J’aime bien faire des billets à contre-courant. L’iPhone 6
vient d’être annoncé et je fais un billet sur la version précédente. Il n’empêche
que j’aime bien raconter mes expériences en nouvelles technologies… Je viens donc de passer de l’iPhone 4 au 5c,
sautant ainsi deux générations (le 4s et le 5).
Les raisons du
changement :
Mon ancien smartphone a été volé mais l’achat était dans l’air
depuis quelques temps (la caméra et la batterie étaient très mauvaises). L’achat
aurait été accéléré par la sortie d’iOS 8 qui ne tourne pas sur iPhone 4.
Les raisons du choix :
C’est un achat impulsif (mais nécessaire) : je me suis
contraint à prendre le bas de gamme proposé par mon opérateur tout en restant
chez Apple pour récupérer rapidement toutes mes données. Si l’achat avait été
réfléchi, j’aurais hésité et peut-être pris un smartphone avec un OS Microsoft.
J’adore les pavés.
Les plus :
-
La rapidité du lancement de certaines
applications comme Twitter,
-
La rapidité de la 4G,
-
La suppression des « pannes » de l’ancien
(batterie et caméra) et la rapidité de chargement de la batterie,
-
Internet qui passe dans les toilettes du bureau,
-
Le connecteur qui fonctionne dans les deux sens
(on ne pense jamais assez aux détails…).
Le moins :
Le machin est trop grand : j’ai deux heures de
transport en commun par jour et il faut les deux mains pour l’utiliser de
manière sécurisée. Il est plus facile à voler que le précédent (qui m’a
pourtant été volé à l’arrache !).
Ben oui, les gars, il faut penser à tout. On ne peut plus
utiliser l’iPhone dans le métro aux heures de pointe et en marchant. Vous me
direz qu’il faut
L’anecdote number one :
Le téléphone ayant été volé, j’avais bloqué la ligne. J’ai
donc dû appeler le service client pour qu’ils la rouvrent quand j’ai reçu le
nouveau mais l’opératrice a fait la mise en service de la SIM après l’ouverture
de la ligne alors qu’il fallait la faire avant. En voulant rattraper son erreur,
elle a fait une erreur de manipulation.
Le téléphone ne fonctionnait pas. J’ai donc appelé le
lendemain. L’opérateur, avec l’aide du service correspondant, a réussi à
remettre le truc en service.
Mais internet ne fonctionnait pas (sauf en wiki).
J’ai donc appelé une troisième fois le support. C’était
aujourd’hui. Ca marche mais il a encore fallu que le technicien appelle un
service de support.
L’anecdote number two :
Quand j’ai enfin eu l’iPhone, mercredi, j’ai commencé à
faire la récupération des données avec la wifi d’une collègue en mode « partage
de connexion », j’ai poursuivi avec la wifi de la Comète. Je suis rentré
chez moi. J’ai tenté de saisir le code de la livebox. Mais celui que j’avais noté
ne passait pas. Ma livebox étant dans un coin pas bien éclairé, il a fallu que
j’attende qu’il fasse jour, soit le lendemain matin (le code que j’avais noté
était celui de ma mère).
Ce matin, après une première nuit complète avec la wifi,
donc, l’iPhone m’a dit qu’il n’avait pas assez de mémoire pour terminer les
mises à jour ce qui est vexant. En fait, il n’a pas réussi à mettre à jour iOS
avec la dernière version. Je verrais ce soir.
Toujours est-il que dans le métro, ce matin, je me suis
amusé à regarder ce qui occupait tant de mémoire et fait un peu de ménage en
supprimant les applications que je n’utilise jamais mais que j’avais téléchargé
avec mon premier iPhone, j’en suis le troisième. Toujours est-il que ce qui
prend beaucoup de place sont les photos.
Comment, me dis-je ! Comment peut-on saturer la mémoire
d’un téléphone avec des photos sur un iPhone dont la caméra ne fait que photos
ratées ? Je regarde… J’avais un tas de photos de mes deux iPhone
précédent, dont les photos floues que je prenais avec le 4 pour illustrer des
billets de blog ou tweeter et des copies d’écrans, notamment de Twitter, pour
les mêmes usages.
Cet imbécile, si je puis me permettre, avait récupéré des
photos qui existaient dans le « cloud » mais que j’avais supprimé de
mon précédent iPhone (et qui venaient pour partie de mon iPhone d’avant)…
J’ai donc passé mon trajet de métro à faire le ménage dans
les photos… J’en ai supprimé 500 ce matin, il en reste 800, dont la majeure
partie sans le moindre intérêt. Ce week-end, il faudra que je fasse le ménage
dans le Cloud mais j’ignore comment…
D’autres anecdotes ?
Voyez mes précédents billets.
Ma grande surprise ?
La qualité du service client chez Apple et Orange (même si
une technicienne de l’opérateur a fait une connerie,…) : l’amabilité, le
professionnalisme, les moyens techniques, la vitesse « d’escalade »
auprès des services de support interne, l’efficacité,…
Même le temps d’attente est raisonnable ! Sur les cinq
appels que j’ai passé, un a carrément été refusé parce qu’ils étaient en
surcharge, j’ai attendu une fois un peu plus de 20 minutes, une fois quatre et
deux fois moins de deux minutes.