C'est l'étrange chaîne que lance Jean dans son blog. Il s'agit de décrire comment sont morts ses aïeux (décédés, pas les vivants, abruti). Très bon billet (Jean n'est habituellement pas très bavard). J'ai la flemme de répondre. Mes grands-pères sont décédés bien avant ma naissance depuis laquelle j'ai enterré un père, deux grands-mères, une arrière-grand-mère, une grand-tante, un oncle, ... En parler le dimanche matin ne me branche pas. Ou alors après la messe.
Jean nous invite aussi à voir un extrait de l'émission d'Ardisson à laquelle participait Ron L'Infirmier. Le détail sur le blog de Ron.
Heuuuu effectivement, le billet est assez impressionnant. A sa lecture, je me dis que j'ai été plutôt gâtée par la vie, du coté de la mort des vieux (ou moins vieux).
RépondreSupprimerJe comprends que pour un beau dimanche matin, on hésite.
Ouais... Même un autre jour, je dois avouer...
RépondreSupprimervu l'émission d'Ardisson et la promotion du livre de Ron ; pas très gai en effet, même désespérant ; il a raison, on ne veut pas savoir, ni pour nos vieux, ni pour nos morts ; une société qui zappe ses vieux et préfère oublier ses morts est une société délétère (il me semble)
RépondreSupprimerDes Fraises,
RépondreSupprimerSi on veut savoir. J'ai eu deux grands mères qui ont fait des stages dans des établissements pour vieux, il y avait toujours quelqu'un avec elles.
Nicolas,
RépondreSupprimerMon commentaire ne t'était pas adressé personnellement. Je faisais un commentaire-mini-constat pas très optimiste (cela n'empêche qu'il y a pléthore d'exemples pour contredire mon constat et heureusement)
bien à toi,
Laurent
J'avais bien compris !
RépondreSupprimerMerci pour la reprise !
RépondreSupprimer