« Jim Morrison, diminutif de James Douglas Morrison (8 décembre 1943, Melbourne, Floride - 3 juillet 1971, Paris), inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 6), est un poète et chanteur de rock américain, leader du groupe The Doors de 1965 à 1971. Sex-symbol provocant au comportement volontairement excessif, véritable idole de la musique rock, mais aussi intellectuel engagé[réf. nécessaire] dans le mouvement de la protest song, en particulier contre la guerre du Viêtnam, attiré par le chamanisme, on lui attribue une réputation de « poète maudit » que sa mort prématurée, à Paris, dans des circonstances mal élucidées, transforme en légende. »
C’est ce qui écrit dans la fiche Wikipédia de Jim Morrison. Vous connaissez Dorham ? Il est spécialisé dans les vieilles gloires et a récemment publié une enquête assez poussée sur Elvis.
On connaît tous Jim Morrison. La plupart des types de mon âge sont fan, comme d’autres sont fan de Bach ou de K. Roth. Moi-même, je dois avouer une admiration sans limite au point que je vais me prosterner tous les 15 août sur la tombe de Jim, celle de Marie étant suffisamment fréquemment.
Turlupiné par les « circonstances mal élucidées » de sa mort, Dorham a mené des recherches très approfondies sur le sujet dont il m’a accordé l’avant-première afin de faire monter progressivement le buzz pour gagner des sous avec son prochain livre qui contiendra tous les détails de l’enquête.
Le seul qu’il m’a autorisé à vous livrer est qu’il a retrouvé le billet d’avion de sa mère (celle de Jim Morrison, pas celle de Dorham) dans le grenier de sa mère (celle de Dorham, pas celle de Jim Morrison, essaie de suivre un peu, bordel) qui était femme de ménage à Orly à ses heures perdues.
Elle est arrivée à Paris le 2 juillet 1971 car elle avait été appelée en urgence par ses musiciens voyant la dépression de Jim qui ne supportait pas la pression, un peu comme Jim La Branlette, le loufiat de la Comète, qui ne la supporte pas, surtout quand il est avec moi au comptoir. Il n’y a d’ailleurs pas qu’en pression qu’il ne la supporte pas, en bouteille aussi.
Ainsi, Jim Morrison n’est pas mort. Sa mère l’a conduit à l’hôpital où il a pu se soigner. Ensuite, il a été conduit au Sanatorium de Plémet pour y faire une longue cure. La « mort mystérieuse » a été inventée pour entretenir la légende et permettre de continuer à vendre des disques.
C’est parce que Loudéac est côté de Plémet que Dorham m’a raconté l’histoire. J’ai donc pu en savoir plus quand il m’a dit le nom d’emprunt de Jim Morrison : Marcel Bichon. Il a acheté un pavillon à Loudéac après sa sortie du sana et est entré comme caissier à la Caisse Locale du Crédit Agricole.
Il a poursuivi sa carrière progressivement malgré un goût prononcé pour l’alcool qui le fait engraisser pour justifier le titre de mon billet, un peu comme Elvis et cette carrière fut brillante car, quand il est parti à la retraite, il y a deux ans, il était directeur des contentieux à la Caisse Régionale.
C’est quand même autre chose, comme carrière, que de rester au Père Lachaise, non ?
J’espère que Dorham a recueilli suffisamment de preuves car j’ai du mal à croire à tout ça.
Mais tu ne respectes donc rien : on ne plaisante pas avec Jim Morrisson !
RépondreSupprimerDedalus,
RépondreSupprimermais c'est très sérieux bon sang. Le deuxième volume de mes enquêtes révèle que Pamela Courson, la gonzesse historique de Morrison s'est ensuite marié avec Eddie Barclay. Toute l'histoire serait résumée dans la chanson de Patrick Juvet "Où sont les femmes ?" (enfin, lorsque l'on passe le disque à l'envers bien sûr)...
Sid Vicious n'est pas mort non plus. Il a été champion aux Chiffres et aux lettres en 1985. j'ai les preuves...
RépondreSupprimerUn poète, Jim Morrison ? On ne doit pas penser au même alors...
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerUn pouet, alors ?
Didier,
RépondreSupprimerUn poète Beatnik, je croyais que vous étiez fan d'Allen Ginsberg ? Je me serais égaré ?
Dedalus,
RépondreSupprimerJustement, qui aime bien, "châtie" bien.
Didier,
C'est Wikipédia qui le dit. Cela dit, je cause mal le rosbif mais j'ai vu des traductions très chouettes de ses chansons.
Dorham,
Vive Sid Vicious. J'aurais pu le prendre pour ce billet mais y a plein de gens qui ne le connaissent pas. C'est vrai qu'il a fait un peu la même carrière que Morrison !
Dorham : jamais lu une ligne de Ginsberg !
RépondreSupprimerNicolas : moi aussi, je ne l'ai lu qu'en traduction. Mais enfin, poète, tout de même...
Didier,
RépondreSupprimerC'était une blague, je vous imagine mal "kiffer" les poètes beatniks ! D'ailleurs, c'est très "américain", je ne pense que nous puissions nous français 1 - apprécier ; 2 - y comprendre quoi que ce soit.
De toute façon, y a rien de pire que les beatniks et la période bab' ! (peut-être le disco...)
Question poésie, y'a des rimes très riches également dans la célèbre ritournelle intitulée "mon père était vétérinaire"
RépondreSupprimerDans "la bite à Dudule", également.
Moi, j'aimais bien son poème "Allume mon feu" !
RépondreSupprimer:-))
[Une chanson à la gloire de l'hiver, à n'en pas douter ! :-)) ].
Pour rester dans le contexte, je rappelle qu'il est mort étouffé par son vomi. Voilà, vous voyez, tout ça, tout ça est très cohérent !
RépondreSupprimerBalmeyer,
RépondreSupprimerPas du tout, tu confonds avec Hendrix, ou John Bonham ou Bon Scott.
Morrison est mort dans son bain, on a jamais su de quoi, donc on a dit que c'était un arrêt cardiaque comme toute mort qu'on explique pas... on a même soupçonné sa femme de l'avoir tué...
Alors que toi et Gaël, vous êtes vivant dans votre vomi ce qui est incohérent somme toute...
RépondreSupprimerMea Culpa, Dorham. Je n'ai rien à répondre. J'ai l'esprit d'escalier. Mais dans cinq jours tu verras ma répartie cinglante !
RépondreSupprimerrigolez pas avec ça, le Père Lachaise est devenu ma résidence secondaire, je rends visite à Bashung et au mime Marceau à chaque fois que je m'y rends, pas encore localisé Marie Trintignant, le Morrison en question, pas très intéressant ! il est entouré de barrières. Et puis, vous ai-je raconté l'histoire des petites vieilles (les veuves)qui viennent piquer les fleurs sur la tombe de ma soeur (section romantique, 21e division, j'y ai d'ores et déjà réservé ma place), pour les mettre sur celles de leurs maris ?
RépondreSupprimerLucia : on enterre encore au Père Lachaise ? Sincèrement, je croyais que ce n'était plus possible.
RépondreSupprimerA part ça, un jour avec un ami, nous avons fait un pèlerinage sur la tombe du type enterré à côté de Jim Morirson. C'était un bel acte gratuit, j'en garde un excellent souvenir.
Mais pourquoi le 15 août ?
RépondreSupprimerA cause du 8 décembre ?
Je crois que c'est la tombe de Petrucciani que j'ai vue piétinée par un photographe dont l'œil était rivé à son appareil vers une autre vedette du lieu… J'ai cette photo quelque part, il faudrait que je fouille.
RépondreSupprimerSinon, c'est un chouette lieu, comme souvent les cimetières anciens !
:-))
Tonnégrande,
RépondreSupprimerOui.
Poireau,
Et la femme de Los Angeles ?
Balmeyer,
Tu confonds avec Balmeyer.
Lucia Mel,
Je ne suis pas un touriste de cimetière !
Christine B,
A peu près.