Quand je n’ai pas un rythme stable (quand je n’arrive pas à
savoir « quand » je vais retourner à Paris), je n’arrive pas à me
concentrer sur des séries plus ou moins sérieuses ce qui est dommage, d’ailleurs,
vu que la période est propice à la sortie de nouvelles saisons (Ozark, Better
Call Saul,..)… Du coup, je prends les propositions faites par M. Netflix.
J’avais déjà parlé de The Crew, sur ce blog. Il a d’ailleurs
fallu que je relise mon billet pour savoir de quoi il s’agit. J’ai aussi parlé de Space Force (très bon par
rapport aux autres conneries dont je parle ici), de Brooklyn 99 et, dans un
tout autre domaine (car proche d’autres séries que j’ai déjà vues), Chicago
Fire. Par le passé, j’avais regardé d’autres trucs sans grand intérêt comme
Cobra Kaï, Swat et bon nombre de séries hospitalières (plus sur Amazon que
Netflix, d’ailleurs). Elles n’ont aucun
intérêt contrairement à d’autres qui se distinguent par la qualité
cinématographie (intrigue, jeu des acteurs, décors…) à part occuper du temps et
se distraire pendant les repas (qui peuvent être très longs chez moi s’il faut
que je finisse le cubi de rouge).
Figurez-vous qu’en une dizaine de jours, j’en ai vu trois
autres (sans terminer la dernière) : Mr Iglesias, The Brews Brother et
Champions. Toutes les trois sont paradoxalement nulles et plaisantes et ce qui
les caractérise, comme the Crew, c’est que les producteurs ont stoppé la série
après une ou deux saisons. Je ne vais pas en faire un billet pour chacune. Tant
pis pour vous. Je pourrais dire la même chose sur chaque ce que j’ai d’ailleurs
fait dans le présent paragraphe.
Mr Iglesias, la moins pire des trois (des quatre avec The
Crew), est l’histoire d’un prof dans un collège et de sa classe de lascars en
difficulté, du moins de quelques élèves, tous assez attachants pour que l’on
puisse regretter la fin précoce de la série. Chacun des profs est un personnage
et chaque épisode raconte une histoire de la vie des ses ados. Les collègues du
prof sont souvent sympathiques est drôle. Iglesias, lui-même, l’est pas mal « mais »
il est très moche et très gros, toujours habillé en bermuda, qui fait de lui une
espèce de petit gros jovial.
The Brews Brother a pour seul intérêt de se passer dans une brasserie
(bar et fabrication de bière) tenue par deux frères qui ont bien du mal à vivre
de leurs ventes. Champions, cette fois, est une salle de sport tenue, également
par deux frère qui « récupèrent » le fils de l’un d’entre eux dont
ils ignoraient l’existence, un adolescent gay de 15 ans. Tout l’intérêt que
vous avez pour cette dernière série tombe quand vous découvrez en prenant des
renseignements dans le web que l’acteur choisi pour le rôle de l’adolescent est…
une adolescente ! Avant, vous le preniez pour un garçon efféminé et vous
trouviez qu’il jouait très bien. Quand le poteau rose vous monte au nez, ça fait
déborder le vase. Voir la première illustration inutile de ce billet.
Les producteurs n’ont pas lu des gender studies,
visiblement, et ils ont totalement merdé d’autant que l’homosexualité du môme n’est
absolument pas un élément clé de la série. Que j’aurais oublié dans trois jours
ce qui m’est arrivé avec The Crew et The Brews Brother (il a fallu que je
regarde l’application Netflix pour retrouver les trois noms)…
Personnellement, je commence par éliminer, sans même tenter d'y jeter un coup d'œil, sur toute série basée sur des histoire :
RépondreSupprimer1) d'ados,
2) de nègres,
3) de pédés, de gouines, de transgenres en tous genres.
Mais, évidemment, comme vous n'êtes pas un réactionnaire pestilentiel, c'est un critère de sélection que vous ne pouvez pas vous permettre.
Sinon, vous évoquez la série SWAT. C'est un phénomène assez curieux : j'ai absolument voulu la regarder parce qu'elle était faite par le même type (j'ai oublié son nom) qui avait fait The Shield, l'une des deux ou trois meilleures séries policières de tous les temps et de toute la galaxie.
Or, bien que dû à la même plume, SWAT est parfaitement nul ! C'est à peu près, pour moi, incompréhensible.
Swat est nul mais plaisant. Pour le reste, j'aime bien les séries avec ados mais pas du tout les séries politisées woke à la con. Dans celle que je cite ici, le fait que le môme soit gay n'est qu'un prétexte pour sortir des gags.
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