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02 mai 2022

Des séries pour pas un rond

 


Quand je n’ai pas un rythme stable (quand je n’arrive pas à savoir « quand » je vais retourner à Paris), je n’arrive pas à me concentrer sur des séries plus ou moins sérieuses ce qui est dommage, d’ailleurs, vu que la période est propice à la sortie de nouvelles saisons (Ozark, Better Call Saul,..)… Du coup, je prends les propositions faites par M. Netflix.

J’avais déjà parlé de The Crew, sur ce blog. Il a d’ailleurs fallu que je relise mon billet pour savoir de quoi il s’agit.  J’ai aussi parlé de Space Force (très bon par rapport aux autres conneries dont je parle ici), de Brooklyn 99 et, dans un tout autre domaine (car proche d’autres séries que j’ai déjà vues), Chicago Fire. Par le passé, j’avais regardé d’autres trucs sans grand intérêt comme Cobra Kaï, Swat et bon nombre de séries hospitalières (plus sur Amazon que Netflix, d’ailleurs).  Elles n’ont aucun intérêt contrairement à d’autres qui se distinguent par la qualité cinématographie (intrigue, jeu des acteurs, décors…) à part occuper du temps et se distraire pendant les repas (qui peuvent être très longs chez moi s’il faut que je finisse le cubi de rouge).

 


Figurez-vous qu’en une dizaine de jours, j’en ai vu trois autres (sans terminer la dernière) : Mr Iglesias, The Brews Brother et Champions. Toutes les trois sont paradoxalement nulles et plaisantes et ce qui les caractérise, comme the Crew, c’est que les producteurs ont stoppé la série après une ou deux saisons. Je ne vais pas en faire un billet pour chacune. Tant pis pour vous. Je pourrais dire la même chose sur chaque ce que j’ai d’ailleurs fait dans le présent paragraphe.

Mr Iglesias, la moins pire des trois (des quatre avec The Crew), est l’histoire d’un prof dans un collège et de sa classe de lascars en difficulté, du moins de quelques élèves, tous assez attachants pour que l’on puisse regretter la fin précoce de la série. Chacun des profs est un personnage et chaque épisode raconte une histoire de la vie des ses ados. Les collègues du prof sont souvent sympathiques est drôle. Iglesias, lui-même, l’est pas mal « mais » il est très moche et très gros, toujours habillé en bermuda, qui fait de lui une espèce de petit gros jovial.

 


The Brews Brother a pour seul intérêt de se passer dans une brasserie (bar et fabrication de bière) tenue par deux frères qui ont bien du mal à vivre de leurs ventes. Champions, cette fois, est une salle de sport tenue, également par deux frère qui « récupèrent » le fils de l’un d’entre eux dont ils ignoraient l’existence, un adolescent gay de 15 ans. Tout l’intérêt que vous avez pour cette dernière série tombe quand vous découvrez en prenant des renseignements dans le web que l’acteur choisi pour le rôle de l’adolescent est… une adolescente ! Avant, vous le preniez pour un garçon efféminé et vous trouviez qu’il jouait très bien. Quand le poteau rose vous monte au nez, ça fait déborder le vase. Voir la première illustration inutile de ce billet.

 

Les producteurs n’ont pas lu des gender studies, visiblement, et ils ont totalement merdé d’autant que l’homosexualité du môme n’est absolument pas un élément clé de la série. Que j’aurais oublié dans trois jours ce qui m’est arrivé avec The Crew et The Brews Brother (il a fallu que je regarde l’application Netflix pour retrouver les trois noms)…

2 commentaires:

  1. Personnellement, je commence par éliminer, sans même tenter d'y jeter un coup d'œil, sur toute série basée sur des histoire :
    1) d'ados,
    2) de nègres,
    3) de pédés, de gouines, de transgenres en tous genres.

    Mais, évidemment, comme vous n'êtes pas un réactionnaire pestilentiel, c'est un critère de sélection que vous ne pouvez pas vous permettre.

    Sinon, vous évoquez la série SWAT. C'est un phénomène assez curieux : j'ai absolument voulu la regarder parce qu'elle était faite par le même type (j'ai oublié son nom) qui avait fait The Shield, l'une des deux ou trois meilleures séries policières de tous les temps et de toute la galaxie.
    Or, bien que dû à la même plume, SWAT est parfaitement nul ! C'est à peu près, pour moi, incompréhensible.

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    1. Swat est nul mais plaisant. Pour le reste, j'aime bien les séries avec ados mais pas du tout les séries politisées woke à la con. Dans celle que je cite ici, le fait que le môme soit gay n'est qu'un prétexte pour sortir des gags.

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