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21 juin 2012

Des nouvelles prières dans la rue

C'est une nouvelle religion qui se développe à la vitesse d'un cheval au galop ou celle des gros blogueur frisé qui boit une bière. Contrairement à l'Islam, tant détesté par nos réactionnaires du cru, ce sont les femmes qui prient dans la rue. Elles ont des tenues relativement légères mais on ne voit tout de même pas leurs jambes.

Ce sont les hommes qui sont habillés bizarrement, avec costumes sombres, une chemise blanche et un machin grotesque et à chier qui pend du cou. Ils ont des contraintes abominables, telles que se promener matin et soir avec une mallette dans une main et un smartphone avec des écouteurs dans l'autre. Toujours bien coiffés, ils s'engouffrent dans le métro ou le RER pour rejoindre des quartiers spécialement aménagés, avec plein de bâtiment très haut, notamment à l'ouest de Paris, comme celui accessible par la Porte Maillot, après Neuilly-sur-Seine.

Dès les mâles partis (généralement, il y en a plusieurs par foyer même si c'est rarement toléré par les législations locales), les femmes se retrouvent dans la rue pour se livrer à leurs prières, toujours dirigées vers la city londonienne.

Le soir, les hommes se retrouvent dans des lieux fermés, plus sympathiques, où un type, qu'ils appellent "patron" (pour vous dire leur soumission) à qu'ils versent de l'argent, les pauvres escroqués, pour obtenir un étrange liquide salvateur, pour eux, servis dans des espèces de récipients en verre, parfois équipés d'une anse. Ce liquide est légèrement mousseux, souvent de couleur proche du jaune et recouvert d'une délicate écume blanche.

Il y a parfois des cérémonies exceptionnelles, comme présentées ici. Les femmes participent souvent mais uniquement pour surveiller discrètement les hommes.

Vous en saurez plus en lisant ce blog qui a la gentillesse de nous alerter de ce nouveau péril.

8 commentaires:

  1. Ah c'est donc ça, l'islam “à la française” ? Dans ce cas, évidémment, je vais faire un grand pas vers la conversion…

    Reste une question cruciale, en voyant que toutes ces greluches présentent des aisselles glabres : ont-elles conservé leurs poils ailleurs ? Sinon, c'est charter direct !

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  2. Quelle religion étrange....Didier Goux a raison de pointer ce détail crutial.
    Il faut donc se traquer le poil, en plus de se prosterner dans la direction de la City?
    Méfiance!!

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  3. Tiens ça me fait penser que moi à Times Square je n'ai vu que ce type.

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