Le serveur de la Comète m'avait prévenu : s'il n'y a pas
trop de clients, je ferme en vitesse et je vais faire la fête de la musique à
Paris. J'opine. De toute manière, c'est lui qui fait l'ouverture du bistro,
demain matin, je ne vais pas le faire chier.
Ramdane se pointe. On boit un coup. Je lui demande si le Petit Relais (le "s" est choquant mais est sur l'enseigne) fait quelque chose pour ma fête de la musique. Il m'assure que plusieurs groupes sont prévus. A 22 heures, j'y vais.
Il y a quatre clients au comptoir, aucun groupe mais la musique à fond. Je bois un ou deux verres (je me comprends) et me retrouve embarqué dans des engueulades dans les blogs parce que je n'avais rien de mieux à faire. Ca dure deux bonnes heures.
Nous étions donc quatre Kabyles, un Rital et un gros normal. Les Kabyles commencent à nous faire écouter des reprises de Piaf par des chanteuses kabyles. J'écoute avec plaisir, parce que je suis de gauche et qu'il me faut défendre la diversité égalitariste. Au moins, il n'y avait pas de bonne femme dans le bistro. Tout le monde se lasse et les Kabyles majoritaires commencent à nous faire écouter du rock n'roll des années 60 pour qu'on ne parte pas fâchés.
Je suis bien content d'avoir l'iPhone pour m'engueuler avec les blogueurs, ça passe le temps. Je me fâche quand même : putain de bordel, vous pourriez au moins passer le bon, comme les Stones.
Les cons ! Ils l'ont fait. Ils se sont mis à chanter et à danser. Des passants sont passés et ont cru qu'il y avait de l'ambiance. Trois kabyles dont deux gonzesses et le patron du PMU puis un normal maigre. Donc anormal. Mais serveur dans un bistro et personnage du blog : Alain.
Nous sommes maintenant partis sur de la musique américaine des années 90. Le type qui s'est déclaré DJ de ma soirée est heureux de recueillir les envies des clients.
J'arrive. Sid Vicious. Les filles commencent à bouger. Je reconnais le côté sexiste de ma phrase mais c'est rigolo à observer.
L'imbécile DJ se vexe et veut prouver que les Kabiles font plus bouger les gonzesses que les gros normaux. Sa musique doit être meilleure que la mienne.
Ramdane se pointe. On boit un coup. Je lui demande si le Petit Relais (le "s" est choquant mais est sur l'enseigne) fait quelque chose pour ma fête de la musique. Il m'assure que plusieurs groupes sont prévus. A 22 heures, j'y vais.
Il y a quatre clients au comptoir, aucun groupe mais la musique à fond. Je bois un ou deux verres (je me comprends) et me retrouve embarqué dans des engueulades dans les blogs parce que je n'avais rien de mieux à faire. Ca dure deux bonnes heures.
Nous étions donc quatre Kabyles, un Rital et un gros normal. Les Kabyles commencent à nous faire écouter des reprises de Piaf par des chanteuses kabyles. J'écoute avec plaisir, parce que je suis de gauche et qu'il me faut défendre la diversité égalitariste. Au moins, il n'y avait pas de bonne femme dans le bistro. Tout le monde se lasse et les Kabyles majoritaires commencent à nous faire écouter du rock n'roll des années 60 pour qu'on ne parte pas fâchés.
Je suis bien content d'avoir l'iPhone pour m'engueuler avec les blogueurs, ça passe le temps. Je me fâche quand même : putain de bordel, vous pourriez au moins passer le bon, comme les Stones.
Les cons ! Ils l'ont fait. Ils se sont mis à chanter et à danser. Des passants sont passés et ont cru qu'il y avait de l'ambiance. Trois kabyles dont deux gonzesses et le patron du PMU puis un normal maigre. Donc anormal. Mais serveur dans un bistro et personnage du blog : Alain.
Nous sommes maintenant partis sur de la musique américaine des années 90. Le type qui s'est déclaré DJ de ma soirée est heureux de recueillir les envies des clients.
J'arrive. Sid Vicious. Les filles commencent à bouger. Je reconnais le côté sexiste de ma phrase mais c'est rigolo à observer.
L'imbécile DJ se vexe et veut prouver que les Kabiles font plus bouger les gonzesses que les gros normaux. Sa musique doit être meilleure que la mienne.
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Stop ! Le direct de la soirée s’interrompt vers minuit.
Les copains sont arrivés et la batterie de l’iPhone est partie. Ma sobriété aussi. La magie de
iCloud fait que je retrouve mon texte ce matin. Je publie.
Et voila Jacqueline.
« (le "s" est choquant mais est sur l'enseigne) »
RépondreSupprimerDans la mesure où le mot "relais" prend effectivement un s terminal, ce n'est pas si choquant que cela qu'il y en ait un sur l'enseigne…
Ah merde ! Je l'ai toujours écrit sans.
SupprimerConfidence pour confidence, je suis allé vérifier dans le dictionnaire, avant de venir faire mon malin ici…
SupprimerOuf. C'est étrange quand même.
SupprimerVous êtes un mauvais réac.
SupprimerPas du tout, puisque je refuse l'initiative de 1990 !
SupprimerOuf
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