Le haut-parleur du métro m'annonça que le trafic était interrompu sur la ligne 1 ares l'Etoile et donc pertubé avant. J'ai dit tant pis. Je vais même dire que je me réjouissais de devoir prendre la ligne 6, métro "aérien", ce qui m'aurait permis d'admirer la Seine en crue. J'estimais que j'allais ne perdre qu'une dizaine de minutes.
A 8h dix ou vingt heures 10, je ne sais plus, le haut-parleur me dit alors que le trafic était interrompu entre La Défense jusqu'à 21 heures moins 20. Le temps que l'information monte au cerveau, il se passa une 10xaine de minutes. J'étais baisé. Il fallait soit attendre soit choisir une autre solution. J'avais deux solutions. La première était d'aller prendre un RER à Grande Arche mais d'Esplanade, il y a 20 minutes de marche. Ça me faisait arriver à la Comète à 21h40. Soyons précis. L'autre solution était de rentrer en taxi. À cette heure tardive, la circulation aurait dû être fluide. J'avais une chance d'arriver un peu après 21 heures at home mais cela m'aurait coûté une trentaine d'euros (je prends souvent le taxi quand je rentre tard pour des raisons professionnelles, donc avec note de frais). Je choisis cette solution.
Mais le périphérique était bien chargé le panneau lumineux nous annonçant une heure moins 20 pour arriver Porte d'Orléans (donc cinquante mn pour la Comete, en principe). En fait, on a mis moins de temps. Joie. Jusqu'à 21 heures, j'ai gardé l'espoir d'arriver à 10 minutes de plus au fief.
Mais, la Porte d'Italie était bouchée. On a mis 20 minutes pour sortir du périphérique. Ce qui fait qu'on est arrivés à la Comète à 20 et une heure 40. Soit, exactement l'heure à laquelle je serais arrivé si j'avais choisi l'autre option.
Et ça m'a coûté plus de cinquante €.
Bien fait, salaud de nanti !
RépondreSupprimerOui mais nanti communiste.
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