Gros est en arrêt de travail depuis fin 2007. On n’a jamais compris ce qu’il avait, un truc aux os du bas d’une jambe, une espèce d’infection. Il a été très content car il a fait un tas d’examens avec des noms rigolos qu’il était obligé de noter pour s’en rappeler. Il guérit progressivement. Il aurait du reprendre le boulot en février mais n’a pas pu et a obtenu un rab de congés maladie. Jusqu’au 2 juillet.
Il est donc revenu à Bicêtre en début de semaine et a commencé à s’engueuler avec son patron avant même de rembaucher. Avec Michel, nous avons parié qu’il ne tiendrait pas une journée (voir mon billet d’hier).
La suite m’a été racontée par le Gros Loïc quand il est arrivé, relativement tard, hier soir, à ma grande surprise car je le croyais déjà parti. Il arrivait de l’hôpital où il était entré en début d’après-midi. Pour l’aventure c’est tout : pour Loïc, passer 6 heures à l’hôpital pour une coupure qui nécessitait 6 points de suture, c’est trop.
Il s’entend bien, maintenant, avec son nouveau patron (il ne devrait pas tarder à commencer à chier sur les anciens) et pense que grâce à son retour, la boulangerie est sauvée.
D’ailleurs, pour pouvoir bosser, il n’a pas pris l’arrêt de travail proposé par l’hôpital… car ça aurait interrompu son mi-temps thérapeutique… Je ne pouvais pas tout comprendre, non plus.