-- Post From My iPhone
La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
28 novembre 2009
27 novembre 2009
Google pipe view
Je crois me rappeler vous avoir raconté avoir retrouvé ma voiture, dans Google Street View, garée devant la Comète (si ça vous intéresse, ce n'est pas la voiture rouge à droite du parking, mais la rouge garée au fond, après avoir pivoté d'à peu près 180 degrés, la photo que vous aurez eue en cherchant sur Google Maps, "1 avenue Eugène Thomas Le kremlin bicêtre").
Ainsi, je dois préciser que la voiture rouge de la photo illustrant ce billet n'est pas la mienne même si elle y ressemble furieusement.
Pour mettre à disposition des utilisateurs des photos des rues, Google a des véhicules qui sillonnent le monde. Vous en avez peut-être déjà croisées : elles ont un gros machin avec des caméras sur le toit. Des prostituées et leurs sympathiques clients ont donc été pris en photo...
N.B. : Merci Al John pour l'information (la prochaine fois, pense à faire un billet de deux lignes, puis à le twitter).
Il faut appliquer Gularu
C'est pour ça qu'il nous propose sa propre application sur Facebook. Allez-y, inscrivez-vous, faites de la publicité, faites tourner Gularu.
Et rappelez-moi d'y aller ce week-end, je ne sais même pas encore de quoi il s'agit.
26 novembre 2009
J'ai loupé la fin du monde, j'étais au bistro
Un quidam traversant Bicêtre, hier, aurait pu se demander si la fin du monde n’avait pas pris trois ans d’avance (je vous rappelle que la fin du monde aura lieu en 2012 mais je n’ai pas noté la date exacte ; j’espère que ça sera avant les Présidentielles). Pas un chat dans la rue. Quand je suis sorti de l’Amandine, vers 20h30, après avoir séché un peu sur les mots croisés du France Soir, je n’ai vu aucun gros noir à barbe blanche vomissant dans la rue, aucun Lyonnais en perdition ne recherchait un tire-bouchon pour dépuceler une nouvelle Côtes-du-rhône.
Le néant.
Au carrefour entre l’avenue Eugène Thomas et la rue Danton, les feux ne fonctionnaient pas. Un clignotement orange indiquait aux piétons que c’était leur problème s’ils se faisaient écraser par un vendeur de pizza désabusé.
J’ai choisi de descendre l’avenue Eugène Thomas jusqu’à l’Avenue de Fontainebleau au risque de marcher une dizaine de mètres de plus que d’habitude. L’Aéro fermait. Je traverse l’avenue. La terrasse de la Comète était vide. Les tables avaient été ramassées. Nicolas le loufiat était sur le pas de la porte, tenant son balai à la main et contemplant son travail comme mémère regardant le gros caca de son cador, contente pour lui et pour elle d’avoir acheté les bonnes croquettes.
J’entre. Je paie la tournée que j’avais commandée, avec Tonnégrande, avant de foncer à l’Amandine.
Les rues étaient vides. Pas mon verre. Je n’en avais pas.
25 novembre 2009
Bistro ou bistrot ?
Voila enfin un sujet d'intérêt général dans les blogs. Comment écrire bistro ? Bistro ou bistrot ? Pour ce qui me concerne, je ne mets jamais de "t" à la fin, considérant qu'il s'agit d'un mot russe, le terme "vite", dérivé. C'est une rumeur sérieuse qui navigue sur le web. L'autre rumeur est qu'il s'agit, comme "troquet", d'une déclinaison de "bistroquet", comme "bistrotier". Comment savoir ?
Le retour de Sid Vicious
Les plus jeunes ne le connaissent peut-être pas, c'est dommage. Toujours est-il que c'est bien la première fois depuis longtemps que j'entends parler de lui dans la presse. Et en plus, avec Pavarotti.
"Le label français indépendant Because a racheté, en association avec un groupe d'investisseurs, Jeune Musique SA, la société d'édition créée en 1967 par Claude François, qui comprend notamment la coédition du tube mondial "My Way", a-t-il annoncé mercredi dans un communiqué."
"Rendue célèbre dans les années 60 par Frank Sinatra, puis interprétée entre autres par Elvis Presley, Sid Vicious ou Luciano Pavarotti, elle est une des chansons les plus reprises au monde."
24 novembre 2009
Au bistro !
Dans un élan de bonté, Polluxe et moi avons décidé de lancer conjointement une chaîne des trois bistros de quartier préférés.
Il faut donc taguer trois personnes. Je choisis Marie, Lediazec et Yann, tous les trois étant des Côtes d’Armor.
Mon premier est évidement La Comète. 13 ans, presque jour pour jour de petits déjeuners et de bières du soir sauf le jour du Beaujolais nouveau, ça marque. Deux changements de patron. Je ne compte plus le personnel qui est passé avec une mention spéciale pour Josiane, à la retraite, et pour Jim, toujours là, depuis 4 ans et demi.
J’en parle assez souvent. J’aimais bien, avant, son vieux comptoir, avec les derniers clients, le soir qui racontaient des bêtises pendant que le patron animait les discussions et faisait ses comptes. J’aime, maintenant, l’ambiance qui y règne (mais j’aime moins la politique commerciale du patron actuel qui ferme le comptoir après 20 heures pour favoriser la "restauration assise").
Mon deuxième est l’Amandine. J’aime bien passer des heures, sur mon tabouret, avec le Vieux Joël à essayer de boucler les mots fléchés qui nous passent sous le coude. Avant, "l'époque des mots croisés", on y a passé des soirées mémorables, le samedi, jusqu’à ce qu’une page se tourne. De la belle époque, ne restent que Joël et moi, sans compter la patronne, le patron et Gérard le serveur.
J’aime les emmerdeurs du comptoir qui veulent absolument vous adresser la parole alors que vous ne voulez pas, j’aime les habitués que je croise presque tous les soirs en deux ou trois groupes qui se mêlent parfois pour refaire le monde.
Mon troisième est l’Aéro. J’aurais pu citer le 1880, à Loudéac, mais j’ai choisi de rester près de chez moi, dans mon quartier. L’Aéro est un tout petit rade qui a la particularité d’être à peu près à l’opposé de la Comète, avec des vieux ivrognes braillards au comptoir qui font qu’une fois qu’on y est on n’a qu’une envie : en partir. Mais quand on y est pas l’ambiance nous manque. A peine partis, on y retourne.
Vive les bistros !
23 novembre 2009
C'est pas de pot
Hier, en début d’après-midi, je quitte la résidence Bretonne pour la capitale. Une quarantaine de kilomètres après le départ, j’entends un fort bruit de pétarade provenant de sous ma voiture. Le bruit d’une Harley Davidson. J’étais très fier. Mais je me dis immédiatement : « Bordel, t’as le pot qui fuit ». C’est pas de pot. Ca va encore couter le pot des fesses.
Quelques minutes plus tard, ce bruit est complété par un bruit de casserole. Je m’arrête, je constate que le pot touchait par terre. Je voulais mettre la main au pot pour le remonter mais le pot était probablement trop chaud.
Je me rappelle qu’une station se service se trouve un peu plus loin (une quinzaine de bornes), sur la 4 voies (la RN12, vers Bédée), et je décide d’y aller de ce pas. Aller vers Bédée pour se faire tripoter le pot, c’était gonflé.
A la station service, je m’adresse à la préposée qui m’informe qu’ils n’ont pas de mécaniciens (un dimanche) et appelle donc le réparateur de la compagnie mais ce dernier se trouvait à Carhaix. « Désolé, Monsieur, je ne peux rien faire pour vous ».
J’appelle l’assistance qui m’interroge pendant 10 minutes puis me dit d’appeler le 17. J’ai appris un truc hier. Quand vous appelez d’une borne orange, sur l’autoroute, pour avoir de l’assistance, vous tombez sur le 17. Autant prendre votre iPhone et composer le 17. Un de ces jours, avec la géolocalisation, vous n’aurez même plus à dire où vous êtes… Mais, je ne suis pas sur mon blog geek.
Je fais part de mon histoire de pot au poulet en face. Je dis « un poulet » car je cherchais un jeu de mot à faire au tour de « poule au pot » mais je ne trouve pas. L’agent au bout du fil était particulière courtois et sympathique. C’est bizarre : j’éprouve toujours une réticence à appeler la police. La peur du gendarme... C’est une erreur : 100% des appels que j’ai passés au 17, hier, se sont bien passés.
J’attends vingt cinq minutes, la dépanneuse se pointe. On charge la voiture dessus. La première fois de sa vie ! Elle était très fière ! Moi, je suis monté à l’avant du gros camion. J’étais fier aussi. Le camion reprend la 4 voies et sort à la première sortie pour re-rentrer dans l’autre sens. Me voilà pris d’une légère déprime : l’autre sens m’éloignait de Paris. Je m’imaginais que le gugusse allait m’amener à Rennes et que l’assistance allait payer le rapatriement à Paris en train. Pas du tout.
A Bédée, il sort et arrive dans son petit garage. Il me monte. Heu. Il monte la voiture sur le machin et triture le pot et l’attache avec un fil de fer, comme Gaston. Je regarde. Il manquait quelque chose. Et je crie « Arg, Bordel ! Où est ma roue de secours ? » Le type « ah oui, tiens, le machin a été forcé ! ».
Je suis reparti après avoir perdu 90 minutes, une roue de secours, quinze euros de dépannage (l’assistance plafonne les remboursements à 155 euros, de mémoire) et 4 euros de pourboire.
Et j’ai toujours le pot qui fuit.
22 novembre 2009
S'il faut un Camus au Panthéon
Le fils ayant refusé le transfert d'Albert Camus au Panthéon pour le bon motif que ni le Panthéon ni Albert n'avaient rien demandé, Didier Goux propose tout simplement de mettre Renaud Camus au Panthéon.
A mon avis c'est trop tôt.
20 novembre 2009
19 novembre 2009
18 novembre 2009
Ma télé
Communiqué de presse : je tiens à signaler un événement exceptionnel... Je viens d'allumer ma télé en apprenant, par Twitter qu'il y a prolongations.
Et à la minute où je diffuse, Thierry Henry vient de marquer un but. Le but est validé mais ça semble louche. A priori il y a hors-jeu, personne n'y comprends rien. Les gugusses qui causent à la télé ne savent pas quoi dire. Le match est reparti. Le but est valide.
17 novembre 2009
Aux chiottes, les toilettes !
Chez moi, les toilettes sont normales. Surtout depuis que Jim a réparé la lumière. Avant c’était un peu gênant, notamment si on était plusieurs dans l’appartement et qu’on était obligé de faire partager nos affaires intimes aux invités.
Mais, c’est réparé. C’est heureux. Mes chiottes sont parfaites. Un grand placard me permet de ranger du papier hygiénique d’avance ce qui évite les surprises. La lunette est verte, vestige d’un temps où j’avais décidé de peindre l’appartement dans des couleurs vive. Seule la lunette de mes chiottes à maintenant des couleurs vives sauf quand j’invite le vieux Jacques.
L’ampoule du plafond est à nu. Ca donne un côté ringard que j’aime bien. Il faut dire que la précédente panne de la lumière était due exclusivement à l’abat jour qui tirait sur le machin provoquant le débranchage des fils.
J’ai aussi des toilettes au bureau. J’en ai déjà parlé. La minuterie de la lumière dure tellement peu longtemps qu’on se retrouve parfois à se finir dans le noir.
Néanmoins, dans ce billet, j’ai un peu divergé. Jeudi, c’est la journée mondiale des toilettes, pas des lumières des toilettes.
15 novembre 2009
13 novembre 2009
Vous nous emmerder avec votre ballet dans le cul
C'est ce que vient de me dire un commentateur anonyme chez Gwendal. Ce sont donc les petits rats qui me chatouillent ?
Féministe punkette
J'ai le plaisir et la joie de vous informer que je suis gros membre d'honneur des Féministes Punkettes.
Les blogueurs de l'imaginaire
Les 1ères rencontres des blogueurs de l'imaginaire à Sèvres
Le 12 décembre prochain auront lieu les rencontres de l'imaginaire de Sèvres. A cette occasion, Ferocias a proposé qu'une réunion des blogueurs intéressés par les littératures de l'imaginaire puisse se tenir afin de se rencontrer, d'échanger, de parler du classement Wikio, des littératures de l'imaginaire (il prendra la place de celui qui parle des vieux machins poussiéreux et j'aurai de la concurrence à Sèvres vu les personnalités qui sont invitées).
Les inscriptions se font dans les commentaires de ce billet de Ferocias. Vos noms seront ajoutés au fur et à mesure.
Beaujolais Nouveau à la Comète avec @Rosselin
11 novembre 2009
Sept
Je n'ai rien compris à la chaîne proposée par Ferocias. C'est en anglais. "List seven songs you are into right now. No matter what the genre, whether they have words, or even if they’re not any good, but they must be songs you’re really enjoying now, shaping your life. Post these instructions in your blog along with your 7 songs. Then tag 7 other people to see what they’re listening to."
Je vais répondre en Français et en deezer.
Tagués : Manu, Hypos, Poireau, Le Coucou, Gularu, Rimbus et Homer.
10 novembre 2009
Les marionnettes du pénis
Mesdames, Messieurs,
Vous connaissez mon blog ? Il est de haute tenue, sans jamais un mot plus que l'autre, sans jamais la moindre allusion pornographique ni même érotique contrairement à d'autres qui n'hésitent pas à oublier leur ceinture quand ils sont hébergés par un blogueurs zinfluent.
Je vais changer cinq minutes. Je vais diffuser un truc cochon. Réellement cochon puisqu'il s'agit de mecs en train de jouer avec leurs engins (personnels, n'abusons pas).
C'est le vieux Joël qui est tombé dessus par hasard (il essaiera encore de nous faire croire qu'il passe ses temps libres à approfondir sa culture) et qui nous a refilé le lien avec Tonnégrande.
C'est ce matin que je m'en suis rappelé.
Pour la première fois de ma vie que je suis arrivé en retard (tout est relatif) au boulot car j'étais plié de rire en regardant une vidéo de deux types jouant avec leurs pénis. Ca se passe en Australie, je crois. Deux gugusses ont monté un spectacle de cinquante minutes pour faire marrer les gens avec des cochonneries.
L'introduction est un peu longue mais prenez patience. Ca se passe ici. Les enfants, ne cliquez pas.
Désolé...
09 novembre 2009
Fâché avec le vieux Jacques à cause de Julien Dray ?
Je croyais bien être réconcilié avec le Vieux Jacques. Certains témoins pourraient d’ailleurs me le confirmer, je me demande si je n’ai pas oublié une engueulade, tellement elles sont fréquentes.
Hier, nous avions Julien Dray à la Comète. LE Julien Dray, l’officiel, tout. Le matin, je m’étais dit : « Bon, je ne peux pas faire un truc important à la Comète sans inviter le Vieux Jacques ». Je lui ai envoyé un SMS en fin de matinée. Du coup, il est arrivé à la Comète au moment où je passais à table vers 14h30 (à force de passer les matinées à rattraper mon retard de blogage, j’ai les horaires un peu souples…). Il avait déjà pris l’apéro, déjà mangé et, visiblement bu quelques digestifs.
On papote puis on en vient à discuter de la soirée de blogueurs du 27 août, à la fin de laquelle nous nous sommes fâchés définitivement pendant au moins trois semaines. Je constate qu’il n’avait pas compris pourquoi je l’avais engueulé, et je prends le soin, sagement, calmement, de tout lui expliquer, en faisant attention à ne tenir aucun propos qui pourraient le fâcher, en tenant d’autres pour lui faire verser une larme « Tu te rends compte, mon vieux pote qui me fait ça à moi… patati patata ». Non seulement, il comprend et me présente ses excuses, mais en plus il me promet de rentrer directement chez lui et de faire la sieste jusqu’à 19 heures pour être en forme le soir !
Ce qu’il a fait.
Je n’ai pas réussi à l'empêcher de changer « J’attends Dray », comme je le raconte dans le compte rendu officiel mais on ne peut pas tout avoir…
Comme il s’était bien tenu (ça n’est pas évident lors d’une réunion de gauchistes quand on est un vieux gaulliste), j’ai décidé de lui offrir le repas.
Après son départ, mon téléphone sonne : « Heu, hips, je suis à la maison mais j’ai oublié mes courses à la Comète, peux-dire au patron de les mettre de côté ? ».
Dont acte.
Ce que je ne comprends pas, c’est qu’il est venu les chercher dimanche matin, avant 11 heures, alors qu’il sait que je n’y suis jamais avant midi…
Je me demande pourquoi il est encore fâché.
07 novembre 2009
Un nouveau Kremlin des Blogs !
J’ai fini la sieste ! Comme toujours quand je suis à Bicêtre, elle a duré deux fois trop longtemps (il faut dire qu’à Loudéac, je me tape des nuits de 10 heures !). Par flemme, j’avais mangé à la Comète ce dont tu te fous, mais le vieux Jacques a débarqué en fin de repas. Hips. Si vous voyez ce que je veux dire.
Il faut dire que je lui ai envoyé un SMS ce matin : « Hého, ne picole pas trop à midi » (il a probablement mal lu la première moitié du message, « une copine blogueuse que tu as déjà vue sera à la Comète ce soir, ainsi que XXXXX, essaie de te pointer mais pas saoul comme une girafe brésilienne ».
Pour le XXXXXX, vous en saurez plus demain mais rien de savoir qu’une pointure politique de cette dimension se pointe dans mon fief uniquement pour s’enfiler des bières avec des blogueurs aurait du me couper la sieste. Pas la soif. La dernière fois que j’ai eu une « célébrité » (Guy Birenbaum), j’étais déjà à moitié émoustillé (pas le fait de rencontrer « quelqu’un », je ne suis pas un lapin de six semaines, mais une sorte d’émotion liée au sentiment d’avoir réussi quelque chose en faisant déplacer du beau linge à la Comète ).
Vive le Kremlin des Blogs, avec, ce soir :
Moi-même : http://jegpol.blogspot.com/
Le Poulidor du Wikio : http://sarkofrance.wordpress.com/ (qui n’a pas confirmé sa visite où, alors, j’ai loupé une étape).
Le célèbre Dagrouik : http://www.intox2007.info/
Et le peloton (sans discernement, j’ai juste la flemme de trouver un texte pour chacun) :
http://herve.nowak.over-blog.com/ (non confirmé)
Dans la caravane publicitaire, j’aurais le plaisir de revoir :
http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/ (non confirmée)
sans compter : les régionaux de l’étape : Tonnegrande, Lolox et Mohamed.
Avec nos deux invités surprises et le Vieux Jacques, nous devrions donc être une bonne vingtaine.
Et toi ? Que fais-tu ce soir ? Il n'est jamais trop tard pour sauter dans un métro...
(liste établie sans prendre en compte les gugusses qui m'ont confirmé leur présence pendant mes heures de bistro)
Bon ! Je vais aller contrôler l'organisation (un autre groupe à réservé pour 27, ce soir)
Et toi ? Que fais-tu ce soir ? Il n'est jamais trop tard pour sauter dans un métro...
(liste établie sans prendre en compte les gugusses qui m'ont confirmé leur présence pendant mes heures de bistro)
Bon ! Je vais aller contrôler l'organisation (un autre groupe à réservé pour 27, ce soir)
05 novembre 2009
Catégorie : animaux
04 novembre 2009
L'iPhone, un problème de société ?
Aude envisage d’acquérir un iPhone. Mais, comme beaucoup elle s’interroge : ne va-t-elle pas devenir timbrée avec ce truc ? J’ai mâchouillé une réponse, chez elle, mais l’occasion est trop belle pour faire un joli billet à moindres frais. Dans le blog bistro, pour changer : les autres sont saturés.
Elle prend le sujet complètement à l’envers ! L’iPhone est-il un problème de société ?
L’iPhone a un défaut. Un gros. Il faut un forfait conséquent pour l’utiliser : en gros, ce machin va vous coûter la moitié d’un SMIC par an... Ce n’est pas raisonnable. Le reste n’est que billevesées.
Je vais répondre à Aude point par point mais dans le désordre.
« J'ai déjeuné avec une amie. A côté, un couple. Chacun avec son Iphone sur les genoux. Sur le qui vive. Ils se parlaient et se regardaient distraitement. Prêts à sauter sur l'engin pour immédiatement savoir quelle paire de chaussures avait choisie telle copine, dans quel bar tel pote organisait un pot le soir même. »
Peut-on raisonnablement croire que c’est à cause de l’iPhone que le couple va mal ? Ne peut-on pas, plutôt, estimer que ce sont justement leurs iPhone respectifs qui rendent le dîner supportable ? Sans ce bazar, ils se foutraient sur la gueule…
« Dans le TGV, il y a peu, je n'avais rien à lire, rien à faire. Mais au lieu de courir après une technologie, des infos toutes fraiches et glauques, de me plaindre de l'ennui, j'ai pris le temps… ».
Ah ! Et si tu avais eu un bouquin, tu aurais regardé par la fenêtre, tu aurais observé les gens, tu aurais rêvé au sens de la vie ?
« Je sais que vous adorez votre Iphone, et le trouvez indispensable, vous qui n'en aviez pas il y a deux ans. Mais n'avez-vous pas l'impression de passer à côté de votre famille, vos amis, ce qui vous entoure ? »
Non. Moi pas. Par contre, combien de familles dînent en regardant la télé ? Combien de familles vivent avec la télé allumée en permanence ?
« Mais je voulais lancer une sorte d'alerte. Se retrouver en soi, être en phase avec ce qui nous entoure, prendre encore le temps de s'ennuyer, laisser notre esprit partir, réfléchir, rêvasser...Tout cela est-il voué à disparaître ? »
Ben quoi ! Quand je suis au bistro, le soir, et que j’attends le vieux Joël, vaut-il mieux que j’écoute les ivrognes au comptoir, expliquer comment ils ont loupé le quinté à trois chevaux près, u que je suive quelques flux dans mon twitter à partir de l’iPhone ?
L’iPhone est-il un problème de société ? Quand le téléphone sonne, quand tu es à table, en famille, tu réponds ? Tout est un problème de société. Rien n'est un problème de société.
Mais quand je suis à table, avec des collègues, qui me décrivent comment ils ont fait pour assurer la garde des enfants pendant les problèmes, je m’en fous. C’est un problème de société. Alors je plonge dans mon iPhone. Il y a bien un twit à suivre…
Quand je suis au bistro, avec des potes, et qu’ils s’interrogent sur la prochaine journée de ligue 1, je m’en fous. C’est un problème de société. Alors je plonge dans mon iPhone. Il y a bien un twit à suivre…
Et qu’on ne me réponde pas, comme trop souvent, qu’un outil destiné à échanger avec gens nuit aux échanges avec les gens ! Ca me rappelle ce billet.
Aude ! Fonce t’acheter un iPhone…
Où l'on reparle de la Défense
Quand on arrive à la Défense en métro, on passe sur le Pont de Neuilly qui traverse la Seine entre Neuilly et la Défense. On voit donc quelques secondes la tour First (voir illustration) en plein travaux.
A ce stade, et dans "l'angle de vision" à partir du métro, elle ressemble à un gigantesque doigt d'honneur (first fucking ?) et j'espère que les promoteurs ont prévu, dans le budget, de quoi corriger ça, si, à l'issue des travaux, l'impression générale est la même.
03 novembre 2009
Grosse vache
Je n'ai rien compris au concours de vache de Gaël. A tout hasard, je participe : j'ai cherché "grosse vache" dans Google Image. Voila. Ca ira pour valider la participation ?
02 novembre 2009
Y'a d'la joie !
Je viens de me rappeler pourquoi je ne prends presque jamais de vacances à la Toussaint (mais ne dénigre pas un pont à l'occasion) : le temps. Je ne sais pas ce qu'il foutent, à la météo, mais le temps est pourri. Ils pourraient au moins influencer le bon Dieu.
Hier, on a eu un peu de soleil : c'était bien. Mais à part ça...
J'aurais du être en vacances la semaine dernière. Mais la maison de Loudéac était laissée à des ouvriers transpirant chargés d'installer une douche et des chiottes au rez-de-chaussée pour éviter de se taper des escaliers en cas d'urgence.
Et ça tombait bien : j'avais moi-même organisé une touze de blogueurs, à la Comète, jeudi. Ça aurait été con que je sois en Bretagne. J'ai donc posé mes congés du jeudi matin (ce qui me permettait une république des blogs le mercredi soir) jusqu'à demain soir, mardi, une andouille de collègue nous ayant organisé une réunion le mercredi. Cette réunion a naturellement été annulée mais après avoir posé mes congés.
Il pleut.
Il fait froid.
Les ouvriers, comme toujours, ont une semaine de retard (plusieurs mois serait plus juste : ils étaient prévus en juillet !) : ils ont débarqué ce matin. « Bonjour ! C'est nous ! ». « Ah ! ».
Mon instinct m'avait décidé à me lever de bonne heure, tout allait bien.
Depuis 13h30, l'eau est coupée. Donc la chasse d'eau (c'est un détail mais je vous rappelle mon histoire de Destop de dimanche). Donc la chaudière.
Les portes sont ouvertes pour laisser passer des ouvriers et des tuyaux de vidange de la chaudière.
Les actualités politiques ne sont pas assez intéressantes pour justifier la rédaction de billets de blogs à répétition. A Loudéac, tout est fermé le lundi, notamment le seul bistro que je fréquente encore.
Il est 17h30. Les ouvriers se cassent. On va pouvoir mettre le chauffage.
01 novembre 2009
Des Goux et des saveurs
Après un toilettage d'automne, les soeurs Goux ont enfin rouvert leur blog cuisine ! On encourage !
Et rassurez-vous, Didier n'en a pas les clés.
Toussaint
Heureusement qu'on a été orner la tombe familiale hier soir : la météo est catastrophique. Pluie, vent et WC bouchés. Il a fallu que j'aille faire des courses, ce matin, aux aurores ! Oui, moi, le blogueur gauchiste, je fais mes courses le dimanche matin d'un jour férié : ça leur apprendra à cumuler. Et quand on n'a plus de Destop, il faut bien faire quelque chose.
A la caisse, du magasin, le type devant moi était aussi dans un cas d'urgence, visiblement, puisqu'il achetait 6 canettes de bière de 50 cl, 2 bouteilles de mauvais Whisky et une bouteille de mauvais coca. Pour faire bonne mesure, j'ai acheté aussi une motte de beurre. Comme ça les gens se sont dit « Ah ! Le con, il n'a plus de beurre et vient en urgence en acheter pour le bonheur de sa petite famille et comme il ne veut pas revenir les mains trop vides, il en profite pour acheter du Destop, ça peut toujours servir. ».
Le patron du 1880 Café, qui fait PMU, était également surpris de me voir, vers 11h30 un dimanche matin. Le Destop n'étant pas si efficace que ça, j'avais adopté le plan B mais je ne pouvais pas lui dire que je ne venais pas pour le sourire de sa serveuse mais pour utiliser ses cabinets. Je lui ai dit que j'étais passé par hasard devant chez lui et surpris par le nombre de voiture sur le parking, je voulais voir de quoi il retournait.
Vous remarquerez que j'ai toujours d'excellents prétextes pour aller au bistro.
Effectivement, une bonne trentaine de personnes faisaient la queue à la caisse du PMU, queue qui s'étendait jusqu'à dehors, malgré la pluie. Toutes les tables en salle étaient occupées par des heureux Loudéaciens épluchant leur journal, persuadés qu'ils sont meilleurs que tous les autres pronostiqueurs et qu'ils allaient toucher le quinté dans l'ordre et arrêter de travailler immédiatement.
Un dimanche matin, jour de la Toussaint.
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