Ce week-end, on a appris la mort de Mademoiselle Tic et je
ne vous dis pas à quel point d’adresse mes condoléances à la famille et aux
amis car, non seulement, j’ai appris sa mort mais j’ai aussi appris son
existence mais avec effet rétroactif vu qu’elle n’existait plus quand la
nouvelle est arrivée à moi.
Je ne la connaissais pas mais j’ai évidemment reconnu ses œuvres
d’art quand elles ont été diffusées dans Facebook par de visibles adorateurs.
Je pensais que c’étaient des merdes faites au pochoir par des abrutis sur des
murs qui n’avaient rien demandé, auparavant, alors qu’il semble que cela s’agisse
de merde faite par quelqu’un qui me parait avoir accédé au statut d’artiste
sous la pression gauchiste forcément proche de la culture.
Il parait que l’art de rue en est, de la culture. Il y a
sans doute gourance : ce sont bien des merdes faites au pochoir de manière
non autorisée, généralement, dans des murs innocents.
Cela devrait évidemment être interdit et je suppose, d’ailleurs,
que ça l’est. Du coup, les artistes passent pour des rebelles alors qu’ils ne
sont que des délinquants et des salopiauds qui vont imposer dans notre champ
visuel des trucs sans intérêt ou, du moins, sans qu’ils puissent garantir le
moindre intérêt.
Les slogans à vue de nez représentatifs de la dame n'ont pas, non plus, le même intérêt comme sur mon illustration avec une histoire d'anus de plaisir incompatible avec les bonnes mœurs en vigueur dans mon blog.
En plus, elle était moche comme un cul de singe, cette pauvre fille !
RépondreSupprimerEnfin, quand je dis "pauvre" : elle a tout de même dû bien profiter de la connerie contemporaine…
Il faut quand même être taré pour acheter ces machins.
SupprimerAu fait ! A un mois près, elle avait le même âge que vous. Faites attention.
Moi, j'avais surtout noté qu'elle était née deux jours avant que Paul Léautaud ne meure : sinistre présage…
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