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30 septembre 2014

Bruno : viré !

Cela fait quelques jours que je n'avais pas vu Bruno, illustre fréquent client régulier de la Comète. Peut-être étiez-vous inquiet ? La régularité d'un blog et sa précision sont importantes. 

C'est un peu comme chez Nancy, si elle ne nous présentait pas régulièrement des nouveaux fruits exotiques sur son blog, on serait inquiets. Aujourd'hui, c'est la goyave qui y passe. Ou la papaye. Je ne sais plus. Au fait ! Mon directeur m'a sorti une histoire drôle (fort à propos dans notre discussion mais elle ne vous fera pas rire) : "comment on cueille une papaye ?" Heu... "Avec une foufourche !"  

C'est le genre de blague qui déstabilise l'interlocuteur au cours d'une conversation professionnelle. J'adore. L'art de dire : "mais, cher monsieur, vous me prenez vraiment pour un con ?"  

Toujours est-il qu'avec ces histoires de boulot, je n'ai plus le temps de bloguer et de commenter chez Nancy. Je l'embrasse et m'en excuse. Bref, avec les histoires de boulot en question, je n'avais pas remarqué l'absence de Bruno parce que j'arrive plus tard au bistro. Je ne l'embrasse pas mais m'en excuse néanmoins. 

Mardi dernier, ma bande était au comptoir. C'est Tonnégrande qui raconte. Pardon. C'est Tonnégwande qui waconte. Autant ajouter une couche de nauséabondewies. 

Eric, le vendeur de pizza en face appelle Bruno : hé ! Un client a commandé une pizza mais a changé d'avis. Il en veut plus. Vous n'avez qu'à la manger au comptoir avec les copains. 

Ça partait d'une bonne intention. 

Voilà donc notre Bruno qui arrive au comptoir et, avec sa grange gueule, demande des couteaux a la patronne pour qu'ils puissent la manger. La patronne a évidemment pensé qu'il avait acheté la pizza pour pouvoir la manger et l'a proprement envoyé chier vu qu'elle vend de la bouffe. 

C'est un peu comme si vous alliez au bordel avec votre femme et que vous exigiez une chambre gratuite pour pouvoir la sauter après vous être fait sucer pour 10€. Si. 

Bruno est parti fâché. Voilà un copain d'enfance depuis au moins six mois que je ne reverrais plus. 

Cela étant, je me demande si la patronne a pas sauté sur le prétexte pour virer un type qu'elle ne pouvait pas blairer et qui se croyait chez lui parce qu'il dépensait 30 euros par jour chez elle.

La lutte des classes, quoi !

Des classes de CP, surtout. 

29 septembre 2014

Léonard Cohen de gare

Au Tourbillon, ils viennent de passer plusieurs chansons de Léonard Cohen. Je suis assez surpris d'avoir reconnu le chanteur uniquement à la voix vu que je n'ai jamais été un fan du lascar tout en appréciant les morceaux les plus connus.  Shazam m'a permis de confirmer que c'était bien lui mais je n'avais pas beaucoup de doute. Pas qu'à partir de la voix : un truc aussi bien qu'on n'a pas du tout envie d'écouter en sortant du boulot : il y a peu de doute. Le seul chanteur bien et chiant ?

Ce qu'il y a de surprenant, aussi, c'est de trouver une brasserie au milieu de La Défense qui connaisse et passe Léonard Cohen. Quoi que, depuis l'arrivée d'Oscar, il y a environ un an, le niveau a bien progressé. 

Toujours est-il que cela me rappelle une anecdote. 

Dans certaines gares, comme Montparnasse, il y a maintenant des pianos en libre service. Vendredi soir, quand je partais en Bretagne, un jeune type (17, 18 ans ?) jouait le thème de "Alleluia" du dit Cohen. Il jouait réellement très bien (ce qui change des abrutis qui jouent des trucs habituellement). 

Il a eu de vrais applaudissements par une "foule" (30 ou 40 personnes) visiblement ravie. 

Il s'est levé et a salué. 

En plein cœur de la gare la plus moche (mais la plus utile) de Paris. 

26 septembre 2014

25 septembre 2014

Le Kremlin des Blogs du siècle !

Pour la première fois, il se déroulera demain à Loudéac de 17h30 à 1 heure du matin (le lendemain, andouille) avec une pause entre 19h et 20h30, il faut bien qu'on mange. 

Les andouilles sont les bienvenues : Jacques, Tanguy,..

24 septembre 2014

Opération ville morte

J'arrive à la Comète vers 21h10. En rentrant du boulot, je me suis arrêté au Tourbillon une demi-heure pour faire un billet de blog politique après avoir vu dans ma messagerie des informations d'El Camino et Gildan. Après une journée sans blogage les doigts me démangeaient. 

Il y avait deux clients en salle et, au comptoir, Tonnégrande, le vieux Joël, un couple d'ami et une connaissance. Ils sont partis vers 21h20. Me voila tout seul. La pire soirée (pour le bistro) depuis des mois. 

Le serveur va commencer "à plier". 

Elle finit quand la crise ? Celle qui empeche les gens d'aller au bistro après le 15 du mois. 

Vivement ce week-end. Trois jours de repos. Et le premier KdB à Loudéac, vendredi, de 17h30 à 19h avec Isidore et Jacques. Cinq semaines que je ne suis pas rentré. 

22 septembre 2014

Un week-end à Loudéac

Je suis un garçon très casanier quand je passe un week-end à Loudéac mais il est probable que je reçoive prochainement la visite d'un Twittos influent Le vendredi soir (et le samedi midi s'il a la flemme de rentrer). Il me faut donc donner des détails. 

J'arrive à Loudéac vers 16 heures le vendredi. Je vais à la maison pour papoter. Je fais ensuite ce que j'ai à faire sur internet vu que je n'avais pas de connexion normale depuis le matin vers 10 heures. Vers 17 heures, 17 heures 30, je vais au bistro, le 1880. Je rentre à la maison à 19 heures tapantes pour le dîner. Je repars au bistro (à pied, allez savoir pourquoi) vers 20h30. Il ferme à 1h. Il arrive que je ne parle à personne ou presque vu que les copains sortent plutôt le samedi ce qui ne m'arrange pas. Il y a des exceptions, notamment Serge qui arrive - hips - vers 22h30 mais je m'engueule généralement avec lui vers 23h30 vu qu'il a commencé à picoler plus tôt et qu'il pèse 50 kg. 

Je ressors le samedi mais c'est une autre histoire. 

Vers 22h30, 23h, ça commence à bouger. Il arrive qu'on soit plus de 100 dans le bistro. Grosse ambiance. 

Le samedi, les horaires sont à peu près les mêmes (sauf que je passe prendre un café vers 15 heures et qu'il faut que je fasse ce que j'ai à faire). Le soir, il y a moins de monde au bistro mais il y a les potes de la bande. 

Nous voila au dimanche midi. On prend l'apéro familial, dominical et normal en regardant Petitrenaud en diagonale. On déjeune. Je fais la sieste. Et prends mon car à 14 heures. 

20 septembre 2014

J'ai vu une bite

La soirée fut calme, ce soir. Parmi les copains, seul le vieux Joël était là. Je présente mes excuses à mes nombreuses lectrices pour mon titre un tantinet vulgaire. Toujours est-il que je me faisais chier au bistro comme un rat mort au point de faire un billet de blog sur mon blog perso. J'avais acheté trois andouillettes et je me suis décidé à rentrer à la maison pour me les préparer avec quelques échalotes, mon bonheur.

J'habite dans une somptueuse résidence, un peu en retrait par rapport à la nationale 7. J'ai l'habitude de rentrer par la cour réservée aux voitures et pas par le machin pour les piétons qui me prendrait plus de temps.

Une Clio était garée face à la porte, avec la porte arrière ouverte. Je regarde. Il y avait un type à poil. Je continue mon chemin puis finit par réagir : il  n'est pas normal qu'une Clio bleue soit garée là avec un type à poil à l'arrière.

Machinalement, je reviens vérifier et je reste regarder, comme un con, comme un abruti tétanisé. Il y avait réellement un type d'un vingtaine d'année à poil.

Je m'en vais. Je n'ai rien contre les Clio bleues et les types à poil. Je vous assure, je ne sais pas s'il y a un type au monde qui s'en fout autant que moi des Clio bleues et des mecs à poils. Cela étant, je n'y crois pas et je fais machine arrière. Le type avait une superbe érection et affichait un machin d'un bonne vingtaine de centimètres.

j'étais médusé. Il aurait fallu que je prenne une photo, non pas de la bite du lascar, je suppose que vous en avez vu avant moi, mais de l'entrée de mon parking pour vous montrer le côté surréaliste de la chose.

Je suis donc resté interloqué une ou deux secondes quand un des deux mecs à l'avant m'a demandé ; "on vous dérange monsieur ?".

Non.

Je suis rentré. C'est normal de voir un type en érection à poil à l'arrière d'une voiture dans l'entrée de son parking.

Cela étant, si vous et moi aimions d'autres bites que la mienne, cette anecdote n'aurait aucun intérêt, mais c'est bien la question finale qui m'en pose.

Que @franssoit se débrouille !

Les imbéciles clients de cet honorable établissement n'arrêtent pas de dire que ce type est mon frère (ca date du temps de Jean, l'ancien patron, qui est parti fin 2007). 



Pourtant ce type est un gros frisé alors que mon vrai frère n'est pas gros et pas frisé. Comme moi. 

19 septembre 2014

Roman photo : Tonnégrande â la fermeture de la Comète

Ayant quitté le boulot à 19h30 et m'étant arreté au Tourbillon à cause de la soif qui m'envahissait, je suis arrivé vers 21 heures à la Comète. La soirée allait bon train. Tonnégrande était en forme comme le prouve cette photo prise deux après, le temps que je reprenne la bande en mains alors qu'il n'a bu qu'une douzaine de Perrier. 


Ce garçon de grande classe finira dans un cabinet. 

Côté terrasse, les vieilles étaient en forme. 

Pas des premières mains mais des mains expertes puisqu'elles ont reussi à alpaguer un petit jeune. J'espère qu'il a une très bonne constitution. 

La doublure me parait un peu fatiguée. 


Hips Claude. 

17 septembre 2014

Forfait bière

Un bistro japonais a eu une excellente idée...

Hop ! Traduit par Google Translate : "Le passeport d'un an aurait un tag d'environ ¥ 29,800 (US $ 280), qui, si vous buvez plus de 60 ou plus de bières au cours de l'année, est en fait une bonne affaire par rapport au projet de prix moyen de 4,75 $ Prix."

Ce qui nous fait un forfait de 280 dollars pour de la bière à volonté pendant un an (à condition de manger). Ce qui nous fait environ le coût de 80 bières par an à la Comète.

J'ignore s'il y a un maximum.

14 septembre 2014

Gros frisé à lunettes


Ce type vient à la Comète depuis la nuit des temps. Toujours tout seul. Il nous ferait presque pleurer si nous avions vraiment des sentiments humains. 

Toujours est-il que depuis une dizaine d'années, les copains me disent : "voilà ton frère". Je ne sais pas pourquoi, mon frère est mince et presque chauve. 

C'est la première fois que j'arrive à le prendre en photo. 


13 septembre 2014

Paix à Giovanni

Des années que je connaissais cet imbécile sans le connaître. Il buvait des Ricard dans tous les bistros de Bicêtre. Il avait un chapeau blanc genre Borsalino.  

Il a été incinéré a Arcueil. 

Il exigeait que le patron ou le serveur lui mette de l'eau dans son Ricard directement au robinet. Il refusait qu'on lui file de l'eau dans une carafe. Il disait que c'est moins frais, même avec les glaçons. 

Il est mort lundi. 

A priori, il ne manquera à personne (sauf aux patrons de bistro). 

Le marché


Il y a une espèce de marché exceptionnel à Bicêtre, aujourd'hui, avec des produits régionaux. 

La boîte de sardines bio à 4 euros. 

Je vous passe le prix, mais je souhaite qu'on m'explique comment une sardine pêchée en mer peut être "bio". 

Il n'y a pas un client. Les commerçants viennent à la Comète et se plaignent du manque de travail. Au moins, à la Comète, ils gagnent de l'oseille. 

12 septembre 2014

Toilettes

La gonzesse entre dans le bistro. "Je peux utiliser vos toilettes ?"  Le serveur : "oui, c'est en bas". Elle, se mettant à hurler : "et elles sont propres, au moins ?"

Mon iPhone 5c est opérationnel ! Le bilan...

J’aime bien faire des billets à contre-courant. L’iPhone 6 vient d’être annoncé et je fais un billet sur la version précédente. Il n’empêche que j’aime bien raconter mes expériences en nouvelles technologies…  Je viens donc de passer de l’iPhone 4 au 5c, sautant ainsi deux générations (le 4s et le 5).

Les raisons du changement :

Mon ancien smartphone a été volé mais l’achat était dans l’air depuis quelques temps (la caméra et la batterie étaient très mauvaises). L’achat aurait été accéléré par la sortie d’iOS 8 qui ne tourne pas sur iPhone 4.

Les raisons du choix :

C’est un achat impulsif (mais nécessaire) : je me suis contraint à prendre le bas de gamme proposé par mon opérateur tout en restant chez Apple pour récupérer rapidement toutes mes données. Si l’achat avait été réfléchi, j’aurais hésité et peut-être pris un smartphone avec un OS Microsoft. J’adore les pavés.

Les plus :

-          La rapidité du lancement de certaines applications comme Twitter,
-          La rapidité de la 4G,
-          La suppression des « pannes » de l’ancien (batterie et caméra) et la rapidité de chargement de la batterie,
-          Internet qui passe dans les toilettes du bureau,
-          Le connecteur qui fonctionne dans les deux sens (on ne pense jamais assez aux détails…).


Le moins :

Le machin est trop grand : j’ai deux heures de transport en commun par jour et il faut les deux mains pour l’utiliser de manière sécurisée. Il est plus facile à voler que le précédent (qui m’a pourtant été volé à l’arrache !).

Ben oui, les gars, il faut penser à tout. On ne peut plus utiliser l’iPhone dans le métro aux heures de pointe et en marchant. Vous me direz qu’il faut

L’anecdote number one :

Le téléphone ayant été volé, j’avais bloqué la ligne. J’ai donc dû appeler le service client pour qu’ils la rouvrent quand j’ai reçu le nouveau mais l’opératrice a fait la mise en service de la SIM après l’ouverture de la ligne alors qu’il fallait la faire avant. En voulant rattraper son erreur, elle a fait une erreur de manipulation.

Le téléphone ne fonctionnait pas. J’ai donc appelé le lendemain. L’opérateur, avec l’aide du service correspondant, a réussi à remettre le truc en service.

Mais internet ne fonctionnait pas (sauf en wiki).

J’ai donc appelé une troisième fois le support. C’était aujourd’hui. Ca marche mais il a encore fallu que le technicien appelle un service de support.

L’anecdote number two :

Quand j’ai enfin eu l’iPhone, mercredi, j’ai commencé à faire la récupération des données avec la wifi d’une collègue en mode « partage de connexion », j’ai poursuivi avec la wifi de la Comète. Je suis rentré chez moi. J’ai tenté de saisir le code de la livebox. Mais celui que j’avais noté ne passait pas. Ma livebox étant dans un coin pas bien éclairé, il a fallu que j’attende qu’il fasse jour, soit le lendemain matin (le code que j’avais noté était celui de ma mère).

Ce matin, après une première nuit complète avec la wifi, donc, l’iPhone m’a dit qu’il n’avait pas assez de mémoire pour terminer les mises à jour ce qui est vexant. En fait, il n’a pas réussi à mettre à jour iOS avec la dernière version. Je verrais ce soir.

Toujours est-il que dans le métro, ce matin, je me suis amusé à regarder ce qui occupait tant de mémoire et fait un peu de ménage en supprimant les applications que je n’utilise jamais mais que j’avais téléchargé avec mon premier iPhone, j’en suis le troisième. Toujours est-il que ce qui prend beaucoup de place sont les photos.

Comment, me dis-je ! Comment peut-on saturer la mémoire d’un téléphone avec des photos sur un iPhone dont la caméra ne fait que photos ratées ? Je regarde… J’avais un tas de photos de mes deux iPhone précédent, dont les photos floues que je prenais avec le 4 pour illustrer des billets de blog ou tweeter et des copies d’écrans, notamment de Twitter, pour les mêmes usages.

Cet imbécile, si je puis me permettre, avait récupéré des photos qui existaient dans le « cloud » mais que j’avais supprimé de mon précédent iPhone (et qui venaient pour partie de mon iPhone d’avant)…

J’ai donc passé mon trajet de métro à faire le ménage dans les photos… J’en ai supprimé 500 ce matin, il en reste 800, dont la majeure partie sans le moindre intérêt. Ce week-end, il faudra que je fasse le ménage dans le Cloud mais j’ignore comment…

D’autres anecdotes ?

Voyez mes précédents billets.

Ma grande surprise ?

La qualité du service client chez Apple et Orange (même si une technicienne de l’opérateur a fait une connerie,…) : l’amabilité, le professionnalisme, les moyens techniques, la vitesse « d’escalade » auprès des services de support interne, l’efficacité,…


Même le temps d’attente est raisonnable ! Sur les cinq appels que j’ai passé, un a carrément été refusé parce qu’ils étaient en surcharge, j’ai attendu une fois un peu plus de 20 minutes, une fois quatre et deux fois moins de deux minutes.

11 septembre 2014

Les aventures du petit Nicolas et de son nouvel iPhone

Résumé des épisodes précédents : je me suis fait piquer mon iPhone ce qui a provoqué l'achat d'un neuf qui fonctionne correctement, y compris l'appareil photo contrairement au dernier. Exemple :


Mon billet d'hier soir était prémonitoire. 

Ne connaissant pas la durée de vie de la batterie, ce matin, j'ai pris celle de secours et le chargeur. Je pensais bien consommer beaucoup aujourd'hui (de batterie, andouille) vu que j'avais six heures de présence dans des réunions où je suis là en support. Donc, je bricole avec l'iPhone en écoutant d'une oreille distraire la réunion jusqu'au moment où elle détecte qu'une intervention de ma part est nécessaire. Sûr de mon coup, je n'ai pas regardé le niveau de charge de la batterie jusqu'à 15h30 (j'avais une demi-heure entre deux réunions). Je m'en foutais, vu que j'avais le chargeur et le secours. Paf ! Le message : la batterie est à 20%. 

Je sors le matos. 

Paf ! J'avais pris le câble de l'ancien iPhone. Impossible de charger. 

(Une collègue m'a prêté le sien). 

10 septembre 2014

L'intendance du blogueur geek


Regardez bien cette photo. Elle est réussie. Plus précisément, elle n'est pas ratée. Contrairement à la soirée, vu le nombre de clients au comptoir. Le verre de rouge est à Tonnégrande. Je le lui ai offert parce qu'il m'a filé son téléphone pour que je passe un appel. Avec le mien, tout neuf suite au vol, je ne peux pas. Par contre, j'arrive à prendre des photos pas ratées ce qui ne m'était pas arrivé depuis deux ans. 

D'ailleurs, je n'ai pas encore testé la caméra frontale. Ne bougez pas. 


C'est chose faite. Légende : blogueur réjoui d'avoir récupéré un nouvel iPhone mais un tantinet mal rasé. 

Sur la photo, les deux verres de 1664 sont à Laverdure. Le serveur a merdé dans le service et le suivi des tournées. 

La soirée d'hier fut par contre particulièrement réussie. Un excellent Kremlin des Blogs avec une quinzaine de gugusses. J'ai appris que Paris Carnet, la plus illustre et ancienne soirée de blogueur avant nos kdb réunissait maintenant moins de monde. N'allez pas croire que je me réjouisse d'arriver en tête. Une page s'est tournée. Celle des internautes qui étaient un peu pionniers. 

Le KdB est différent des autres rencontres de blogueurs. De toute manière, je suis à mon comptoir. Alors je passe un appel : hé ! Les copains ! Ça serait bien que vous passiez tel jour. Hier, c'était parce que @menilmuche était de retour en France. Lundi, ça sera parce que @renepaulhenry passe à Paris. Un des meilleurs KdB que j'ai fait était quand nous étions trois : Styven, Melclalex et moi. Menilmuche m'en a rappelé un autre petit, hier soir. Je l'avais oublié. 

La bandoulière sur ma photo, c'est parce que je trimbale ma sacoche avec mon iPad depuis hier, ainsi que mon portable, mais, lui, c'est au cas où je doive brancher mon futur nouvel iPhone à un PC pour le mettre en route. C'est un cadeau de Noël de ma petite sœur (je lui avais suggéré l'idée mais c'est absolument génial que le PC tienne dedans contrairement à un papier A4, ce dont je me suis rendu compte un jour où des fournisseurs m'avaient filé des documents. J'étais passé pour un taré ce qui m'a bien fait rigoler).  


Voilà une photo de la sacoche médusée avec un demi pour que vous puissiez juger de la taille. Je l'ai commandé pour vous montrer alors que je n'avais plus soif. Vous me poussez à boire. 

Le serveur dans le fond n'est qu'un élément de décor. Son entente avec le gros Jean-Claude ne semble pas parfaite mais je suis hors sujet. 

Encore une photo pas ratée. Je suis bouche bée. À part le cadrage mais depuis que des imbéciles ont déclaré que le format des photos devait être adapté au format des écrans des téléphones et qu'on a oublié le bon vieux 24x36, l'art a pris un coup dans la gueule. 

Revenons-en au sujet

Me voilà donc avec un nouvel iPhone suite à un vol idiot. C'est mon troisième en plus de cinq ans, en plus de l'iPad qui va avoir deux ans. Ou trois. Quand on aime, on ne compte pas. À part pour l'intendance. Par exemple, depuis Noël, j'en suis à mon troisième chargeur (batterie) de secours. Le premier, volé dans le métro (une négligence de ma part, un pickpocket alors que je l'avais mis dans la mauvaise poche d'une veste, contrairement au vol de l'iPhone, avant-hier, pour le quel j'ai été agressé). 

L'intendance disais-je. 

Il me reste un chargeur HS. Son câble. Celui du chargeur de secours volé. Trois prises de chargeurs "normaux" (j'en ai perdu un). Un chargeur de bureau (dont je n'ai plus l'utilité). Trois câbles de chargement pour vieux iPhone mais aussi l'iPad. Un câble d'iPhone plus récent. 

Je vais probablement laisser une prise et un "vieux câble" à Loudéac. 

Je réfléchissais à ces âneries en pensant à un probable prochain déplacement professionnel, pour lequel je devrais prendre :
- 1 prise de chargeur,
- 1 chargeur de secours,
- 1 câble de chargement du chargeur de secours,
- 1 câble de chargement de l'ancien iPad,
- 1 câble de chargement du nouvel iPhone,
- 1 chemise,
- 1 caleçon,
- 1 paire de chaussettes,
- 1 brosse à dent,
- 1 tube de dentifrice,
- 1 déodorant,
- 1 iPhone,
- 1 iPad,
- 1 PC portable,
- 1 alimentation de PC portable. 

Je me demande si cela est bien raisonnable d'autant que ça ne tiendra pas dans la sacoche de l'iPad qui me sert surtout quand je vais en week-end en Bretagne vu qu'un slip propre m'attend à Loudéac. 


Tiens ! Voilà une photo de Laverdure et de Jean-Claude qui est pas ratée à part le cadrage et Laverdure mais, pour lui, mon iPhone n'y est pour rien. 

Ceci est probablement le premier billet de blog aussi long écrit sans le seul but de tester un nouvel iPhone et en moins d'une heure. 

09 septembre 2014

Au voleur !

A la demande générale, je raconte ma dernière mésaventure… Hier soir, je rentrais à la maison vers 22 heures en consultant mon iPhone. Mon ex iPhone, pardon. Ca s’est passé très vite, je n’ai pas suivi. Je crois qu’un loustic m’est arrivé par derrière, il a donné un petit coup avec un truc (son ongle ?) sur mon iPhone et l’a pris avec son autre main. Il est parti en courant…

Très au point, la technique…

Du coup, je rentre à la maison et fais opposition puis change mes mots de passe de mes comptes Google, de Facebook, de certains comptes Twitter,…

Ce matin, petit visite par le commissariat de police ce qui m’a fait perdre deux heures (le commissariat de Bicêtre est à l’autre bout de la commune).  La personne qui m’a accueilli était très sympathique mais j’ai été drôlement surpris par la durée de l’interrogatoire et la taille du procès-verbal…

Par contre, le policier était surpris : j’étais incapable de décrire le voleur, à part la couleur de sa veste.

Au retour, un petit passage par la boutique Orange de Bicêtre. Fermée pour travaux. Un saut de bus puis de métro jusqu’à Place d’Italie, je n’avais pas de pièce d’identité sur moi.

Retour au bureau. Commande d’un nouveau téléphone par téléphone en utilisant le numéro de téléphone pour les gens à l’étranger (le 3970 ne passe pas du bureau…). Très sympa, le gars au bout du fil. Bravo Orange ! Le nouveau téléphone arrive demain.


05 septembre 2014

Mes excuses

Je présente mes excuses les plus sincères mais je ne sais pas à qui. Je présente mes excuses pour m'excuser ainsi dans ce blog. 

Tiens ! Pour m'excuser encore plus, je vous donne un extrait d'un livre célèbre depuis trois jours. 

« Je me souviens du premier bâton de rouge à lèvres un peu raffiné que je me suis offert, du sentiment de féminité qu’il m’a donné. Jusque-là, j’empruntais ceux de ma mère ou de ma grand-mère, mémé Simone, à qui je prenais aussi une poudre de riz dont je n’oublierai jamais la bonne odeur, malgré la marque bas de gamme. Ma petite grand-mère, qui nous a élevés aux côtés de mes parents, n’était qu’une simple couturière avec ses doigts experts, mais elle était tellement coquette. Je porte toujours certains de ses tricots. J’ai précieusement conservé la layette de mes enfants qu’elle avait réalisée au crochet. J’ai encore le goût de la pastille Pulmoll que nous venions régulièrement lui quémander à la porte de sa chambre.
Ces souvenirs me rapprochent de ces femmes. J’aurais pu être une enfant du Secours populaire si ma grand-mère n’avait pas mis du beurre dans les épinards avec ses travaux d’aiguille. Nous avons eu la chance de partir en vacances chaque année au bord de la mer. Tant d’enfants ne l’ont pas. »

Je m'excuse pour le changement de police de caractères indépendant de ma volonté. Je vais tenter de régler ça avant de vous donner des explications. 

Toujours est-il que le 12 août, j'ai envoyé un mail à un type formulé ainsi : "toutes mes excuses, ma réponse dans les LB fut un peu violente mais je suis énervé". 

Le vieux Joël qui ne sait pas que le livre de l'ex à Pépère est disponible un peu partout sur le web en téléchargement gratuit et devrait donc faire un flop commercial a reçu ce mail. 

Or je ne communique jamais par mail avec lui, il ne relève sa messagerie qu'une fois par mois. C'est tombé aujourd'hui. Il a trouvé mes excuses mais ne sais absolument pas de quoi je m'excuse. Néanmoins, il me connait et ne se choque pas de mes outrances, je m'engueule avec la terre entière et présente des excuses ensuite. 

Ce n'est donc pas pour savoir de quoi je m'excusais qu'il m'a parlé de ce mail mais parce qu'il ne comprenait pas ce que voulait dire "LB". Il m'a montré le mail avec son smartphone. J'ai regardé dans le mien. Je l'ai bien envoyé. LB est l'acronyme de Left Blogs. Effectivement, l'activité fut très chaude ce jour-là. Les copains des LB pourront fouiller dans leurs archives pour savoir de quoi il s'agit. 

Toujours est-il que j'ai envoyé chier un type le 12/08. Je ne sais pas du tout qui. Je lui ai donc envoyé un mail d'excuses mais je me suis trompé. Il est parti chez le vieux Joël. 

Je suis plié de rire avec cette histoire de livre disponible en téléchargement. On se demande si mémère ne voulait pas réécrire Les Misérables de Louis Ferdinand Proust. J'imagine la tronche de l'éditeur. 

Le vieux Joël s'appelle Joël Jovignot. Cherchez dans Google, c'est une star. Un peu déchue. Pour lui envoyer un mail, j'ai tapé les deux premières lettres de son prénom ou de son nom de famille. C'est donc à une autre personne dont le nom de famille commence par "Jo" que je voulais envoyer des excuses. Je crois deviner de qui il s'agit. 

Je ne sais plus pourquoi. Je m'en excuse. 

Je me rappelle maintenant l'avoir envoyé chier. Mes excuses, Gilles. 

02 septembre 2014

Encore l'ambiance à la Comète

Vers 22h, un groupe de musiciens est arrivé. Des amateurs de jazz, probablement, vue la forme des étuis des instruments. Des cuivres. Une troupe de pochetrons est arrivée ensuite. 

Les musiciens sont partis rapidement. 

Les pochetrons sont restés. Regardez bien la photo ratée. Désolé. Cliquez dessus pour agrandir. Au milieu, il y a un arbuste. Juste devant, il y a un type. Regardez bien, il a une veste claire. Ça fait 25 minutes qu'il est là. 

L'Aéro est encore ouvert. On le voit vaguement à gauche de la photo. Les pochetrons y sont partis. Karim devrait les virer. Quand il est ouvert à cette heure, c'est qu'il est saoul. 

Les pochetrons ont abandonné leur copain place de la Comète. C'est mal. 

01 septembre 2014

Le coup de fatigue de Pierrot

Il est parti un peu fatigué du bistro. J'étais un peu inquiet. Alors quelques minutes après je suis parti à sa recherche.  Je l'ai retrouvé sagement endormi sur les marches.


J'ai discuté avec lui. Il va bien. Je lui laisse une demi-heure et je le ramène chez lui. 

La soirée à la Comète fut bonne, avec Croises Pattes et les copains, Tonnégeande et le vieux Joël. On a bien rigolé. 

Il est bientôt 23 heures. Je viens d'aller voir Pierrot. Il m'assure qu'il va bien. Il me dit que les gens sont très gentil et lui proposent de l'aide. Il ne veut pas que je le ramène. Ça m'arrange. 

Au bistro, il y a un Turc bourré qui nous explique que Gensis Khan (excusez l'orthographe) est Turc et qu'il ne faut pas croire ce qu'on dit. Je suis allé pisser. Les lumières étaient en panne en bas. Je suis rentré à tatons en me déballant le matériel. Le tatons m'a montré qu'il y avait déjà un gugusse. Or, vous, je ne sais pas, mais quand vous avez envie de pisser, avec la bite à l'air, vous avez du mal à retenir. 

J'arrive à obliquer. 

Je reviens à ma place au comptoir. Un clown était en train d'expliquer que les Américains n'ont jamais été sur la lune. Il se présente comme étant pilote de ligne. 

Pierrot vient de rentrer dans le bistro. Il voulait un Perrier. Les serveurs, Fred et Roger, ont refusé. Fred négocie avec lui. Le Turc derrière moi essaie d'avoir un dernier verre. Roger refuse. Christian et le pilote se barrent. Laverdure et moi sommes toujours au comptoir. 

Belle soirée. 

Pierrot est parti. Il va prendre son bus. S'il peut. 

Riec, Quimperlé, Bannalec, Clohars-Carnoët,...

Pezron Le Guiader, mon aïeul, est né en 1628 et est mot le 10 mars 1688 à Riec. Avec Marie Jaffre, ils eurent un fils, Nicolas mort en 1715. Chistine (oui) Le Bris est née le 4 septembre 1671 à Riec est peut-être morte en 1715, aussi. Jean Le Bris et Françoise Le Pézennec étaient ses parents.

Dans cette généalogie, je n’aime pas quand les branches remontent très loin, ça fait des billets à rallonge… Toujours est-il que j’entame le 8ème volet de cette saga familial, avec ma dernière arrière-grand-mère.

Nicolas et Chistine eurent un fils, Pierre Le Guiader, le 14 novembre 1690, à Riec. Ils eurent un fils, Pierre Le Guyader, notez le changement de l’orthographe du nom. Il se maria avec Marie Le Perchec. Ils eurent un fils, Pierre, également, le 28 juin 1755 à Riec, mort le 17 janvier 1804, toujours à Riec. Ce dernier épousa Gillette Le Dervout, née en 1668, de Joseph Le Dervout et Gillette Le Duigou. Gillette Le Dervout, deuxième du nom, est morte le 29 septembre 1836, à Riec.

Pierre et Gillette Le Guyader eurent un fils, Pierre Ollivier Marie Le Guyader, le 7 octobre 1787, à Riec. Il est mort en 1847. Il avait épousé Marie Catherine Le Floch, née le 4 septembre 1788 à Riec et morte le 26 mai 1845 à Clohars-Carnoët (à une douzaine de kilomètres de Riec). Les parents de Catherine étaient Jacques Le Floch et Marie Lotrou. Les parents de cette dernière étaient Jean Lotrou et Marie Dival.

Pierre et Marie Ollivier Marie Le Guyader, le 13 juillet 1814 à Riec, eurent un fils, Olivier Marie le Guyader. Il est mort à Clohars-Carnoët le 3 novembre 1847. Il avait pris le temps d’épouser Marie-Anne Le Nerzic, né le 28 avril 1818 à Bannalec et morte le 8 novembre 1906 à Quimperlé. C’était la fille de François Le Nerzic et de Barbe Jaffre. François Le Nerzic est né le 19 décembre 1761 à Bannalec où il est mort le 13 mars 1824. Ses parents étaient François Le Nerzic, comme lui, et Claudine Fourmantin. François Le Nerzic est né le 2 décembre 1738 à Bannalec. Ses parents étaient Henry Le Nerzic et Marie Le Coant. Henry est né le 13 avril 1712 à Bannalec. Ses parents étaient Henry Le Nerzic et Françoise Courtez. Cet Henry est né le 3 janvier 1683 à Bannalec. Ses parents étaient François Le Nerzic et Louyse Le Beux. Les parents de Françoise Courtez étaient Guy Le Courtais (changement de nom…) et Marie Moraine. Claudine Fourmantin est née le 12 juin 1742. Ses parents étaient Jean Fourmantin et Jeanne Dufleic. Jean est né en 1701. Son père était Henry Fourmantin, mort le 10 juillet 1C714. Sa mère était Louyse Dugard. Barbe Jaffre est née à Bannalec le 7 septembre 1794 et morte à Quimperlé le 18 septembre 1873. Ses parents étaient René Jaffre et Barbe Nicolas.

Olivier le Guyader et Marie-Anne Le Nerzic ont eu un fils Olivier Le Guyader, employé des chemins de fer, mon arrière-arrière-grand-père, à Clohars machin, le 4 mars 1842. Il est mort le 21 février 1919 à Quimperlé. Il avait épousé Marie Vincente Le Cardiec. A Quimperlé elle est morte et née, le 29 septembre 1850 et le 20 mai 1907. Son père était Samson Le Carquet (est nom bien différent) et Marie Françoise Le Gloannec.

Samson Le Carquet est né le 4 septembre 1821 à Quimperlé où il est mort le 5 avril 1895. Ses parents étaient Joseph Le Carquet et Marie-Joseph Horel. Joseph Le Carquet est né le 18 août 1789 à Arzano (à une vingtaine de kilomètre à l’est de Bannalec, au nord est de Quimperlé). Ses parents étaient François Le Carquet, mort à Arzano le 1er juillet 1804 et Marie-Jeanne Laurent. Les parents de François Le Carquet étaient Louis Le Carquet (d’après la généalogie, il est mort en 1945… Bug…) et Janne Louise Le Dauphin, née à Plouay (à une petite dizaine de kilomètres d’Arzano), le 27 mars 1706. Marie-Jeanne Laurent est morte à Arzano le 19 juin 1802. Marie-Joseph Horel est née le 14 septembre 1788 à Arzano et est morte à Bannalec le 1er novembre 1828. Ses parents étaient Yves Horel et Josephe Kerlon.

Marie-Françoise Le Gloannec est née le 15 août 1828 à Clohars machin et morte à Quimperlé le 29 novembre 1888. Ses parents étaient Yves Le Gloannec et Marie-Françoise Le Mentec. Yves Le Gloannec est né à Arzano en 1802. Ses parents étaient Jean Le Gloannec et Barbe Moing. Jean Le Gloannec est mort en 1825 après être né le 24 décembre 1746 à Arzano. Ses parents étaient Joseph Le Gloannec et Corentine Peron. Corentine est née le 11 août 1722 à Arzano. Ses parents étaient François Péron et Marie Le Bollé. François Péron. Marie Françoise Le Mentec est née à Clohars-Carnouët le 19 septembre 1803. Ses parents étaient Jean-Claude Le Mentec et Marie-Renée Cornou. Jean-Claude Le Mentec est né au Puldu (visiblement c’est maintenant dans Clohars machin) le 23 juin 1776 et est mort à Clohars machin le 19 mars 1842. Ses parents étaient Pierre Le Mentec et Marguerite Tanguy. Pierre Le Mentec est né à Redené (à une quinzaine de kilomètes au nord-ouest de Clohars Machin. On écrit Rédéné, j’ignore si c’est une erreur) le 22 septembre 1741. Ses parents étaient Jean Le Mentec et Marie Kervarec. Jean est né le 3 avril 1697 à Plouay (une quinzaine de kilomètres au nord-est de Redené). Ses parents étaient Jan Le Mentec (né le 7 juin 1657) et Yvonne Le Bris (né le 2 décembre 1664, la brave femme). Son père était Raoul Le Bris et sa mère Catherine Salvat. Les parents de Marie Kervarec étaient Vincent Kervarec et Claude Le Halper. Marguerite Tanguy est née le 2 avril 1737 à Clohars marchin. Ses parents étaient Yves Tanguy et Louise Guennou. Marie-Renée Le Mentec est née Cornou à Clohars machin en 1759. Elle y est morte le 1er octobre 1838. Ses vieux étaient Pierre Cornou et Marie Guitton. Pierre Cornou est né le 16 mai 1725 à Baye (une dizaine de kilomètre au nord de Clohars machin). Jean Laurence Cornou et Perrine Le Dérédel étaient ses géniteurs. Jean Cornou est né le 19 mai 1688 d’Hervé Cornou et Magdelaine Cotennec. Ses parents étaient Pierre Le Cotennec et François Kerforn mort le 16 mai 1695 à Baye. Perrine Le Dérédel est née le 16 juillet 1694 à Baye. Ses parents étaient Guillaume Le Dérédel et Marie-Anne Le Briz. Guillaume Le Dérédel est né le 1 janvier 1695. Ses parents étaient Henri Le Dérédel et Mlle Ricouard. Marie-Anne Le Briz est née en 1669. Ses parents étaient Gabriel Le Bris (encore un changement d’orthographe) et Yvonnette Le Guignonnec. Marie Guitton avait pour parents Louis Guitton et Marie Guillou. Quant à Louis Guitton, c’était Corentin Guitton et Isabelle Connan. Ceux de Marie Guillou étaient Tanguy Guillou et Anne Le Melin. Voila un long paragraphe.

Olivier Le Guyader (de 1842) et Marie Vincente Le Cardiec eurent quatre enfants, dont Reine Julienne Péron, qui n’est autre que ma quatrième arrière-grand-mère, les trois autres, de même que les quatre arrières-grands-pères, ont fait l’objet des billets précédents. C’était le 8 octobre 1877 à Mellac (entre Le Trévoux et Quimperlé). Elle est morte le 18 janvier 1928 à Bannalec.

La série est donc terminée. Cette série : je vais maintenant m’intéresser aux cousins des parents, ces quelques personnages que j’ai connus à une autre époque…