Si vous êtes aussi cinéphobe que moi, que vous n’avez jamais
vu Vol au-dessus d’un nid de coucou. Wikipedia
nous le résume ainsi : « L’histoire est
centrée sur R. P. McMurphy qui, en simulant, se fait interner dans un hôpital
psychiatrique pour échapper à la prison après avoir été accusé de viol sur une
mineure. Il va progressivement être touché par la détresse et la solitude des
patients. Par sa forte personnalité, il s’oppose rapidement aux méthodes
répressives de l’infirmière Ratched. »
La série portant le nom de cette infirmière est un « préquel »
comme on dit, « une œuvre dont l'histoire
précède celle d'une œuvre antérieurement créée. » Elle (l’œuvre)
est centrée sur elle (l’infirmière), Mildred Rached. « Les faits se déroulent bien avant le film, on y découvre
son passé ce qui nous amène à comprendre pourquoi elle devient l’infirmière
sans cœur dans le film. » La série commence par l’assassinat
de quelques prêtres, peu après la seconde guerre mondiale. Le meurtrier est Edmund
Tolleson. Comme le héros de Vol au-dessus d’un nez de cocu, il se fait passer
pour fou et interner dans un HP, celui où Ratched fera tout pour être embauché
et où elle finira infirmière en chef.
Le gouverneur Milburn prépare l’élection en vue de sa réélection
et ne pense qu’à faire condamner Tolleson. Il souhaite donc que le directeur de
l’hôpital, le Docteur Hanover, reconnaisse que le criminel n’est pas cinglé afin
qu’il soit immédiatement condamné à mort. L’assistante du gouverneur, Gwendolyn
Briggs, finit par être à plein temps au cœur de l’hôpital pour veiller à ce qu’Hanover
parvienne, via des contraintes financières, au résultat souhaité par son chef.
Elle finit par se rapprocher de Ratched.
Hanover, quant à lui, est « pourchassé » par une
femme richissime (jouée par Sharon Stone, excusez du peu) car il a, dans une
autre vie, mutilé son fils.
Betsy Bucket est l’infirmière en chef, au début de la saison.
Elle seconde Hanover et est l’exécutrice de certains basses œuvres préconisée
par son chef et progressivement découvertes par Ratched.
Avant même d’être captés par la série, l’intrigue, les
personnages, les rebondissements, on est frappés par « la photographie »,
les couleurs, les décors, les costumes, surtout des femmes, les voitures… Et cela
ne nous lâchera pas jusqu’au dernier épisode de la première saison (qui laisse
penser, d’ailleurs, à la préparation d’une seconde…).
Tout est somptueux et ça serait vraiment dommage de passer à
côté… Comme dit Wikipedia : une production magnifique et d’incroyables
performances des acteurs…
C’est pourtant bien ce que j’ai failli faire, tant ce genre
de fiction, entre l’horreur, le fantastique… m’énerve en général, surtout car
je n’aime pas trop les « stress ponctuels », tout ce que j’ai cru
lire en lisant les critiques dans Google. Ce sont des potes, pourtant Normands,
qui ont insisté pour que je regarde illicopresto cette fabuleuse fiction.
Ce qui me fait dire, en marge, que les lascars qui rédigent
les critiques sur internet et dans la presse sont complètement con, conclusion
que je faisais déjà à propos d’une autre série (sans aucun rapport, voir mon avant dernier billet, à propos de Atypical).
Ah, vous voyez !
RépondreSupprimerSi les journaux étaient un tant soit peu avisés, ils ne confieraient leurs critiques de séries à personne d'autre qu'à moi…
Oui mais vous ne supportez pas les séries wokes.
SupprimerNous avons repris hier soir la série Blacklist à la saison 1 : c'est vraiment pas mal du tout, vous devriez aller y voir…
RépondreSupprimerC’est noté !
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