Quand je suis rentré dans ma rame de métro, hier, il y avait
ce type, une espèce de clochard ivre
qui dormait. Il y avait du liquide par terre. Visiblement, il avait renversé sa
bouteille de blanc mais pendant quelques secondes je me suis demandé s’il n’avait
pas pissé. J’ai failli ressortir à cause de l’odeur mais il y avait d’autres
gens. En fait, ça ne puait pas du tout.
Je me suis appuyé à la porte du côté opposée au quai et j’ai
regardé les gens.
Nous pouvons donc les ranger en deux catégories : ceux
qui font la moue et qui repartent et ceux qui, comme moi, rigolent.
Il y a de ces cons.
"Ils regardent la rivière et ils disent : quand donc finira toute cette misère".
RépondreSupprimerVers d'un petit poème en espagnol que j'ai trouvé écrit au crayon de papier et cousu au dos d'une broderie achetée dans une brocante, représentant des petits personnages brodés en appliqués. J'ai su que ces cadres sortaient clandestinement du Chili sous Pinochet ...
Indécents, en plus, ces chômeurs de longue durée, en plus on voit quasiment son cul !
RépondreSupprimer(je sens que les blagues pourries sur l'alcoolisme des bretons vont encore refleurir).
(Heu...rassure-moi, c'est pas le vrai, hein ? Sinon tu l'as pas loupé)
Pauvre gars. Il devait être vraiment épuisé ou bourré ou les deux pour dormir dans cette position.
RépondreSupprimerY'avait pas la catégorie des indifférents?
A Paris, ça m'étonne.
Triste…
RépondreSupprimerOuf, j'ai cru que c'était Yann après un #kdb.
RépondreSupprimerÇa y ressemble.
RépondreSupprimer2 catégories, mais jamais 2 sans moi : C quoi le -blème ?
RépondreSupprimerIl 'a pas pissé ?
Il 'pue pas ?
Il n'est pas ds le sens de la marche ?
Il y a de ces comms.
chez moi les dormeurs sont souvent allongés par terre, et parfois faut les enjamber...
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