Le Petit Relais à Bicêtre mais la Google Car n'est pas passée au bon moment Belle terrasse devant... |
Dans le blog politique, j’ai présenté une stratégie
raisonnable pour ouvrir les bars progressivement (faire de la vente au comptoir
uniquement, dans des gobelets consignés, et installer des tables sur la voie
publique avec l’accord des autorités). J’ai pris pour exemple les cinq bistros
que je fréquente le plus…
Par contre, je ne parle presque jamais des bistros où je ne
vais qu’exceptionnellement.
A Bicêtre, il y a le Jean-Bart, le Brazza et le Petit
Relais. Les deux premiers sont des bars tabac tenus par des asiatiques. Je n’y
vais pas spontanément car le cadre est moche. J’ai l’impression que les « Chinois »
se foutent de la clientèle (du moins de ce que de potentiels nouveaux clients
aimeraient). Le Brazza a une très grande terrasse juste à côté du CHU qui
mériterait un coup de ripolin et du mobilier neuf. La dernière fois où j’ai bu
un verre là-bas, c’était parce que j’avais rendez-vous avec un pote pour la
levée du corps du vieux Jacques au funérarium de l’hôpital.
Je vais au Jean-Bart quand je rencontre un copain sur le
trottoir à côté…
J’aime beaucoup le Petit Relais, le patron est très sympa et
il y a une très bonne ambiance. Je n’y vais plus depuis qu’il ferme le dimanche
soir et depuis que des copains ont quitté la commune : je ne risque pas d’y
croiser une tête connu. Du coup, je vois le patron dans d’autres bistros… ou
dans la rue pendant le confinement (c’est la seule personne que j’ai croisée
deux fois…). Une des raisons qui fait que je n’y vais plus est qu’il me faut
passer devant la Comète, l’Aéro et l’Amandine. Je n’arrive jamais à finir le
trajet.
Le bar de la gare, à Loudéac |
Quand « on » avait une voiture, j’allais parfois
au Bistro ou à la Chope où j’aime bien les patrons mais j’y buvais évidemment
peu. Je suis à peu près sûr d’y croiser des têtes connues. Je vais
occasionnellement au Colibri parce qu’à certains moments c’est le seul ouverts
mais je n’aime pas du tout s’il y a un peu de monde. Quand on est quatre ou
cinq au comptoir, c’est bien. Et il y a le pub où je finissais quelques soirées
dans le temps, après la fermeture des autres.
Le nombre de bistros dans mon quartier à Bicêtre est
largement suffisant même si deux ou trois ont fermé dans un rayon de 300 mètres
en vingt-cinq ans, souvent remplacés par des machins de cuisine exotique… A Loudéac,
c’est dramatique, il n’y a plus que cinq bistros à moins d’un gros kilomètre…
Et dans tout le patelin, c’est le bordel.
Je pense que le nombre a été divisé par quatre en trente ou
quarante ans.
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