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30 mars 2023

[Série] Master of none

 


« L'histoire raconte le quotidien banal de Dev, un acteur pour publicités, trentenaire et vivant à New York. On y suit ses histoires d’amour et l'évolution de sa carrière cinématographique. La série aborde des sujets de société, comme l’immigration, les personnes âgées, la diversité dans le cinéma, le racisme et les relations femme-homme. » (Wikipedia)

Dès les premiers épisodes, on se prend de sympathie pour le personnage principal et ses potes. On pense donc que la série sera intéressante, voire enrichissante. Alors on regarde toute la première saison. L’élan étant là et tout étant bon enfant, on se tape la seconde, histoire de combler ses insomnies… Au moment où l’on doit commencer la troisième, on se dit stop.

J’ai déjà détecté dès les premiers épisodes qu’une série allait être mauvaise (j’en ai souvent parlé ici, pourtant, mais pas pour toute). Là, j’ai mis un peu de temps…

La sympathie dure mais le ras-le-bol l’emporte. Le ras-le-bol d’épisodes vides. Le ras-le-bol d’une bien-pensance, notamment avec les histoires de minorités, raciales ou sexuelles.

C’est dit. On se demande comment cette série a pu être primée. Ils sont bizarres, ces Ricains... Seul aspect positif : ça se regarde vite...

2 commentaires:

  1. Rien qu'à lire le résumé Wiki, je sais déjà qu'il s'agit d'une série bien-pensante à tendance woke, comme les immondes gauchistes de Netflix en produisent par douzaines !

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