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12 avril 2015

La grosse conne

Cette photo est belle. Elle tourne dans les réseaux sociaux. C'est celle d'une connasse fière d'avoir tué une Girafe avec un fusil à longue portée. Cette tarée mériterait d'être sodomisée par un éléphant en place publique pour lui apprendre le savoir vivre élémentaire. Cela étant, les girafes peuvent crever. Je n'ai rien à foutre de ces bestioles qui puent probablement encore plus que les clients des bistros à Bicêtre.

7 commentaires:

  1. Elle est complètement abrutie cette nana!

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    1. Elle est peut-être abrutie et peut-être pas. La chose certaine c'est qu'elle semble aimer tuer des animaux : cela ne donne aucune indication, ni sur son intelligence, ni sur sa bêtise. Hemingway aussi aimait tuer des animaux africains : diriez-vous qu'il était complètement abruti ?

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    2. Et, d'autre part, un homme détestant l'idée de tuer des animaux, comme vous ou moi, est-il forcément moins "abruti" qu'Hemingway ?

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    3. Je me demande quel est l'intérêt de tuer des animaux.

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    4. C'est sans doute le mot "intérêt" qui ne colle pas. À part les nègres trafiquant d'ivoire, les pêcheurs japonais vendant du thon rouge, les "savants" de nos laboratoires qui cherchent à mettre au point une meilleure laque pour les cheveux des pouffiasses que nous baisons péniblement une fois par mois, etc., personne n'a intérêt à tuer des animaux. Mais il se trouve qu'il y a des gens qui aiment ça ; que cela excite. Je ne les comprends ni ne les aime plus que vous, mais enfin ils existent, et je crois qu'ils existeront aussi longtemps que l'espèce humaine.

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  2. Je m'insurge : la girafe ne pue pas ! Ou en tout cas ne pue pus, depuis qu'elle vit dans de gentils zoos européens plutôt qu'en liberté chez les nègres. La girafe est un être aussi délicat que méconnu, qui a toujours souffert de vivre au milieu des nègres (qui, eux, fouettent quand même un maximum : penchez vous vers l'aisselle de votre voisin de comptoir Tonégr**de, vous comprendrez ce que je veux dire). Je m'étonne d'ailleurs que le distingué Jacques Étienne, ce naturaliste distingué, dit : “ la grande Buffe” n'ait pas encore consacré un article définitif à ce sympathique et improbable animal.

    En revanche, la militante d'extrême gauche sent fort, c'est indéniable ; notamment depuis qu'elle a paritairement décidé de cesser de se récurrer la moniche plus souvent que son mâle – parfois appelé “gauche de combat”, gauche étant synonyme de maladroit – ne se nettoie la bite. Les réactionnaires patentés, dans mon genre, se souviennent avec une nostalgie mêlée d'un peu de tristesse de l'époque désormais lointaine où ces pétasses ensevelies sous des pulls informes en laine des Andes (par solidarité avec le peuple chilien en lutte qui débarquait des les universités françaises par wagons pour les fourrer princesse, ou avec les lamas qui, quand eux fâchés, eux toujours faire ainsi) vous offraient des buissons ardents fleurant bon les vents dominateurs du Larzac et les contestations du grand large.

    Aujourd'hui, même d'après de simples photos goux-gueulisées, tout le monde sait bien dans quoi il a envie de plonger son groin, du jardin à la française de Marion Maréchal-Me voilà ou de la sèche garrigue d'Esther Benbassa, pour prendre un exemple extrême.

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  3. :o( la bêtise et la barbarie humaine n'ont pas de limites ... c'est triste ! :o(
    On détruit, on tue ... et pour couronner le tout on est fier de se comporter ainsi !!! :o(


    Bises Nico

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