Quelle étrange idée de donnée comme titre à une série
policière le prénom de l’enquêtrice ? Même moi, malgré l’objectivité et la
grandeur d’âme qui me caractérisent, j’ai cru que j’allais sombrer dans une
nunucherie sentimentale pour les gonzesses alors que je suis militant féministe…
Pourtant, j’ai cliqué. Quelque chose dans la description par
Netflix m’a poussé à le faire. Comme en plus, depuis le début de mon précédent
séjour, j’ai un peu de chance…
Pourtant, elle me plait bien la Marcella.
Je ne vais pas tarder à en causer.
Pourtant, je n’ai pas dépassé la deuxième saison. Le début
de la troisième confirmait ce que l’on ressentait à la fin de la seconde :
elle allait changer, Marcella. La lecture des critiques m’a conforté dans ce
choix alors que je conchier généralement leurs auteurs, jouant une carte bien
intello et oubliant l’intérêt du public.
« À Londres, une ancienne
enquêtrice de la London Metropolitan Police Service, Marcella Backland, décide
de réintégrer la police après que son mari Jason lui annonce qu'il la quitte,
après avoir consacré les dix dernières années à l'éducation de leurs enfants. »
Pour la première saison, elle « doit reprendre
l'enquête sur une série de meurtres non résolus qui reprennent après onze ans.
En parallèle, elle découvre que son mari a une liaison avec Grace Gibson, une
riche héritière. Marcella souffre de troubles mentaux et de pertes de mémoire
que son mari utilisera pour obtenir la garde exclusive des enfants. »
Les deux saisons ont des caractéristiques communes, outre l’équipe
d’enquêteur.
Tout d’abord, il y a les troubles mentaux ci-dessus. Mémère
peut avoir des moments de grande violence et les pertes de mémoire qui vont
avec.
Ensuite, il y a la participation de la famille et de la vie
privée, à la série (sans que cela ne devienne trop important).
Après, il y a « le hasard » qui fait que des proches
de l’enquête se trouvent impliqués créant des situations complexes à gérer,
voire des « enquêtes dans l’enquête », des enquêteurs écartés…
Poursuivons avec des intrigues assez complexes (mais pas
incompréhensibles) et un résultat étonnant qui n’apparait qu’au cours du
dernier épisode ?
Finissons par signalés que les personnages intégrés au fil
de l’eau à l’enquête, généralement comme suspects, souvent temporaires, sont
intégrés à l’histoire dès le premier épisode ce qui nous fait comprendre
pourquoi ils sont suspects.
Tout cela est bien passionnant.
A noter qu'une série, Rebecca, en a été dérivée et diffusée sur une grande chaîne française, TF1, je crois.
Dans un autre genre il y a Marcela Iacub. Mais je m'égare.
RépondreSupprimerC’est mal.
SupprimerOui...
SupprimerPensez à regarder le film "Motherless Brooklyn" !
RépondreSupprimerDidier G., pense-bête diplômé d'État
Noté !
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