« Dans l'Angleterre des
années 1980, nous suivons le personnage de Vincent Swan ; un jeune homme
charismatique qui est manager dans une petite entreprise de vente de double
vitrage. Vincent et ses deux collègues, Brian Fitzpatrick et Martin Lavender,
n'hésitent pas à user de tous les stratagèmes pour pousser leurs clients à
acheter ce qu'ils appellent leur « or blanc » (White Gold en anglais). »
C’est Wikipedia
qui le dit.
Les années 80, ce sont évidemment les années Thatcher. « C'est le début de l'individualisme, du consumérisme, et
de la réussite à travers la possession. Vincent Swan est la caricature du jeune
cadre arrogant qui néglige sa famille pour courir après l'argent, et pour qui
le bonheur passe par la possession d'une belle voiture. Machiste, grossière,
avec des personnages tous plus immoraux les uns que les autres, mais néanmoins
attachants, White Gold est une série politiquement incorrecte avec un humour
cynique. »
Pourquoi ai-je décidé de faire des billets pour chaque série
que je regardais ? Je ne trouve souvent rien de plus à dire que Google himself,
surtout quand les résumées sont complets (heureusement, des fois, les
présentations se limitent à la première saison, comme c’était le cas pour Blacklist).
Alors, seulement un avis : vous pouvez regarder mais on
entre dans le jeu uniquement après quelques épisodes. Le personnage principale,
Swan, fait office de « narrateur » et s’adresse souvent directement aux
caméras (donc à nous) ce qui n’est pas idiot mais est déroutant, au début, et
donne une sensation un peu bizarre…
Certains personnages, comme la femme de Swan, Lavender, la
secrétaire… nous sont rapidement assez sympathiques et étudier leurs aventures.
Fitzpatrick aurait pu être joué par un croisement de Michel Blanc et Gérard Jugnot (pas pour le comique !) et c’est au bout de quelques épisodes, encore, qu’on se rend compte que lui et son collègue ne sont que des gamins qu’on a presque envie de voir sortir de ce monde de brutes. Lavender, en particulier, est un ancien musicien qui n’a rien à faire dans ce milieu, tout, heu…, délicat, fluet. Swan est une espèce de grand con prétentieux (c’est le personnage qui veut ça, ce qui ne nous empêche pas de souhaiter qu’il s’en sorte aussi et réussisse à sauver sa famille, à s’enrichir…).
Comme dit l'adage et surtout moi, une série qui s'arrête au bout de saison est toujours suspecte : mauvaise audience, perte d'idées de la part des producteurs, baisse de régime...
M'en vas essayer ça…
RépondreSupprimerJe ne veux pas être responsable !
SupprimerOn en a regardé deux épisodes : c'est plutôt drôle, dans le genre "anglais déjanté". Est-ce que ça va "tenir la distance" ? À voir ces prochains soirs…
RépondreSupprimerMoyen. Mais ça se tente. C’est vite vu.
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