Trois métros et un bus : voilà ce qui m'attend, ce matin (et ce soir), un jour de grève nationale, pour me rendre à se séminaire en lointaine banlieue, coupé d'Internet, faute de PC... Le tout pour écouter des fournisseurs expliquer les évolutions de leur produit puis des confrères (d'autres clients) donner leur avis.
Vers 16 heures, il me faudra faire, comme tous les ans, la même intervention : "Bon, c'est bien joli, mais je doute fort que je puisse obtenir le financement de la part de la hiérarchie. D'ailleurs, tous mes forts aimables confrères présents autour de cette table et qui ont salué vos propositions avec enthousiasme auront la même difficulté que moi... Alors si on pouvait se concentrer sur les trucs vraiment utiles !".
Tous les ans ou presque, je fais la même chose. D'ailleurs, cette année, je n'ai pas été invité. C'est ma chef qui leur a dit : "hop hop hop ! Vous avez oublié Nicolas."
Bilan de la journée : 3h30 de transport en commun, une batterie d'iPhone qui va lâcher, 6 heures de réunion et un plateau-repas insuffisant, des tas de poignées de main et des sourires de faux cul. Et mon rôle à jouer...
Et pas de blogage...
Oh ! Zut les grèves !!! ppppfff !
RépondreSupprimerBon courage Nico !
Merci.
SupprimerBon, moi c'est une journée de travail perdue ...par précaution ! Et plouf-plouf : pas de perturbations sur mon TGV ! Mais je ne pouvais pas en prendre le risque : je me suis fait remplacer par un indigène ! :((
RépondreSupprimerAh la pénibilité au travail... :)
RépondreSupprimerC'est quoi la banlieue, tonton Nico ?
RépondreSupprimerMais balade toi avec ton chargeur, vindjuuuu !
RépondreSupprimerAh, l'art de faire des réunions inutiles....
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