« Mike Ross est un jeune homme brillant dont le rêve d'enfant était de devenir avocat, rêve brisé après que des imprévus l'eurent poussé à abandonner ses études. Intelligent et doté d'une mémoire eidétique, Mike subvient à ses besoins en passant des examens à la place d'autres personnes, en particulier des examens en droit.
Harvey Specter est quant à lui
un des meilleurs avocats de New York, qui vient d'obtenir une promotion au sein
du cabinet d'avocats Pearson Hardman : il est alors tenu d'engager un
assistant. Sur la base d'un quiproquo, Harvey fait passer un entretien
d'embauche à Mike. Il est particulièrement impressionné par les qualités du
jeune homme et l'engage. Comme Mike n'a pas de diplôme en droit alors que la
société Pearson Hardman embauche exclusivement des diplômés de Harvard, tous
deux décident dès lors de mentir et prétendre que Mike est un ancien de
l'école, même si cela les expose à des poursuites judiciaires si la vérité est
découverte.
À son arrivée au cabinet, Mike
est continuellement harcelé par Louis Litt, un rival de Harvey qui semble
douter de ses références. Cependant, il peut compter sur l'amitié de Rachel
Zane, une assistante juridique trop anxieuse pour passer l'examen du barreau,
avec qui il développe une complicité. »
Une fois n’est pas coutume mais mon avis sera bien plus
court que mon
extrait de Wikipedia.
J’avais trouvé la première saison enthousiasmante mais, il
faut le dire, la suite est chiante comme la lune. Des banales histoires d’avocats,
des querelles entre concurrents, des batailles au sein du cabinet, des conflits
d’actionnaires et des histoires de cœur à l’eau de rose.
On se force à suivre parce qu’on éprouve de la sympathie
pour le jeune Mike mais aussi pour une assistante juridique, Rachel, et la
secrétaire d’Harvey, Donna.
En se forçant.
Harvey est un bellâtre prétentieux et on n’arrive pas à
comprendre comment les producteurs n’ont pas réussi à le faire aimer par le public.
Louis a de bon côté. C’est une espèce de looser très moche, jaloux, acariâtre…
Et on se demande aussi comment ils ont pu le louper. Les autres personnages
sont … heu … on va dire des merdes, je n’ai pas envie de m’y attarder. Jessica,
du moins l’actrice qui tient son personnage, a été primée. Mais je suppose que
c’est uniquement pour son cul. Qui, certes, vaut le détour, comme celui des
autres gonzesses de la série, toujours vêtues de robes qui mettent leurs
arrières en avant.
J’ai connu des séries « d’avocateries » bien moins
nulles. Il y a bien des noires mais assez peu de lesbiennes. Un coup de mou
chez Netflix ?