« Pour chacune d’entre
elles, il connaît le coupable dès le premier épisode (et nous aussi) mais il
reste sur sa faim, comme s’il voulait approfondir le motif, soit pour trouver
des circonstances atténuantes, soit, au contraire, en supposant que le
meurtrier pourrait être une « encore plus belle pourriture ». » C’est
ce que j’écrivais, récemment, au sujet de la série « The
Sinner ». La quatrième et, malheureusement, dernière saison vient de
sortir.
Dès le début, Harry Ambrose, en vacances avec sa compagne
dans une petite île américaine, assiste par hasard à la tentative suicide d’une
jeune femme. Qu’elle ait voulu se donner la mort ne fait aucun doute : il
l’a vu se jeter d’une falaise. En revanche, les motifs et les circonstances lui
semblent suspectes et il va chercher à comprendre les motivations d’autant qu’une
enquête est ouverte par la police locale car Percy Muldoon a bien disparu et le
corps n’a pas été retrouvé. Il va donc offrir son aide à des forces de l’ordre,
d’un effectif assez réduit dans cette petite ile.
Il va découvrir plusieurs faits étranges au sein de cette
espèces de « huis-clos à grande échelle » entre familles de pêcheurs
rivales.
Huit épisodes à la fois lents et prenants.
Je vous les conseille.
On a abandonné au premier épisode de la saison 3, je ne sais plus trop pourquoi.
RépondreSupprimerOn va faire une nouvelle tentative…
Votre grosse m’a dit que c’était la deux !
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