Quand je ne suis pas au boulot, dans les blogs, au bistro ou au pieu, je suis... en voiture. Et je m'arrête dans les aires et je vais boire des cafés dans les stations. J'adore. Si je n'avais pas mon sandwich triangulaire toutes les trois semaines, le monde aurait une autre face. Aujourd'hui, j'ai fait quatre arrêt. Le premier pour manger et boire un café. Les deux suivants pour boire un café. Le dernier pour permettre à ma vessie d'en tirer les conséquences.
Je peux le déclarer ici : il n'y a pas que dans les bistros qu'on trouve des cons. Aux machines à café aussi. A 14 heures, je m'arrête dans un riant machin. Sur les cinq machines à café, trois étaient vide. Il y avait donc la queue. Ces machines ne sont pas rapides.
J'écoutais les conversations des files d'attente. Selon les gens, les exploitants sont cons : ils n'auraient pas prévu qu'il y aurait beaucoup de monde. Ils raisonnent à l'envers : les machines sont vides parce qu'il y a eu beaucoup de clients et les exploitants ont gagné beaucoup d'oseille.
Ca me rappelle les andouilles de Bicêtre qui gueulent qu'ils ne peuvent pas y aller parce que c'est trop cher au comptoir. S'ils savaient que le patron maintient des prix élevés pour éviter les cons...
Raté,
RépondreSupprimeril en reste quelques uns.
Suivez mon regard
Il existe une sélection par l'argent?
RépondreSupprimerOui,
RépondreSupprimerles pauvres sont des cons,
la preuve : ils veulent picoler à la Comète sans en avoir les moyens !
El Camino,
RépondreSupprimerOui pourquoi ?
Tonnégrande,
Au fait ! N'oublie pas l'apéro.
Ah ben, tu vois, j'aime vraiment bien ce genre de billet. Mais vraiment. Je sais, c'est l'histoire de 4 arrêts dans des stations d'autoroute pourries, mais raison de plus.
RépondreSupprimerBal,
RépondreSupprimerLes sandwichs triangulaires sont un hommage !
On devrait peut-être monter le Parti des Machines à Café pour les présidentielles. Il y aurait de vraies arguments électoraux sur la vraie vie des vraies gens !
RépondreSupprimer:-))
[Avec des tracts triangulaires, il va de soi… ! ].
Poireau,
RépondreSupprimerTu me fais penser qu'il faut que je raconte mon voyage de retour !