« Au fil des jours se concentre sur une famille américaine d'origine
cubaine de Los Angeles, composée de Penelope Alvarez dite Lupita, une mère
célibataire infirmière et ex-militaire, de ses deux enfants, Elena et Alex,
ainsi que de sa mère, Lydia. »
Vous me suivez ? Quand j’ai pris Netflix, j’ai commencé
par regarder des séries emblématiques, telles que The Crown (j’y reviendrai
bientôt vu que j’ai fini la dernière saison), d’autres qui m’ont été
conseillées… et certaines sur lesquelles je tombe par hasard (les joies de
Netflix) avec une franche préférence pour les sitcoms débiles. La plupart sont
plaisantes et on ne s’ennuie pas.
« Au fil des jours » fait parti du lot et est même
d’excellente facture ! Elle a même été primée (sans nécessairement mériter
de rester dans l’histoire) et vous pouvez vous asseoir devant votre téléviseur
avec un cubi de blanc et regarder la succession d’épisodes. On ne s’ennuie pas.
Au fil… des épisodes, on a l’impression se retrouver dans
une fiction carricature du wokisme parfait : la famille d’immigrés avec
des difficultés d’intégration, la fille défendant toutes les causes, du « genrisme »
à l’environnement et qui finit par faire son coming out avec une famille quand
même un peu homophobe, dans une environnement un peu machiste… vu qu’il est
essentiellement composé de femmes étrangères.
Un tantinet d’émotion et une franche bonne humeur… Ca suffit
à mon bonheur !
Le voisin, richissime propriétaire de l’immeuble et tout de
même concierge, lui-même immigré (du Canada…). Le docteur, patron de Lupita,
qui entretient une relation platonique avec Lydia, toujours amoureuse de son
époux mort et nostalgique de Cuba d’où elle est partie en 1962.
Ben mon cochon…
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