A 21h45, j'ai envoyé un message à mon "colloc" (voir l'histoire à partir de février dernier) pour lui dire de rappliquer à la Comète au plus vite, ayant mieux à faire que de trainer à la Comète un mardi soir. Il s'est pointé, naturellement dans les cinq minutes ayant peur de finir la nuit dehors (je vous conseille de relire mes billets d'il y a un an). Il était saoul comme un cochon.
Nous sommes rentrés. Il a téléphoné. Il est couché. Je peux enfin redevenir moi-même.
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