Je me suis pointé à la Comète, hier, vers 12 heures. Marcel
m’attendait, tournant dans tous les sens. Il nous a fait du Marcel. Je lui ai
dit que je ne prenais qu’un café et que j’allais prendre l’apéro à l’Amandine.
Il restait à la porte, jouant avec son téléphone, comme s’il attendait un coup
de fil qui ne venait pas. Au bout de cinq minutes, il finit par entrer et me
demande de lui offrir un verre. Je refuse pour voir sa réaction et je l’entraine
vers l’Amandine.
En chemin, il croise un lascar et lui dit bonjour. Je vais à
l’Amandine, commande un Ricard et l’attend. Il n’arrive pas. Au bout de dix
minutes, je l’appelle et lui dis que je l’attends. Il me dit qu’il a rencontré
un type. Je lui dis que je redescends à la Comète. De fait, il n’y avait pas un
chat à l’Amandine. En passant devant l’Aéro, il y était avec Gilles, un copain
du vieux Jacques. Ils sont tous les deux inquiets pour sa santé. Cela fait
quinze jours qu’il est à l’hôpital et ne s’alimente plus.
C’était donc ça qui torturait Marcel : il avait
rendez-vous avec Gilles mais ne voulait pas me le dire. Du Marcel tout craché.
J’entre et force Marcel à m’offrir un verre. On papote. Ils se sont échangés
les nouvelles du vieux. Il sort de l’hôpital mardi et Marcel l’a inscrit à un
truc pour qu’il se fasse livrer les repas. Je les laisse et rejoints mon QG.
Place de la Comète, pour le marché, il n'y avait qu'un
commerçant alors qu'ils semblaient tous présents sur l’avenue. Les clients du
bistro, en terrasse, paraissaient différents par rapport aux autres dimanches,
l'effet cumulé du Ramadan et des vacances. L'Amandine et l'Aéro, par contre
étaient presque déserts. La nouvelle place a au moins un aspect positif :
elle attire du monde l'été.
A côté de La Comète, il y a une maison de retraite, un peu classe. Les gens allant visiter leurs vieux les sortent sur la place ce qui est impossible les jours avec un gros marché. Je ne sais pas si c'est une source de clientèle pour le bistro. Je vais recommander aux patrons de faire de la purée et du hachis Parmentier.
J'étais là, oscillant entre le comptoir et la terrasse. Il faisait trop chaud pour rester au comptoir. Il était prévu que je déjeune tard vu que j'avais plus ou moins rendez vous avec Fiso. Elle a fini par se pointer alors que j'avais terminé mon entrecôte traditionnelle. Entre temps, Ramdane est arrivé. Maintenant qu'il a un compte Twitter, je pourrais peut-être l'appeler par son pseudo. Pourtant, il tient à son anonymat.
Étrange, ce garçon. Vira a diffusé sa photo dans Twitter, jeudi ou vendredi, et il était furieux. Comme si quelqu'un de sa connaissance pouvait le reconnaître. Et quand bien même ! Du moment qu'il ne vomit pas et ne montre pas ses fesses. Du coup, dimanche, Vira m'a transmis la photo par mail, je l'ai flouté puis l'ai diffusé avec mon compte. Ramdane était furieux. Il ne voulait même pas qu'on diffuse des photos de lui avec le visage flouté et sans qu'on mentionne son identité.
A côté de La Comète, il y a une maison de retraite, un peu classe. Les gens allant visiter leurs vieux les sortent sur la place ce qui est impossible les jours avec un gros marché. Je ne sais pas si c'est une source de clientèle pour le bistro. Je vais recommander aux patrons de faire de la purée et du hachis Parmentier.
J'étais là, oscillant entre le comptoir et la terrasse. Il faisait trop chaud pour rester au comptoir. Il était prévu que je déjeune tard vu que j'avais plus ou moins rendez vous avec Fiso. Elle a fini par se pointer alors que j'avais terminé mon entrecôte traditionnelle. Entre temps, Ramdane est arrivé. Maintenant qu'il a un compte Twitter, je pourrais peut-être l'appeler par son pseudo. Pourtant, il tient à son anonymat.
Étrange, ce garçon. Vira a diffusé sa photo dans Twitter, jeudi ou vendredi, et il était furieux. Comme si quelqu'un de sa connaissance pouvait le reconnaître. Et quand bien même ! Du moment qu'il ne vomit pas et ne montre pas ses fesses. Du coup, dimanche, Vira m'a transmis la photo par mail, je l'ai flouté puis l'ai diffusé avec mon compte. Ramdane était furieux. Il ne voulait même pas qu'on diffuse des photos de lui avec le visage flouté et sans qu'on mentionne son identité.
On n'y pense jamais mais les réseaux sociaux sont très
importants pour l'apéro, pendant ces dimanches d'août. J'étais à peu près sur
de ne voir personne de la bande. De fait, je n'ai même pas vu les andouilles habituelles
de l'Amandine. Je ne sais pas où était le vieux Roger (un vrai con bien facho)
et les deux frangins (bien sympathiques mais on n'a jamais rien à se dire...).
Patrice aurait pu être là mais en l'absence du vieux Jacques, je suppose qu'il
avait mieux à faire.
En descendant de l’Amandine vers l’Aéro, je me disais qu’il
fallait vraiment que je prenne l’habitude de prendre tout le mois d’août, comme
vacances, les années où Tonnégrande part en vacances en Guyane.
Je suis donc resté plus d’une heure à discuter dans Facebook
ou dans Twitter. Si j’avais su à quelle heure venait Fiso, j’aurais
probablement commencé la rédaction d’un billet de blog pour parler de ces
dimanches d’août de Ramadan, avec le marché plein de monde, la place de la
Comète avec des passants normaux, l’Aéro et l’Amandine presque vide, quelques
clients en salle, à la Comète.
Dans Twitter, je disais que j’avais rendez-vous avec une
rousse avec des gros nichons. Or Fiso n’est pas vraiment rousse. Enfin, je ne
sais pas. Je diffusais des photos de moi, aussi. Je n’ai pas tourné mégalo mais
l’appareil photo au dos de l’iPhone est HS. Il ne me reste plus que l’appareil
frontal. Il n'y a bien qu'en photo qu'on se rend compte qu'il y a des oliviers en terrasse de la Comète.
Avec Fiso et Ramdane, nous avons papoté une ou deux heures,
de travail, essentiellement. C’est très rare de pouvoir parler de travail au
bistro, les gens n’arrivant généralement pas à comprendre ce en quoi consiste
le travail des autres.
Le soir, je suis ressorti vers 19h30. Il faisait trop chaud
pour rester chez moi. La Comète était fermée. Un petit groupe de clients était
assis en terrasse de l’Aéro. Je ne suis pas allé avec eux. Trop de cons. Cette
imbécile de Manu qui n’arrête pas de parler. Je me suis engueulé avec René puis
il est parti.
Du comptoir, je voyais les gens qui sortaient du métro avec
plein de bagages, pour rejoindre le bus. Leurs vacances sont terminées. J’attends
les miennes.
Merci pour ces scènes au bistrot ... :o)
RépondreSupprimerTes vacances approchent ... à chacun son tour, tu pourras enfin te reposer Nico !
En attendant, bon après-midi à toi !
Merci ! Bonne soirée (je ne sais pas trop quelle heure il est par chez vous...)
SupprimerIl est 19H07 ... 5H de + que chez vous.
RépondreSupprimerIl faudrait que je m'en rappelle.
SupprimerTu n'as même pas pissé pendant tout ce temps ?
RépondreSupprimerNon. Côté apéro, ça fut calme.
SupprimerSi tu passes une partie de tes vacances dans le Val d'Oise, n'hésite pas à me contacter.
RépondreSupprimerMerci mais non.
Supprimeril a des fleurs rouges bizarres ton olivier
RépondreSupprimerc'est parce qu'il est arrosé au vin rouge ?
Non, c'est le store derrière.
Supprimers'cuse , errare humanun est
SupprimerEncore plus simple : pars en vacances en Guyane avec Tonnegrande :)
RépondreSupprimerPour les prochains dimanche : je rentre dans l'eau au plus tôt à midi, je nage au mieux 1 heure puis je descends vers la Comète en saluant plus ou moins longuement divers commerçants du marché.
Je suis donc à la Comète entre 13h30 et 14h
Très précis.
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