30 mai 2014

Le prince Albert II de Monaco et son épouse Charlène attendent un enfant

J'ai vu ça dans Twitter, dis donc ! J'ai cherché dans Google News. Aucune trace. Serais-je le premier à annoncer l'excellente nouvelle dans un média sérieux ?

Elle est importante, parce qu'il était temps que Bébert ait un héritier... Déjà qu'avant son mariage, ils se demandaient s'il n'était pas un peu de la jaquette (c'est une expression monégasque, ne me traitez pas d'homophobe, hein !), là-bas.

Ca s'arrose évidemment. Je file au bistro.

Et je n'ai aucune confirmation de l'information que je délivre un peu au hasard.

Edit : l'information a été confirmée par le Figaro et Guy Birenbaum. Elle est donc vraie.

28 mai 2014

De la politique sur ce blog !


Je viens de bloquer le compte de SOS racisme. Je n'en peux plus de ces community manager incompétents et débiles (mais probablement payés avec la moitié d'un SMIC). 

Ça me retourne.

Au bistro capricieux

Hé ! T’as vu ! Ce blog est beaucoup moins actif depuis quelques mois et presque mort depuis quelques semaines.

Tout a une explication. Je vais la donner maintenant.

Petit 1 : à Noël, pendant les vacances, j’ai pris goût à certains jeux sur tablette et iPhone. Du coup, j’y passe plus de temps que dans les blogs, notamment pendant les pauses au bureau. Autre phénomène : je reste jouer sur mon iPad, le matin, donc j’arrive en retard au boulot, ce qui me fait partir plus tard, donc arriver vers 20h30 à la Comète… Il y a donc moins de contenu pour le blog.

Petit 2 : il y a plus de boulot, ce qui joue aussi sur l’horaire du soir mais entraine aussi une réduction drastique des pauses. Ca devrait se calmer dans un mois ou deux…

Petit 3 : c’est tout.

Mais ça fait plus d’une semaine que je n’ai pas fait un vrai billet ici.

22 mai 2014

Des vacances au Kremlin-Bicêtre ?

La petite dans le métro : oh maman c'est joli ce qu'il joue le monsieur [à l'accordeon], c'est quoi ?
La mère : heu... J'sais pas. 
Moi : un clair de lune à Maubeuge, connasse. 

Oups. 

Même pas honte. 

16 mai 2014

Reims - fin

Le séminaire a pris fin vers 15 heures. La sobriété fut de rigueur. Bien la peine d'aller dans le pays du champagne. 

Reprenons...

Hier midi : deux flûtes de champagne, 2 verres de rouge. 

Hier après-midi :
- chasse au trésor dans Reims. Le capitaine d'équipe voulait gagner. On a fait le tour de la ville au pas de course et on n'a rien vu. Mon équipe a gagné ce qui me vaut de ramener un magnum à Paris, n'ayant trouvé personne pour le finir hier soir. 
- visite des caves Mumm. Dégustation : une demi flûte. J'ai appris un tas de trucs sur la fabrication du Champagne, par contre. 

Passage d'une heure à l'hôtel. Deux demis au bar pendant que les autres prenaient une douche. L'hygiène les tuera. 

- pot : une flûte (j'ai réussi à soudoyer un Loufiat pour en avoir une deuxième mais je suis le seul),
- repas au Champagne : trois flûtes. 

Retour à l'hôtel à 23h30. Autant vous dire qu'on était restés sur notre soif. 

Ce matin : 
- séance pleiniere de présentations de trucs,
- ateliers par équipe. 

Ce midi : repas. Un verre de rouge. 

Cette après-midi : synthèse des ateliers. 

15 mai 2014

Reims

Je ne sais pas si nous y allons pour nous pochetronner au champagne ou pour travailler. Les deux probablement. 

Me voilà dans le car, avec les collègues, en toute pour deux jours de séminaire. 

Ce qui expliquera l'absence probable d'activité dans mes autres blogs. 

Je vais faire du live blogage ici. Je commence : il fait beau. 

14 mai 2014

Les pommes de terre au microonde

Nous devisions avec des camarades de comptoir et nous ne voyions pas l'heure tourner. 23 heures arrivèrent quand je me suis rendu compte que 23 heures arrivèrent. Il me fallait rentrer à la maison pour faire la cuisine et manger à une heure raisonnable, genre 20 heures. Jean-Michel me demande alors que j'avais à préparer et j'avoue : des pommes de terre. C'était pour manger avec une charcuterie sympathique que vous pourriez connaitre si vous n'étiez pas en couple avec une pouffe qui vous incite à manger un filet de poisson le soir. 

Jean-Michel me dit alors que je n'avais qu'à cuire mes pommes de terre au micro onde, ce qui pour un Breton comme moi est absolument tabou. Il me donne néanmoins la recette : tu mets les patates dans un assiette creuse avec une cuillère d'eau, tu recouvres et tu enfournes 8 minutes. J'étais dubitatif mais j'ai quand même essayé !

Ca marche.

Par contre, je ne l'ai pas assez écouté : il faut vraiment ne mettre qu'une cuillère d'eau.

12 mai 2014

Le twittos dans le train

L'anecdote n'a aucun intérêt mais j'ai besoin de faire un billet pour vérifier le fonctionnement du flux RSS du Kremlin des Blogs. Toujours est-il que dimanche soir, j'arrive à la gare de Saint Brieuc, je monte dans le train qui était presque vide (pas plus d'une vingtaine de personnes dans la voiture). Ma place était occupée. Je me mets ailleurs (de l'autre côté du couloir) en ronchonnant. Pourquoi ce type s'était-il mis là, avec quelqu'un à côté de lui, alors que la place ne lui était pas affectée, et que juste à côté (où je m'étais mis), il y avait deux places côte à côte disponibles ?

Je veux bien comprendre qu'il ne dispose pas de place et qu'il était en surréservation, ce dont je ne suis même pas sûr (la rame n'a pas été pleine jusqu'à Paris).

Je prends Twitter et je tombe sur deux lascars (dont un qui vient parfois au Kremlin des Blogs) qui discutaient du sujet. L'un se plaignait parce qu'il avait pris une place au hasard dans un train vide et que quelqu'un avait voulu avoir sa place puisqu'elle lui était affectée... L'autre lui donnait raison et se foutait de la gueule de la brave personne qui réclamait sa place.

Mon train arrive à Rennes, du monde monte, et des gens réclament ma place. Je ramasse mon iPhone, mon iPad, ma bouteille d'eau (oui...), le chargeur de l'iPhone, ma sacoche,... Je prends tout dans mes petits bras, me mets dans le couloir, signale au glandu que je voulais récupérer mon siège, il se lève, ramasse ses affaires,... Pendant ce temps, une queue s'installe puisque nous bouchons le passage... Le type se barre, j'avais toujours mon bordel dans les mains, je n'arrive à ouvrir ma tablette pour le poser.

Bref, le cirque...

Je vais donc répondre à mes deux twittos, fort sympathiques mais franchement cons sur les bras. Quand je pense qu'il y en a un qui est supporter de François Hollande... 

Si la SNCF se fait chier à attribuer des places, c'est pour permettre aux braves gens de voyager peinardement. Dorénavant, j'exigerai de pouvoir avoir la place dont le numéro figure sur mon billet pour ne pas être emmerdé pendant le trajet.

C'est quoi ces anarchistes de pacotilles ? Mériteraient des baffes...

Dimanche soir

Le dimanche soir a toujours été une soirée particulière. Je me rappelle quand j’étais petit, on regardait un film sur la première chaine vers 17h30 ou 18h avec mon père et, peut-être, mon grand frère. Près de 40 ans après les souvenirs sont vagues… La famille attendait la fin pour que l’on puisse passer à table…

Les années ont passé. J’ai atterri au Kremlin-Bicêtre. La Comète fermait à 19 heures, on rentrait à la maison. Les patrons ont changé, en 2008, et le dimanche soir est devenu un soir comme les autres, mais avec beaucoup moins de monde, des soirées intimes entre proches. La meilleure soirée de la semaine.

Puis la Comète a commencé à fermer le dimanche vers 18 heures. Alors, on allait dans d’autres bistros ou à rentrer de bonne heure. Il y a quelques mois, j’ai pris l’habitude d’aller dîner au Constantinople quand les autres en question étaient fermés.

Il reste que les clients du dimanche soir ont peu d’intérêt. Des raclures diverses. Les copains ne sont pas là à part Ramdane et le vieux Joël.

Les week-ends que je passe en Bretagne sont un peu particuliers. Normalement, je pars de Loudéac vers 14 heures et j’arrive à 19 heures. L’Aéro ou le PMU sont ouverts et je vais y boire un verre avant de rentrer mais il y a peu d’intérêt. Les clients sont des vieux pochetrons qui ont passé leur journée là ou des ex racailles de banlieue qui se lâchent ! N’allez pas penser ce que je n’ai pas dit. Je les aime bien mais je ne suis pas dans l’ambiance, à part avec Ramdane et le vieux. Je rentre de Bretagne, je veux être peinard… En fait, ça fait des années que ça dure. Pendant un temps, assez long, je rentrais en voiture. Depuis un an ou deux, c’est en train, mais ça ne change rien. Je n’aime plus cette ambiance quand je n’ai pas passé le dimanche à Bicêtre, déjeuné à la Comète, fait la sieste, vaqué à des trucs divers et retrouvé le bistro, vers 19h ou 20h et rentré une heure après. Ou deux heures. Ou trois heures.

Je crois que je suis susceptible. Quand j’arrive au bistro, le dimanche soir, les gens se foutent bien de savoir si j’ai passé le week-end en Bretagne ou à Paris, sauf Karim, à l’Aéro, qui sait que s’il ne m’a pas vu le samedi soir, c’est que je n’étais pas dans le coin. Son ex-femme étant Bretonne, il est « envieux » de me voir y aller souvent. Pour ces braves gens, c’est : « tiens ! voila Nicolas ». Pour moi, cela n’a rien à voir si je sors de la sieste ou du train… Si je sors du train, c’est que je change de monde.

Toujours est-il que cela fait deux fois de suite que je ne réussis pas à avoir une place dans le trains qui me fait partir de Loudéac vers 14 heures pour arriver à 19 heures et que je me rabats sur le suivant qui me fait arriver vers 22 heures. La dernière fois, j’en avais fait un billet, j’étais arrivé à Bicêtre, tout était fermé, et je m’étais décidé à aller faire un tour dans une nouvelle brasserie à Villejuif. Toute neuve ! Une ambiance différente…

Ce soir, j’y suis allé directement. J’ai pensé quelques secondes à m’arrêter à Bicêtre. Je n’avais pas eu de chance avec mes deux métros. Deux fois 8 minutes d’attente. A ce sujet, il faudrait que j’engueule la RATP… et la SNCF. J’étais en voiture 17. Arrivé à Montparnasse, il faut plus de 10 minutes pour rejoindre le métro à pied, puis attendre le métro, puis marcher 5 minutes Place d’Italie puis attendre à nouveau…

Mon métro arrive à Bicêtre. Je n’avais pas envie de tomber sur des bistros fermés ou remplis des vieux ivrognes habituels. J’ai foncé à Villejuif.

Contrairement à la fois précédente, je n’étais pas le seul au comptoir. Il y avait deux groupes de trois ou quatre personnes qui étaient peinards et une vingtaine de clients en salle qui dînaient. A 22 heures… A moins de 500 mètres de la Comète, un autre monde. C’est étrange.

Je m’installe. J’étais bien. Ambiance décontractée, fond musical léger, un peu comme si Conchita était en charge de la programmation musicale. La croisière s’amuse, quoi !

Une heure après, les derniers clients partaient, je voulais les suivre. Un serveur me fait signe : il y a le temps…

J’ai pris le temps.



10 mai 2014

Twin Twin moustache

Il ne faudrait pas que vous loupiez ça. Voila le groupe qui représente la France à l'Eurovision. On ne va pas se plaindre, non plus, vu que c'est le pays vainqueur qui organise le machin pour l'année suivante. A la limite, ce n'est pas mal. Le genre de connerie qui pourrait faire un tube de l'été chez les jeunes. D'ailleurs, ça pourrait le devenir. Ou alors le machin que l'on apprécierait de la part d'un petit groupe dans un concert, à la campagne.

Toujours est-il que j'ai appris au bistro que c'est ce groupe qui allait défendre les couleurs de la patrie... A quinze jours des élections européennes. Je n'ai pas pu m'empêcher de l'écouter. Je vous conseille d'en faire autant.

Pour savoir.


Ne gueulez pas, ça dure deux ou trois minutes seulement.

05 mai 2014

Le selfie ultime !


En plein Kremlin des blogs, avec @undessinparjour, Juju, Dagrouik, Antoine, El Camino, Gildan, Seb et Menulmuche. 

04 mai 2014

La réunion !

La vidéo vient de Koreus et m'a été signalée par Amy. C'est à peu près mon job... Elle semble délirante mais ne l'est pas nécessairement...



L'expert en réunion - Vidéos

A noter que dans la vraie vie, c'est plutôt l'expert qui dit que tout est possible et le chef de projet qui est réticent. L'expert s'en fout : un client veut un truc, il le fait... C'est le chef de projet qui devra gérer.