Ce sont les conversations au bistro qui me rappellent cet épisode. Chaque bidasse avait en charge une tablée de 16 personnes. J'avais donc un tas de vieux avec leurs épouses qui ne buvaient pas. En plus de l'apéro et du mousseux, j'avais servi 17 bouteilles de rouge. Ils étaient tous ivres morts. Un bonheur.
A un moment, les gars de la table présidentielle se sont trouvés débordés. Je suis allé leur filer un coup de main qui avait consisté à servir le dessert à Charles.
Le soir, j'avais dit a mes collègues que j'avais servi un type qui ressemblait à Fernandel mais en tout petit.
Ils m'avaient répondu : t'es con, c'était Pasqua.
Tu me feras toujours mourir de rire ! :DDD
RépondreSupprimerC'est le but aussi...
SupprimerPutaing té !
RépondreSupprimerVoui.
SupprimerJ'ai eu une fois un tête à tête avec lui (dans le cadre professionnel ça va de soi), lorsqu'il était en déplacement officiel comme ministre de l'Intérieur (86 ou 87, je ne sais plus).
RépondreSupprimerC'était dur de l'écouter sans sourire... moi aussi je pensais à Fernandel, sauf que à l'époque il n'y avait plus de "condamné à mort" qui "aura la tête tranchée", mais que Môssssieur Charles voulait "terroriser les terroristes".
En attendant, il a surtout terrorisé certains hommes politiques en conservant des dossiers, et peut-être une partie de la magistrature malgré ses casseroles.
Pasqua ?
RépondreSupprimerPas de quoi !
J'espère que tu ne vas pas l'inviter à un KdB tout de même!
RépondreSupprimerJ'espère que tu ne vas pas l'inviter à un KdB tout de même!
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