Cette histoire est bien entendue tragique. Un type que je fréquentais est mort sous les coups d'un inconnu. Elle illustre probablement le nombre d'histroires glauques que nos policiers ont à résoudre.
Néanmoins, elle cadre très bien avec le sujet principal de mon blog : la vie des clients de bistro du quartier.
Voir en illustration l'article du Parisien d'aujourd'hui. En gros, il dit qu'Yvette serait allée chez un voisin chercher une cigarette. le voisin serait descendu avec elle, aurait foutu Abdel dehors et c'est là qu'il aurait foutu les coups fatals.
Ça contribue assez formellement ce que j'ai pu dire auparavant, y compris sur mon blog politique. Je ne sais pas si je serais un bon enquêteur et je vais laisser la police bosser, chacun son job. Moi, mon boulot tourne autour des machines dans lesquelles on met une carte pour avoir du pognon.
Toujours est-il que la version précédente sortie par la presse était qu'Yvette serait partie chercher de l'aide. La nouvelle version est qu'elle est partie chercher une cigarette, ce pourquoi elle était connue dans l'immeuble.
Elle est redescendue avec le "meurtrier" (je mets des guillemets, volontairement : il s'agit, dans mon esprit, d'un accident). Pourquoi ? Suite à quoi ? Qu'a-t-elle dit pour qu'elle vienne avec lui ! On ne le saura peut-être jamais.
Il est arrivé suffisamment énerver pour, probablement, frapper trop fort Abdel, en essayant de le virer du lieu où il vivait depuis plusieurs années.
Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais, pour moi, ça ressemble fort à un taré... Ou un type en état d'ébriété avancée.
Je me répète : bon courage à la police.
Le plus drôle (si on peut dire), à ce stade, c'est que j'ai appris ce soir qu'une autre personnage émérite de ce blog serait concernée par l'affaire : Geneviève.
Elle vit avec son fils dans le studio de ce dernier qui serait sur le même palier qu'Yvette.
J'ai vu Geneviève ce soir et j'ai essayé de la questionner. Malheureusement, elle avait d'autres trucs à me dire d'une part qu'elle avait été voir sa fille à Étampes aujourd'hui (vous savez à quel point je m'en fous) et d'autre part qu'elle aurait été rendre visite à son fils à l'hôpital de jour (comme si elle avait la possibilité de faire les deux dans la même journée). Le fiston (que j'aime bien au demeurant, il a un côté très affectueux) aurait été à l'hôpital en question pour qu'ils lui refassent un dosage de médicaments pour sa dépression.
J'ignorais qu'il était dépressif mais, d'un autre côté si les propos des tarés que je rencontre au comptoir ne me sortait pas par une oreille juste après être rentré par l'autre, je serais fatalement aussi en état de dépression.
Toujours est-il que, d'après d'autres clients d'un bar où je suis allé mais où je n'ai pu parler à Geneviève de cette histoire, c'est Geneviève et son fils qui seraient intervenus (trop tard !) pour empêcher le type de trop frapper Abdel et qui ont appelé la police.
Le monde est petit. Surtout dans mon blog.
Je vous tiens au courant....
quel teasing ! mais ce titre... :)
RépondreSupprimerHé ho ! Je reconnais mais tu as déjà vu un tel billet redigé d'un comptoir avec un iPhone ? Non mais sans blague.
Supprimerah pardon je n'avais pas vu la prouesse technique, faut le dire ! :)
SupprimerPutain ! Mais tu voudrais que je sous où à 21h55 ?
Supprimeril est vrai... j'ai trop bu moi ce soir :)
SupprimerIvrogne.
SupprimerÇa ne vous gêne pas de fréquenter de telles personnes ? Bien qu'aimant bien boire (et sans trop de modération), je déteste les bistrots. L'alcool est un plaisir, les gens qu'on y rencontre autant de croix. Faut-il craindre la solitude pour les porter !
RépondreSupprimerCa confirme ce que je pensais : vous n'aimez pas les gens.
SupprimerBen, j'aime les gens qui m'amusent ou dont la culture rend la fréquentation intéressante...
SupprimerC'est à peu près ce que je disais. Vous arrivez à juger un gugusse sur la base de quelques billets de blog qu'un seul type fait à son sujet.
SupprimerPauvre Abdel...
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