Comme me dit JC, elles doivent être mal baisérs. Machisme ordinaire. Toujours est-il que ça fait plus de trente minutes que ces quatre connasses sont assises en terrasse avec les tables et les chaises autour d'elles rangées sans même se rendre compte qu'un salarié attend leur départ pour finir le ménage, faire ses comptes,.. et rentrer chez lui.
Il est 23h30.
Sous prétexte qu'elles payent, elles se croient tout permis.
Ellles gloussent, comme quatre filles en goguette. (Ceci n'est pas une remarque machiste, je suppose que nous ne sommes pas plus fins).
Elles restent dans leur monde.
L'autre côté du bar.
Une serpillière trempée dans beaucoup d'eau de javel au bout d'un balai qu'on leur passe entre les jambes
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