Je viens de faire un billet au sujet de Fisk, une série
ayant pour centre un cabinet d’avocat, et je m’apprêtais à faire un billet au sujet
de la deuxième partie de la deuxième saison de « La Défense Lincoln »
quand je me suis rendu compte que je n’avais pas parlé de la suite d’une série
dont j’ai parlé
ici récemment, Suits : avocats sur mesure. Je disais : « J’avais trouvé la première saison enthousiasmante mais,
il faut le dire, la suite est chiante comme la lune. Des banales histoires
d’avocats, des querelles entre concurrents, des batailles au sein du cabinet,
des conflits d’actionnaires et des histoires de cœur à l’eau de rose. »
J’étais bien décidé à ne pas regarder la suite mais, quand
je me suis retrouvé à Paris, où je n’ai pas de télé et n’ai donc que l’iPhone
pour regarder des séries, je n’avais « pas trop le choix ». D’un
autre côté, c’est assez pratique : on se met au lit avec le smartphone, on
lance Netflix et on regarde mais si on s’endort, on est sûr de rien louper… En
outre, on ne peut pas regarder des nouvelles séries avec un smartphone, on
risquerait de louper du grandiose.
Toujours est-il que, sauf l’avant dernier épisode de la
dernière saison (et le premier tiers du suivant), tout est à chier.
Pourtant, je m’étais tout de même fixé un but en regardant :
tenter de comprendre comment ce genre de navet peut avoir assez de spectateurs
pour que des producteurs décident de continuer à injecter du pognon.
Je n’ai pas la réponse. D’ailleurs, si l’on consulte les
chiffres d’audience, ils ont été divisés par plus de cinq entre le début et la
fin. C’est tout de même un signe…
Ne boudons pas les rares aspects positifs : les principaux personnages sont sympathiques, notamment Dona, et, par rapport au début, Harvey se bonifie progressivement. Il devient humain.
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