« En Bretagne, il ne pleut que sur les cons. » J’ai pu vérifier ce week-end ! J’en ai pris plein la tronche à un point incroyable. J’ai même failli renoncer à aller au bistro samedi, c’est vous dire. Oui. En Bretagne, on ne va pas au bistro en voiture. Remarque… Ce n’est pas l’aller qui pose problème, généralement.
Pourtant, j’en avais une chouette de voiture. Une 207 flambant neuve. Elle avait 4 km quand je l’ai sortie du garage de mon loueur. L’ordinateur de bord est délirant. Il ne lui manquait qu’une application Twitter pour raconter des bêtises avec les copines pendant les bouchons. J’ai failli avoir un accident plusieurs fois à force de faire le con avec ce machin.
D’ailleurs, tous les week-ends, c’est pareil. Je sors la voiture du parking Italie 2. Comme la race est différente à chaque fois, j’ai un peu de mal à me roder. Je fais le tour de la Place d’Italie et m’engouffre dans l’avenue d’Italie. Arrivé sur le périph, j’ai fini de jouer avec les gadgets normaux et je commence à faire le con avec l’électronique. L’accident est toujours proche.
Je pourrais maintenant faire un beau billet sur mon voyage mais j’avais déjà décrit le dernier.
Mon copain Gilles avait décidé de sortir le vendredi soir car il ne travaillait pas le lundi. A son âge, qui est le mien, il faut trois jours pour récupérer. Il y avait Serge aussi. A une heure du matin, je les ai laissés et ils ont changé de bistro.
A 2h30, un machin sonne dans ma chambre. Voir le titre du billet pour le rythme. L'air sera dans le prochain. Je râle. Je fouille les tiroirs dans le coin d’où partait la sonnerie. Rien. J’avais imaginé que ma mère avait rangé là un gadget électronique quelconque. A 2h45, nouvelle sonnerie. Je refouille. Rien.
A 9h30, nouvelle sonnerie, je me lève. Redémarre ma fouille puis je me rends compte que j’avais mis mon blouson à sécher sur une chaise à un bon mètre. Pourtant, la sonnerie semblait bien venir des tiroirs.
Je fouille toutes les poches et tombe sur un téléphone dans une espèce de poche latérale que je n’utilise jamais. Sur l’écran, le mot « Parents » était affiché. Me voila renseigné : le propriétaire du téléphone avait encore ses parents et quelqu’un appelait avec leur poste. Je décroche (curieuse expression, de nos jours) et tombe sur mon copain Gilles absolument désespéré qui appelait son téléphone dans l’espoir que quelqu’un le retrouve derrière une banquette d’un bistro…
Nous ne savons toujours pas ce qu’il faisait dans cette poche. Sans doute une farce de Serge.
*** Un téléphone qui se balade, la pluie en Bretagne qui ne tombe que sur certains et toi Nico dans ta 207 louée flambant neuve ... j'aime venir chez toi, il s'y passe toujours quelque chose et souvent ça me fait sourire. Merci pour ton blog Cher Nico ! :o) BISOUS ! :o) ***
RépondreSupprimerDe rien ! C'est le but !
RépondreSupprimerTwitter ou conduire il faut choisir ;-)
RépondreSupprimerGilles aurait pu te laisser dormir quand même ...
Shaya,
RépondreSupprimerTu as lu mon billet politique sur les manifs, ce matin. Je mets un lien vers le billet de Dagrouik. Clique et va voir ce qu'il dit de moi et pourquoi il aurait été préférable qu'il m'appelle 30 minutes plus tôt : j'ai loupé la manif.