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29 août 2014

Les Jégou de Plouha - 2

Ne connaissez-vous pas Marie-Louise Le Picard, née Peurien ? C’est une de mes arrière-arrière-grand-mère, dans la lignée des Jégou de Plouha qui connurent la gloire à l’occasion de mon billet d’hier alors qu’ils furent assez peu conscients qu’ils se retrouveraient héros d’une série de billets de blog dans le courant du 21ème siècle.

Marie-Louise Pleurien est née à Lanloup ce qui en fait une des premières de la famille, dans cette branche, à ne pas être née à Plouha. C’était le 8 août 1848. Elle est morte, malheureusement. C’était le 7 janvier 1925, à Plouha ! Finalement, dans ce patelin, il y a eu plus de morts que de naissance, dans ma famille. Plouha est une commune des Côtes d’Armor qui a une population qui oscille depuis plusieurs centaines d’années entre 3500 et 5500 habitants.

Son père était Jean Peurien, un marin, et sa mère Marie Etienne. Penser que j’ai des Etienne dans ma famille me fait froid dans le dos. Jean est né le 11 mars 1809 à Plouha – quand même ! – et mort en 1869 à une date et dans un lieu qui resteront à déterminer pour l’éternité, je suppose. Son père, René Pleurien était marié à sa mère Marie Videment.

René Pleurien – 6 février 1776 – 4 août 1852 – Plouha – était laboureur. Ce vieux cochon s’est marié trois fois mais Jean est issu du premier mariage. Il est le fils de Guillaume Peurien et d’Isabelle Morvan. Guillaume, mort en 1797, était lui-même le fils de ses parents, à savoir Jean Peurien et Elisabeth Harscouet, dont je ne sais pas grand-chose sauf qu’ils ont baisé au moins une fois.

Isabelle Morvan (l’histoire ne dit pas si mon aïeule avait des gros nichons) est née en 1744 et morte en 1797, on ne sait pas trop où, on ne connait pas son père. Sa mère était Jeanne Morvan (je ne sais pas si c’est le nom de naissance ou celui de son époux). La branche Morvan ne remonte pas plus haut.

Marie Videment, filandière de Plouha, née le 4 mai 1765 et morte le 7 juin 1829, avait un père et une mère, le mariage pour tous n’étant pas encore passé par là. C’était respectivement Claude Videment et Jeanne L’Artur dont on ne sait presque rien, à part que Mme Videment née L’Artur est morte en 1797, ce qui est bien triste, c’était d’ailleurs la même année qu’Isabelle Morvan qui fut donc une bien mauvaise année.

Marie Etienne, enfin, était de Lanloup où elle est morte le 13 septembre 1869 après y être née le 18 novembre 1805. Son père était Jean Etienne contrairement à sa mère qui était Pétronille Hamon. Jean Etienne, né et mort à Lanloup, les 31 janvier 1779 et 3 janvier 1847, était laboureur. Ses parents étaient Yves Etienne et Pétronille Perron.  A croire que tout le monde s’appelait Pétronille dans la famille. Yves Etienne est probablement né puisqu’il avait deux parents : Jan Etienne et Janne Larcy mais je n’ai aucune information complémentaire sur cette branche.

Occupons-nous de nos Pétronille. Notez que, dans ces billets, j’appelle les dames par leur nom de jeune fille, ce qui est contraire aux usages, notamment en généalogie. Mais il faut bien que je fasse des concessions au monde moderne.

Pétronille Perron était issue de René Perron et Françoise Tréboutat. Vous n’en saurez pas plus. Moi non plus. Pétronille Hamon était la fille de Allain  et Catherine Le Toutin. Elle est née à Plouézec (à une dizaine de kilomètres au nord de Plouha, on se rapproche de Paimpol) le 23 avril (comme moi, tiens !) 1781 (pas comme moi) et morte à Lanloup le 7 avril 1811. Ses deux parents Catherine et Allain seraient visiblement morts la même année (mais cela sent l’erreur de saisie dans le logiciel de généalogie).

Il y avait bien deux « l » à Allain. L’orthographe reprise dans ses billets de blog est celle utilisée dans les registres divers.

Cela étant, vous savez tout sur les origines de mon grand-père,  François Clément Jégou, Capitaine de la marine marchande, né le 30 septembre 1903, dans la Manche, à Equeurdreville, et mort à Paimpol le 2 juin 1962.


Equeurdreville est dans la banlieue de Cherbourg. J’ignore ce que ses vieux, issus de Plouha et Lanloup, foutaient là-bas (la père était charpentier dans la marine, ce qui explique probablement la chose).Ne connaissez-vous pas Marie-Louise Le Picard, née Peurien ? C’est une de mes arrière-arrière-grand-mère, dans la lignée des Jégou de Plouha qui connurent la gloire à l’occasion de mon billet d’hier alors qu’ils furent assez peu conscients qu’ils se retrouveraient héros d’une série de billets de blog dans le courant du 21ème siècle.

Marie-Louise Pleurien est née à Lanloup ce qui en fait une des premières de la famille, dans cette branche, à ne pas être née à Plouha. C’était le 8 août 1848. Elle est morte, malheureusement. C’était le 7 janvier 1925, à Plouha ! Finalement, dans ce patelin, il y a eu plus de morts que de naissance, dans ma famille. Plouha est une commune des Côtes d’Armor qui a une population qui oscille depuis plusieurs centaines d’années entre 3500 et 5500 habitants.

Son père était Jean Peurien, un marin, et sa mère Marie Etienne. Penser que j’ai des Etienne dans ma famille me fait froid dans le dos. Jean est né le 11 mars 1809 à Plouha – quand même ! – et mort en 1869 à une date et dans un lieu qui resteront à déterminer pour l’éternité, je suppose. Son père, René Pleurien était marié à sa mère Marie Videment.

René Pleurien – 6 février 1776 – 4 août 1852 – Plouha – était laboureur. Ce vieux cochon s’est marié trois fois mais Jean est issu du premier mariage. Il est le fils de Guillaume Peurien et d’Isabelle Morvan. Guillaume, mort en 1797, était lui-même le fils de ses parents, à savoir Jean Peurien et Elisabeth Harscouet, dont je ne sais pas grand-chose sauf qu’ils ont baisé au moins une fois.

Isabelle Morvan (l’histoire ne dit pas si mon aïeule avait des gros nichons) est née en 1744 et morte en 1797, on ne sait pas trop où, on ne connait pas son père. Sa mère était Jeanne Morvan (je ne sais pas si c’est le nom de naissance ou celui de son époux). La branche Morvan ne remonte pas plus haut.

Marie Videment, filandière de Plouha, née le 4 mai 1765 et morte le 7 juin 1829, avait un père et une mère, le mariage pour tous n’étant pas encore passé par là. C’était respectivement Claude Videment et Jeanne L’Artur dont on ne sait presque rien, à part que Mme Videment née L’Artur est morte en 1797, ce qui est bien triste, c’était d’ailleurs la même année qu’Isabelle Morvan qui fut donc une bien mauvaise année.

Marie Etienne, enfin, était de Lanloup où elle est morte le 13 septembre 1869 après y être née le 18 novembre 1805. Son père était Jean Etienne contrairement à sa mère qui était Pétronille Hamon. Jean Etienne, né et mort à Lanloup, les 31 janvier 1779 et 3 janvier 1847, était laboureur. Ses parents étaient Yves Etienne et Pétronille Perron.  A croire que tout le monde s’appelait Pétronille dans la famille. Yves Etienne est probablement né puisqu’il avait deux parents : Jan Etienne et Janne Larcy mais je n’ai aucune information complémentaire sur cette branche.

Occupons-nous de nos Pétronille. Notez que, dans ces billets, j’appelle les dames par leur nom de jeune fille, ce qui est contraire aux usages, notamment en généalogie. Mais il faut bien que je fasse des concessions au monde moderne.

Pétronille Perron était issue de René Perron et Françoise Tréboutat. Vous n’en saurez pas plus. Moi non plus. Pétronille Hamon était la fille de Allain  et Catherine Le Toutin. Elle est née à Plouézec (à une dizaine de kilomètres au nord de Plouha, on se rapproche de Paimpol) le 23 avril (comme moi, tiens !) 1781 (pas comme moi) et morte à Lanloup le 7 avril 1811. Ses deux parents Catherine et Allain seraient visiblement morts la même année (mais cela sent l’erreur de saisie dans le logiciel de généalogie).

Il y avait bien deux « l » à Allain. L’orthographe reprise dans ces billets de blog est celle utilisée dans les registres divers.

Cela étant, vous savez tout sur les origines de mon grand-père,  François Clément Jégou, Capitaine de la marine marchande, né le 30 septembre 1903, dans la Manche, à Equeurdreville, et mort à Paimpol le 2 juin 1962.

Equeurdreville est dans la banlieue de Cherbourg. J’ignore ce que ses vieux, issus de Plouha et Lanloup, foutaient là-bas (la père était charpentier dans la marine, ce qui explique probablement la chose).

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