Je suis sommé par Olivier de raconter ma première fois. La première fois où l’on a retourné une personne du sexe opposé. Ou du même sexe, ne soyons pas chauvin.
Je me rappelle très bien. C’était en 1956. Mon père, à ce qu’on m’a raconté, avait fauté avec une certaine Frida. En fait, elle avait accouché sous X après avoir été ultra violée. Frida était tenancière d’un bordel, à Toulon, quand je l’ai retrouvée, en 1956. J’avais 13 ans.
Une de ses employées, Lulu, devait me garder mais je m’intéressais de près à cette honorable personne qui avait des seins tels qu’un seul aurait suffit à la satisfaction d’un régiment d’infanterie de marine. Je l’observais. Elle me gardait pour éviter que je finisse la réserve de Beaujolais nouveau qui devait servir de Champagne pour le 14 juillet, en y ajoutant quelques cachets d’Aspro.
Amusée par mon manège, elle vit mon érection et se dit qu’un peu de chère fraîche ne nuirait pas à sa santé même si coucher sans recevoir une rétribution honorable n’était pas dans ses habitudes.
Cette époque est révolue. Maintenant, sauf par snobisme, les braguettes sont à fermeture éclair mais, à l’époque, la mienne était à boutons. Au moment où Lulu dégrafa le premier, mon érection atteignit le sublime mais le deuxième bouton lâcha immédiatement et se glissa entre ses seins avantageux. Bien encordé, je partis à sa recherche écartant les nichons l’un après l’autre. Contrairement à nos chercheurs modernes qui reçoivent de plus en plus de subventions pour trouver de moins en moins, je trouvai le bouton en quelques minutes.
Lulu est une personne prévenante et bien équipée. Outre sa poitrine indescriptible, elle avait un nécessaire à couture et entreprit de recoudre le bouton. Ce n’est qu’une vingtaine de secondes après le début de l’exercice que j’ai compris que j’aurais du enlever mon pantalon avant. L’aiguille était fine et elle a eu une manière sympathique d’arrêter l’hémorragie. Ce n’est que le lendemain matin, en passant aux toilettes, que j’ai su où était passé le dé à coudre.
Il me fallait, ce matin, une histoire de braguette pour présenter la perle de Marcel Le Fiacre. Cette chaîne tombe bien.
J’attendrais d’avoir un âge plus avancé pour raconter la première fois. Dans l'attente, je vais taguer
LOL ... quelle histoire pour débuter la journée ! ;o) Rires... ! :o)
RépondreSupprimer*** BISES et bon dimanche ! ***
Sacrée Lulu. Mais où va-tu chercher tous ça?? :-)
RépondreSupprimerSinon, vive les perles!
Bon "jour du seigneur"!
Nancy,
RépondreSupprimerBon dimanche !
Julien,
T'as vu ça ! Deux diffusées aujourd'hui ici !
En 1956 vous n'aviez pas 13 ans !
RépondreSupprimerNon, je n'étais même pas né...
RépondreSupprimerÇa c'est une histoire qui fait du bien un samedi matin!!
RépondreSupprimerÇa met en appétit... Ouai, c'était peut-être pas la meilleure expression à choisir ici :D
Euh... Un dimanche matin!! Ça doit être les restes de la veille ;)
RépondreSupprimerMdr, moi qui pensais faire du San Antonio soft avec mon billet, je me sens tout péteux devant le tien...
RépondreSupprimerPar contre, tout ce que je raconte est rigoureusement exact, et les dates concordent (13 ans en 56, pffffff... merci Catherine, j'ai failli me faire avoir)
Trébobiyé !
;)
Lol, fantasmes de gros nénés !
RépondreSupprimerC'est dégueu.
RépondreSupprimerBeurk.
On peut plus rigoler ?
RépondreSupprimerT'es dingue, superbe histoire !
RépondreSupprimerPresque burlesque...ça me rappelle les films d'initiation à l'italienne, il s'y passe toujours des trucs de ce genre...
Dorham,
RépondreSupprimerMerci.
Le pire c'est que j'avais d'abord inventé une histoire et au moment de la taper à mon clavier, j'ai pensé qu'elle est bien trop crade pour le blog... Du coup, j'ai tout improvisé, phrase par phrase, ne sachant pas ce que j'allais raconter à la suivante et ayant peur de ne pas savoir conclure !