J'avais promis à mes millions de
lecteurs de faire une critique du nouvel Astérix que j'ai lu ce
week-end. Je vais le faire : comme tous les nouvelles bandes
dessinées, on a tellement peur d'être déçus ou, plutôt, on est
tellement persuadés qu'on va être déçus qu'on finit par se dire
« ça aurait pu être pire ». Il y a quelques jeux de
mots que j'ai adorés.
Cela étant, je vais aider les auteurs à
faire une scène du prochain.
Ca se passe dans le bistro. Il ferme à
une heure du matin (j'ignore comment on disait à l'époque). Le
tavernier a l'habitude de faire sonner la cloche à 0h30 pour
indiquer qu'il ne servira plus de verres un quart d'heure plus tard à
cause des légionnaires de Jules César, dirigés par ManuelVallus,
qui sont très à cheval sur l'heure de fermeture.
A 0h55, Jégounix qui est très habitué
des lieux et a donc la totale confiance du chef était à un bout du
comptoir et entend une esclandre ! Un gauloise exigeait un
dernier verre, offert par le tavernier car c'est une tradition. Celui
refusa : même un galopin, on ne va pas se laisser envahir par
les traditions gallo-romaines.
Jégounix a attendu la fin de
l'histoire vu qu'il était tombé dans la potion magique quand il était
petit et se résignait à mettre de l'ordre. Néanmoins, à 0h59, il
ne pouvait plus rester là et est parti. L'heure est fournie par
iPhonix qui ne se trompe jamais.
Le lendemain matin, Jégounix a vu
Facebookus qui lui expliqua que le tavernier avait fini la soirée en
se faisant mordre. Il décida donc d'aller à la taverne. Le taulier
avait la main bandée alors que Jégounix s'imaginait une vague
morsure par le chat. Après consultation, c'est la gauloise qui avait
mordu le tavernier pendant quinze bonnes secondes pour obliger le
tavernier à lui resservir un verre.
Vous verriez ça dans Astérix, vous
vous direz : ah non, ils abusent, cette fois.
Ben non, au 1880, tout est possible.
Et si un commentaire m'appelle Obélix,
il aura une baffe.
Il est formidable, ton scénario, contacte la production immédiatement pour le prochain Ils vont sauter dessus, ils sont en manque de trucs originaux. En plus Loudéac, c'est parfait, comme petit village Gaulois qui résiste à l'envahisseur. T'as qu'à rajouter le fourbe à la solde de Rome, LeFurix...
RépondreSupprimerOn va essayer.
SupprimerUne invasion de harpies ou de harpix? C'est dangereux le climat en ce moment.
RépondreSupprimervive Jegounix et longue vie!
Santix...
SupprimerTu n'as pas croisé Huetix endormi sur son char ?
RépondreSupprimerPlus de permix.
SupprimerJamais je ne t'appellerai Obélix ... j'aurais trop peur de recevoir une baffe ! LOL ;o)
RépondreSupprimerJ'aime bien cette aventure d'Astérix chez toi Nico !!
Bises et bonne journée !!!!!
Merci ! Toi aussi.
SupprimerExcellent petit billet !
RépondreSupprimerElle m'a bien fait rire ton histoire de morsure au comptoir, malgré mes quelques années de bistrot je n'ai encore jamais vu un client mordre le taulier... Sinon ce commentaire est aussi un petit test que je fais chez toi. Tu ne m'en voudras pas j'espère. J'explique, ma bobine a disparu des commentaires que je laisse ici et là et est remplacée par un sorte de sens interdit mais seulement en lecture sur PC. Bizarre... J'ai un peu bidouillé mes différents profils, on verra si ça revient à la normale.
RépondreSupprimerL'histoire est bien réelle et j'ai bien ta photo comme avatar.
SupprimerSur mobile ou sur PC ?
SupprimerOups ! Je t'avais oublié. Ben les deux, visiblement.
SupprimerPas bien grave, j'étais moi même un peu occupé. Merci d'avoir donné un œil.
SupprimerZut, je m'aperçois que tu te lances dans le scénar alors que je t'ai mis ça en com dans le billet précédent, prescience ??? ... bonne journée Obégoun :)
RépondreSupprimerAndouillette !
SupprimerJe viens te souhaiter une bonne journée Nico !
RépondreSupprimerBISES !!!! ✿
Merci ! Toi aussi !
SupprimerBravo Cétautomatix ! (nann, pas taper, pas taper)
RépondreSupprimerIl est frais, mon poisson !
SupprimerUne pensée amicale chez toi Nico ce mercredi matin
RépondreSupprimerGROS BISOUS et
bonne journée !!!
Mérite !
SupprimerOn n'a jamais vu Obélix avec une cravate à chier.
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