« L'histoire raconte le
quotidien banal de Dev, un acteur pour publicités, trentenaire et vivant à New
York. On y suit ses histoires d’amour et l'évolution de sa carrière
cinématographique. La série aborde des sujets de société, comme l’immigration,
les personnes âgées, la diversité dans le cinéma, le racisme et les relations
femme-homme. » (Wikipedia)
Dès les premiers épisodes, on se prend de sympathie pour le
personnage principal et ses potes. On pense donc que la série sera
intéressante, voire enrichissante. Alors on regarde toute la première saison. L’élan
étant là et tout étant bon enfant, on se tape la seconde, histoire de combler
ses insomnies… Au moment où l’on doit commencer la troisième, on se dit stop.
J’ai déjà détecté dès les premiers épisodes qu’une série
allait être mauvaise (j’en ai souvent parlé ici, pourtant, mais pas pour
toute). Là, j’ai mis un peu de temps…
La sympathie dure mais le ras-le-bol l’emporte. Le
ras-le-bol d’épisodes vides. Le ras-le-bol d’une bien-pensance, notamment avec
les histoires de minorités, raciales ou sexuelles.
C’est dit. On se demande comment cette série a pu être primée. Ils sont bizarres, ces Ricains... Seul aspect positif : ça se regarde vite...
Rien qu'à lire le résumé Wiki, je sais déjà qu'il s'agit d'une série bien-pensante à tendance woke, comme les immondes gauchistes de Netflix en produisent par douzaines !
RépondreSupprimerOui. C'est affreux.
Supprimer